Tout est illuminé
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Biertan64
Biertan64

51 abonnés 1 443 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 26 août 2022
Tout est illuminé fait figure d'ovni par sa manière de traiter du devoir de mémoire selon un angle totalement décalé.
Ce road movie de trois personnages atypiques dans une Ukraine archaïque oscille entre le comique avec le choc des cultures (notamment grâce à la performance très drôle d'Alex, interprété par Eugène Hutz, avec son anglais approximatif ) et le dramatique avec ses thèmes abordés comme la Shoah ou le souvenir de ses aïeuls.
Cela manque de quelques rencontres ou moments singuliers supplémentaires et d'un peu de tonus pour être parfaitement abouti mais, avec cette première réalisation prometteuse, Liev Schreiber parvient à faire passer son message avec un ton comico-poétique original.
Ykarpathakis157
Ykarpathakis157

4 987 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 2 mars 2021
Tout est illuminé est un film embarrassant sur presque tous les points à deux exceptions près. Eugene Hutz est bizarrement charismatique dans le rôle d'Alex un jeune ukrainien maladroit qui s'imagine être une star du hip-hop. Et la partition musicale est excellente puisqu'elle est composée de musique folklorique authentique d'Europe de l'Est. La première moitié est constituée de blagues de a la Borat. Les Ukrainiens sont drôles à cause de leur vie sexuelle. Les Ukrainiens sont aussi sales, irrationnellement par nature violents et ils détestent les Juifs. Bien sûr ces péquenauds comique et grossiers sont responsables de l'Holocauste. A un moment donné Elijah Wood insiste sur le fait que l'Ukraine était aussi mauvaise que l'Allemagne nazie. Ce méchant stéréotype n'est pas l'invention de Liev Schreiber le réalisateur. Schreiber et Safran Foe c'est l'auteur du livre sur lequel le film est basé ce film et il ne font qu'exploiter et non inventer des stéréotypes ethniques haineux. Car l'image du paysan brutal d'Europe de l'Est existe depuis des siècles. D'autre part Elijah Wood dans le rôle de Jonathan Safran Foer un juif américain moderne ne s'en sort pas mieux que les Ukrainiens stéréotypés. Lui aussi est un stéréotype. Il est le juif tendu, obsessionnel, névrosé, socialement arriéré, effrayé, passif. Wood interprétant Jonathan est tellement raide qu'il pourrait passer pour un cadavre. L'Holocauste n'est jamais honoré par Tout est illuminé. Dans le cas peu probable où ce film serait le seul film sur l'Holocauste que le spectateur verrait il n'aurait aucune idée de ce qu'était l'Holocauste. Aussi lent, prétentieux et pesant que soit ce film il ne parvient jamais un seul instant à transmettre l'horreur monumentale et le déchirement de l'Holocauste...
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 3 janvier 2017
Un chef d'oeuvre, inimitable. À voir en VOST car les différences linguistiques sont un élément majeur du film.
Le film commence comme un road movie en Ukraine, où Jonathan, un jeune collectionneur juif américain assez coincé et maniéré, part à la recherche d'une jeune femme qui aurait aidé son grand-père à échapper à la Shoah. La première partie est ponctué d'humour sur le choc entre les deux cultures (américaine et ukrainienne) accentué par le fait que Jonathan est quelqu'un de très particulier, incompris par Alex et son grand-père. La dernière partie prend plus aux tripes spoiler: avec la découverte du massacre de Trachimbrod perpétré par les nazis, et auquel a survécu le grand-père d'Alex. Tout devient alors clair concernant ce vieil homme bourru qui semble haïr les Juifs et persuadé de sa cécité. (Note : je n'ai pas compris comment le grand-père a pu survivre à la fusillade)
Cependant pas vraiment de twist final car les indices sont disséminés tout au long de l'histoire, ce que j'ai apprécié. Jamais je n'avais eu l'occasion de regarder un tel film, qui porte le thème de la mémoire quant au passé, mais sans jamais verser dans le pathos et surtout en s'attachant quelques personnes spécifiquement. spoiler: Nous sommes plus habitués à voir l'histoire de la Shoah à travers celle d'une communauté et non en étudiant en profondeur celle d'une personne qui s'en est trouvée changée à jamais (ici le grand-père d'Alex)
. Everything is illuminated touche réellement par sa pudeur par rapport à un passé horrible.
Mention spéciale à Eugene Hütz, dont le personnage génial ajoute une touche de fraicheur au film tout en montrant spoiler: la culpabilité que peuvent ressentir les descendants des nazis (quand Alex pense que les réactions de son grand-père s'expliquent par son implication dans la Shoah)
.
Isabelle E.C.
Isabelle E.C.

