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(...) Tout est illuminé (...) s'impose pourtant comme une excellente surprise, portée par un texte inspiré, des acteurs assez insensés et une vraie originalité de ton.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Everything is illuminated est l'histoire d'une initiation, une histoire parfois absurde, drôle, un road-movie paumé dans la campagne ukrainienne, mais avant tout un regard plein d'une humanité et d'une sensibilité unique, une façon des plus belles de parler du poids et de l'héritage de l'Holocauste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
(...) Schreiber a l'audace d'aborder des sujets délicats (...) avec un décalage millimétré, un humour tendre, un tact nostalgique et une réalisation perpétuellement en mouvement, mais jamais démonstrative.
Mais l'attachement évident de Liev Schreiber pour ce qu'il filme fait oublier ses quelques maladresses, et ce qu'il obtient de ses comédiens, tous magnifiques, montre qu'il se soucie davantage d'être juste que d'être simplement brillant. Une devise lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Engluant quelque peu l'émotion et le propos dans des lumières trop laquées, [Liev Schreiberg] surpasse ses maladresses par d'étonnants bric et de broc et un tissage de deux langues.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) Le sujet (le devoir de mémoire) a effectivement les caractéristiques du devoir (...) Pour son premier long, Liev Schreiber s'en acquitte comme d'une dette, ce qui ne dit rien de son éventuelle capacité de cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) part détestable du cinéma indépendant américain qui, plutôt que de travailler à sa singularité et son élévation, se rengorge dans son indépendance et se gargarise de schémas esthétiques figés, calibrés par le formatage du plus pur académisme labellisé Sundance.
Brazil
(...) Un petit bijou original (...) Ne passez pas à côté de ce film, car après l'avoir vu c'est vous qui serez illuminés.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Un nouveau type de road-movie poétique.
L'Obs
(...) Tout est illuminé (...) s'impose pourtant comme une excellente surprise, portée par un texte inspiré, des acteurs assez insensés et une vraie originalité de ton.
Paris Match
Ce devoir de mémoire mérite la meilleure note.
aVoir-aLire.com
Everything is illuminated est l'histoire d'une initiation, une histoire parfois absurde, drôle, un road-movie paumé dans la campagne ukrainienne, mais avant tout un regard plein d'une humanité et d'une sensibilité unique, une façon des plus belles de parler du poids et de l'héritage de l'Holocauste.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
(...) Schreiber a l'audace d'aborder des sujets délicats (...) avec un décalage millimétré, un humour tendre, un tact nostalgique et une réalisation perpétuellement en mouvement, mais jamais démonstrative.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Peuplé de personnages hauts en couleur, ce road-movie marie sans fausse note l'émotion à un humour décalé.
TéléCinéObs
Le comédien Liev Schreiber (...) signe une première réalisation ambitieuse et personnelle.
Télérama
Mais l'attachement évident de Liev Schreiber pour ce qu'il filme fait oublier ses quelques maladresses, et ce qu'il obtient de ses comédiens, tous magnifiques, montre qu'il se soucie davantage d'être juste que d'être simplement brillant. Une devise lumineuse.
Zurban
Pour sa première réalisation, [Liev Schreiber] réussit un coup de maître. Il mêle avec dextérité road-movie, voyage initiatique et quête identitaire.
L'Humanité
Malgré quelques jolies idées c'est trop propret, dessiné, décoré...
Le Monde
Mise en scène avec une intelligence un peu froide, filmée en images luxuriantes, cette errance ne prend jamais tout à fait corps.
Positif
Engluant quelque peu l'émotion et le propos dans des lumières trop laquées, [Liev Schreiberg] surpasse ses maladresses par d'étonnants bric et de broc et un tissage de deux langues.
Première
(...) Le sujet (le devoir de mémoire) a effectivement les caractéristiques du devoir (...) Pour son premier long, Liev Schreiber s'en acquitte comme d'une dette, ce qui ne dit rien de son éventuelle capacité de cinéaste.
Les Inrockuptibles
(...) part détestable du cinéma indépendant américain qui, plutôt que de travailler à sa singularité et son élévation, se rengorge dans son indépendance et se gargarise de schémas esthétiques figés, calibrés par le formatage du plus pur académisme labellisé Sundance.
Score
Le matériau de départ était pourtant riche (...) Il aurait d'ailleurs suffi d'un peu plus d'académisme pour décrocher les larmes.