Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Brazil
par Véronique Kientzy
(...) Un petit bijou original (...) Ne passez pas à côté de ce film, car après l'avoir vu c'est vous qui serez illuminés.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Florence Ben Sadoun
Un nouveau type de road-movie poétique.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) Tout est illuminé (...) s'impose pourtant comme une excellente surprise, portée par un texte inspiré, des acteurs assez insensés et une vraie originalité de ton.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Paris Match
par Alain Spira
Ce devoir de mémoire mérite la meilleure note.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Pierre Langlais
Everything is illuminated est l'histoire d'une initiation, une histoire parfois absurde, drôle, un road-movie paumé dans la campagne ukrainienne, mais avant tout un regard plein d'une humanité et d'une sensibilité unique, une façon des plus belles de parler du poids et de l'héritage de l'Holocauste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
MCinéma.com
par Aurélien Allin
(...) Schreiber a l'audace d'aborder des sujets délicats (...) avec un décalage millimétré, un humour tendre, un tact nostalgique et une réalisation perpétuellement en mouvement, mais jamais démonstrative.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Peuplé de personnages hauts en couleur, ce road-movie marie sans fausse note l'émotion à un humour décalé.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Le comédien Liev Schreiber (...) signe une première réalisation ambitieuse et personnelle.
Télérama
par Frédéric Strauss
Mais l'attachement évident de Liev Schreiber pour ce qu'il filme fait oublier ses quelques maladresses, et ce qu'il obtient de ses comédiens, tous magnifiques, montre qu'il se soucie davantage d'être juste que d'être simplement brillant. Une devise lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Yasmine Youssi
Pour sa première réalisation, [Liev Schreiber] réussit un coup de maître. Il mêle avec dextérité road-movie, voyage initiatique et quête identitaire.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Malgré quelques jolies idées c'est trop propret, dessiné, décoré...
Le Monde
par Thomas Sotinel
Mise en scène avec une intelligence un peu froide, filmée en images luxuriantes, cette errance ne prend jamais tout à fait corps.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Adrien Gombeaud
Engluant quelque peu l'émotion et le propos dans des lumières trop laquées, [Liev Schreiberg] surpasse ses maladresses par d'étonnants bric et de broc et un tissage de deux langues.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier de Bruyn
(...) Le sujet (le devoir de mémoire) a effectivement les caractéristiques du devoir (...) Pour son premier long, Liev Schreiber s'en acquitte comme d'une dette, ce qui ne dit rien de son éventuelle capacité de cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Julien Gester
(...) part détestable du cinéma indépendant américain qui, plutôt que de travailler à sa singularité et son élévation, se rengorge dans son indépendance et se gargarise de schémas esthétiques figés, calibrés par le formatage du plus pur académisme labellisé Sundance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Score
par Julien Welter
Le matériau de départ était pourtant riche (...) Il aurait d'ailleurs suffi d'un peu plus d'académisme pour décrocher les larmes.
La critique complète est disponible sur le site Score
Brazil
(...) Un petit bijou original (...) Ne passez pas à côté de ce film, car après l'avoir vu c'est vous qui serez illuminés.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Un nouveau type de road-movie poétique.
L'Obs
(...) Tout est illuminé (...) s'impose pourtant comme une excellente surprise, portée par un texte inspiré, des acteurs assez insensés et une vraie originalité de ton.
Paris Match
Ce devoir de mémoire mérite la meilleure note.
aVoir-aLire.com
Everything is illuminated est l'histoire d'une initiation, une histoire parfois absurde, drôle, un road-movie paumé dans la campagne ukrainienne, mais avant tout un regard plein d'une humanité et d'une sensibilité unique, une façon des plus belles de parler du poids et de l'héritage de l'Holocauste.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
(...) Schreiber a l'audace d'aborder des sujets délicats (...) avec un décalage millimétré, un humour tendre, un tact nostalgique et une réalisation perpétuellement en mouvement, mais jamais démonstrative.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Peuplé de personnages hauts en couleur, ce road-movie marie sans fausse note l'émotion à un humour décalé.
TéléCinéObs
Le comédien Liev Schreiber (...) signe une première réalisation ambitieuse et personnelle.
Télérama
Mais l'attachement évident de Liev Schreiber pour ce qu'il filme fait oublier ses quelques maladresses, et ce qu'il obtient de ses comédiens, tous magnifiques, montre qu'il se soucie davantage d'être juste que d'être simplement brillant. Une devise lumineuse.
Zurban
Pour sa première réalisation, [Liev Schreiber] réussit un coup de maître. Il mêle avec dextérité road-movie, voyage initiatique et quête identitaire.
L'Humanité
Malgré quelques jolies idées c'est trop propret, dessiné, décoré...
Le Monde
Mise en scène avec une intelligence un peu froide, filmée en images luxuriantes, cette errance ne prend jamais tout à fait corps.
Positif
Engluant quelque peu l'émotion et le propos dans des lumières trop laquées, [Liev Schreiberg] surpasse ses maladresses par d'étonnants bric et de broc et un tissage de deux langues.
Première
(...) Le sujet (le devoir de mémoire) a effectivement les caractéristiques du devoir (...) Pour son premier long, Liev Schreiber s'en acquitte comme d'une dette, ce qui ne dit rien de son éventuelle capacité de cinéaste.
Les Inrockuptibles
(...) part détestable du cinéma indépendant américain qui, plutôt que de travailler à sa singularité et son élévation, se rengorge dans son indépendance et se gargarise de schémas esthétiques figés, calibrés par le formatage du plus pur académisme labellisé Sundance.
Score
Le matériau de départ était pourtant riche (...) Il aurait d'ailleurs suffi d'un peu plus d'académisme pour décrocher les larmes.