64 abonnés 311 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 21 septembre 2015
Comparé à un film comme "Music Box" avec Jessica Lange, où le sujet du devoir de mémoire était central n'est pas pour moi le sujet ici.
La force et le thème central de ce film sont plutôt du côté "accepter les différences, vivre avec les autres.
Si ce film m'a touché , ce n'est pas par une illustration identitaire, mais pour son universalité et son humanisme. J'ai eu l'impression de faire partie du même monde, d'un même MONDE, d'un grand tout.
Cette sensation de connivence et de compréhension, que j'ai pu ressentir au delà des mots et des explications, est due je pense à la multiplicité des canaux qui nous sont ici proposés :
- la beauté de la musique
- la beauté des images avec ces paysages sans fin
- et peut être un peu le "goût" avec la référence à la nourriture.
Comme lorsqu'on a l'occasion d'être mis en présence d'une oeuvre qui nous touche vraiment (peinture, musique, danse).
Tout cela m'a permis de SENTIR que ces gens existent (ou pourraient exister).
Lorsque je suis sortie de la salle, j'ai dit que c'était un film bouddhiste, il illustre pour moi l'impermanence des hommes et le principe de vie qui peut se transmettre d'un être à l'autre sans notion de frontière de culture ou de sexe.
Pour préciser ma pensée qui peut sembler un peu elliptique (et c'est peut être aussi ce qui m'a plu dans ce film) :
- nous sommes tous taillés dans le même bois (illustration peut être naïve du film tous les acteurs vus en Ukraine se retrouvent à l'aéroport aux Etats Unis)
- nous ne savons pas réellement où nous allons, ni pourquoi nous y allons, ni pourquoi nous y allons avec certaines personnes
- certains repères existent et nous guident (une alliance enterrée dans les berges d'un fleuve) sans que nous le sachions
- l'illumination intervient parfois pour certaines personnes, à certains instants, et leur permet de se mettre en accord avec eux même.
kimar32
kimar32

2 abonnés 3 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 12 août 2015
Tout simplement génial ! Emotions,rires et tristesses sont au rendez-vous. La B.O est très bonne. Elijaw Wood est parfait ainsi que les Alex ....
Bravo
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 27 février 2014
ATTENTION QUELQUES SPOILERS !!

Pour commencer, je parie mon coffret Jean-Luc Godard que personne ici n'a vu le film de Liev Schreiber dont je vais tout de suite vous dire ce qu'il vaut. Mais dans une minute tout de même... Bon parce que c'est vrai, quoi, un film avec Elijah Wood réalisé par le Cotton Weary de Scream 1,2&3 qui ne reste à l'affiche que une semaine en France et qui est méprisé par le public, vous trouvez ça normal ? En tout cas moi non, d'autant plus que le film en question est un petit chef d'oeuvre d'une tendresse qui fait chaud au coeur.

Comme vous avez pu le constater en lisant le synopsis, le film parle d'un jeune juif qui part à la recherche d'un dame qu'il ne connait pas. Ce jeune homme a une particularité : il est plein de phobies et de manies. Il ne supporte pas la vue d'un chien et conserve tout ce qu'il trouve dans des sachets en plastique. Ce qui peut sembler comique à dire comme ça bascule dans un sérieux tout à fait de mise dans ce film lorsque l'on comprend le pourquoi du comment de cette étrange habitude, lorsque le chauffeur de Jonathan (chauffeur qui le conduit à travers l'Ukraine en compagnie de son grand-père à la recherche d'Augustine) lui demande "Pourquoi faites-vous ça ?" et que Jonathan répond "Parce que parfois j'ai peur d'oublier"... À n'en pas douter, Tout est Illuminé est un film sur la mémoire. Et un beau. Le film se réfère même à Boltanski lors de la découverte d'Augustine qui conserve tout ce qui reste de la communauté juive de Trachimbrod (endroit rasé de la carte de l'Ukraine lors d'un massacre perpétré par les allemands) dont elle faisait parti dans des boîtes en carton empilées les unes sur les autres, contre un mur, de telle façon que la moitié des murs de la maison est recouverte de ces boîtes, sans arrêt là pour rappeler à cette vieille femme émouvante aux larmesle passé et le massacre des siens.

La mémoire de l'horreur nazie apparaît dans le quotidien de cette femme, dans sa belle maison au milieu d'un champ de coquelicots, et ne peut pas être niée car ces cartons sont partout le long des murs. Mais le but de Schreiber n'est pas de montrer que la mémoire est gênante ou envahissante. Son but, au contraire, est de montrer que la mémoire de la Shoah n'empêche pas de vivre, que les nazis ne nous empêcheront pas, nous, ukrainiens ou américains, de continuer à savourer ce que la vie peut offrir de drôle et de dépaysant. Ce qu'elle peut avoir d'exhaltant. Et ce au-delà de la culture et des peuples. Pour autant, le message de Liev Schreiber n'est ni lourd ni simpliste. Il n'est même pas simple. Et c'est bien parce que à l'oral cela peut paraître peu subtil qu'il couche ses pensées à l'écran, avec une grâce immense.

La première partie du film est comme un Kusturica à la Arizona Dream, avec le voyage, la recherche de Trachimbrod que personne ne connaît, puisque l'endroit n'existe plus. On assiste au choc des cultures entre Jonathan (Elijah Wood, parfait, tout en retenue) et son chauffeur, Alex (Eugene Hutz, déluré et délirant). Le choc en question est symbolisé par certaines répliques tout bonnement hilarantes, mais qui provoquent une hilarité non pas burlesque mais carrément euphorique. (exemple : lors du passage de Jonathan et de Alex devant un immeuble délabré, Jonathan demande : "Que s'est-il passé ici ?" et Alex de répondre "L'indépendance..."). Tout est Illuminé donne vraiment envie de vivre, et c'est la raison pour laquelle il ne verse pas dans le pathos. Car il ne s'apitoie pas. Tout est Illuminé n'est pas un film larmoyant, loin de là. Et c'est en cela que la première partie humoristique (je ne vais pas tout vous raconter, mais il y a aussi le passage à l'auberge qui est extrêmement cocasse !!) le distingue avec audace de toute la production empreinte de lourdeurs et de pathos qui subsiste aux USA de nos jours, sur l'holocauste. The Reaber par exemple...

Mais tout comme Kusturica sait si bien le faire, Liev Schreiber est très bien capable de passer du rire aux pleurs (car j'ai pleuré en voyant Tout est Illuminé, et la juxtaposition des émotions contraires y est pour beaucoup). Alors que Kusturica utilisait ce procédé par exemple dans la scène du zoo au début de l'inénarrable Underground (qui mériterait un 21/20 si je le chroniquais !), c'est lors de la scène du chantier que le tragique survient dans Tout est Illuminé. Le grand père d'Alex se fait passer pour quelqu'un de bourru et de dur et d'antisémite pour cacher son traumatisme sucité par le massacre de Trachimbrod (SPOILERS car nous découvrirons qu'il y a assisté FIN DES SPOILERS). Du coup, il multiplie les injures antisémites en ukrainien dans la voiture, en s'adressant à son petit-fils. Le fond du problème est en fait l'incompréhension de son entourage pour ce qu'il a vécu. Mais Jonathan n'est pas stupide, et finit par comprendre les propos du grand-père. Lorsqu'il le lui signifie, ce dernier ne dit rien, comme figé par le remord mais surtout par une forme de pudeur visant à ne pas révèler la vraie raison de son comportement, c'est à dire sa présence à Trachimbrod.

La scène suivante, nous le voyons frapper son petit-fils lorsque celui-ci tentait de lui soutirer la raison de son caractère face à Jonathan. En cela, ce personnage du grand-père, qui est sans aucun doute le meilleur personnage du film renvoie assez au Mischka de Stévenin. Parcourant des champs déserts où des engins allemands de guerre n'ont pas encore été enlevés, Liev Schreiber fait revivre dans les yeux du grand-père la nuit de la Shoah. Ce passage en caméra à l'épaule où nous suivons les déambulations du vieil homme au milieu des reliques nazies est comme un retour dans le temps suggéré et prodigieux, qui doit aussi beaucoup aux mouvements de caméra très bien choisis qui justifient et montrent l'isolement irrémédiable du grand-père, et surtout l'incompréhension de ses proches. Lorsqu'il aura pu ouvrir son coeur à Augustine, le vieil homme se suicidra. Il est assez intéressant de savoir que le grand-père se fait passer pour un aveugle, probablement pour nier son monde actuel, et rester avec ses souvenirs de cauchemars. Le conseil du réalisateur est opposé : la Schoah ne nous empêchera pas de rire. De rire entre nous. Mais pas de rire de la Shoah. Une sorte d'anti La Vie est Belle dont la réussite est incontestablement magistrale. Puis nous en arrivons à la découverte de Trachimbrod, et c'est là, après 1h10 de perfection de tout instant, que le film devient maladroit et... conventionnel. La faute à des fondus enchaînés complètement inutiles et clichés qui ternissent horriblement la subtilité de l'heure qui a précédé. Alors évidemment, ce n'est pas cela qui gâche le film, mais disons que c'est en tout cas ces passages complètement idiots (oui, je crois que c'est le mot) qui font que je ne mets pas 20/20 à ce très grand film. Parlons un peu du titre maintenant : Tout est Illuminé. En fait, ce titre est celui d'un best-seller de Jonathan Sfoer dont le film est l'adaptation. L'illumination vient pour Alex, qui découvre que maintenant, alors que tout les opposait (comme le dit Jonathan en lui faisant remarquer que sa chemise est à l'envers : "l'extérieur est à l'intérieur et l'intérieur est à l'extérieur") , Jonathan et Alex seront pour toujours liés non pas uniquement par l'amitié mais par une mémoire commune.

Bref, un chef d'oeuvre.
eldarkstone
eldarkstone

240 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 27 janvier 2014
Dépaysement total pour cette comédie originale,légèrement dramatique, bien qu'un peu longue sur la fin, Elijah Wood est magique, tout comme tous les autres personnages !
Hastur64
Hastur64

237 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 2 novembre 2013
Après avoir lu le roman de Jonathan Safran Foer, je me suis aperçu qu’une adaptation sur grand-écran avait été réalisée. Je me suis donc mis devant avec curiosité pour voir comment le réalisateur allait transposer ce récit composé de l’alternance de lettre et de récits, en un tout visuellement cohérent. En fait Liev Schreiber s’est contenté de mettre en scène un seul tiers du livre celui contant le périple d’Alex, de son grand-père et de Jonathan vers Trachimbrod ; les lettres d’Alex à Jonathan et le récit et les réflexions d’Alex sur sa vie et sa famille ont été purement et simplement abandonnés. Le film en ressort plus cohérent, mais c’est au détriment de la truculence du roman qui faisait la part belle à l’anglais approximatif d’Alex et au récit de la vie à Trachimbrod du milieu de XIXème siècle jusqu’à son anéantissement par les nazis pendant la Seconde Guerre Mondiale. Néanmoins, Liev Schreiber réussi paradoxalement à rendre la relation entre Alex et Jonathan plus touchante que dans le livre. L’interprétation de deux principaux acteurs, le toujours excellent, Elijah Wood et Eugene Hutz sont pour beaucoup dans la réussite de cette alchimie relationnelle. En somme une transposition partielle du livre qui réussie à mettre en exergue le rapprochement entre deux hommes au travers de la recherche d’un passé douloureux. Plus touchant que le livre, le film mérite amplement d’être vu même par ceux qui ont lu le livre tant il offre une vision originale de l’histoire racontée par Jonathan Safran Foer.
Gabith_Whyborn
Gabith_Whyborn

40 abonnés 842 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 2 août 2013
Excellent film, quelques scènes sont hilarantes et d'autres vraiment poignantes, les personnages vraiment attachants et sincères. Elijah Wood m'a étonné dans ce rôle!
AMCHI
AMCHI

6 087 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 23 mai 2013
Au début de Tout est illuminé avec cette mise en scène très posée et cette ambiance qui joue sur le décalé on se demande dans quoi on se lance, Liev Schreiber pour son premier film en tant que réalisateur ne livre pas quelque chose de complétement aboutie mais il ne rate certainement pas son film. Le ton doux-amer parfois mélancolique de Tout est illuminé dégage une certaine poésie, très travaillé visuellement de ce point de vue Tout est illuminé est très beau et l'interprétation est touchante. La meilleure scène c'est lorsque que la vieille dame raconte le massacre du village, c'est très émouvant.
Legid
Legid

37 abonnés 574 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 9 mai 2013
Tout est illuminé est un film méconnu qui mérite une certaine attention, car intéressant à un plus d'un titre.
Une histoire sur le devoir de mémoire, sur le poids du passé et des souvenirs superbement mise en images par une réalisation inspirée souvent poétique et jamais écrasante malgré son propos.
Le film se permet quelques pointes d'humour bienvenu qui jouent surtout sur les mots et la difficultés de compréhension entre les langages et sur quelques situations cocasses (le chien, la patate)
Les acteurs sont sublimes et ne se fourvoient jamais dans le pathos que le scénario aurait pu apporter.
On ressent une vrai sincérité dans ce film ce qui le rend d'autant plus touchant.
Un joli moment, imparfait du fait de certaines longueurs, mais qui mérite le coup d’œil.
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 13 novembre 2012
Que dire sur ce film hormis qu'il m'a fait autant sourir que pleurer (et c'est rare!!!), ce film vous plonge dans un ras de marée d'émotion et le pire c'est que même en le renvoyant ça fais toujours le même effet...
Dadou
Dadou

70 abonnés 1 360 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 22 juillet 2012
Un émouvant « road movie » sur les routes Ukrainiennes, aux personnages attachants et sincères.
Hotinhere
Hotinhere

600 abonnés 5 081 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 3 mai 2012
Road-movie paumé dans la campagne ukrainienne pour un jeune juf américain à la recherche de ses origines. Drôle, décalé et touchant mais souffrant de baisses de rythme et d'impression de déjà vu.
totoro35
totoro35

108 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 28 février 2012
Visiblement inspiré par le cinéma de Kusturica et Korismaki, le comédien Liev Schreiber passe derrière la caméra avec ce joli film attachant en forme de devoir de mémoire, à la fois drôle et touchant malgré quelques baisses de rythme.
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