Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Par une maîtrise et une rigueur impressionnantes pour un premier film, le finale se soustrait (...) aux conventions et à l'idéologie à l'oeuvre chez Scorsese, conférant à Dias de Santiago une indépendance et une droiture rares, seules bases possibles pour l'édification d'un cinéma péruvien.
L'Humanité
par Michaël Melinard
Véritable tableau de la fin de l'insouciance, dépucelage tardif, douloureux et nécessaire, c'est le film d'un observateur malicieux et privilégié, réjouissante réussite du contraire d'un donneur de leçons.
Positif
par Matthieu Darras
La caméra de Josué Méndez, vissée à son antihéros comme les Dardenne à Rosetta, (...) dégage une force exceptionnelle. Un premier film choc, tout aussi limpide dans son propos que haletant dans sa forme.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Josue Mendez s'emploie à rendre son humanité à son personnage central. La puissance d'expression de son jeune interprète et l'âpreté du style du metteur en scène permettent de mener cette tâche à bien, produisant un film étrangement touchant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Philippe Scrine
Le réalisateur reconnaît bien volontiers ses influences, même si elles ne font pas pour autant de lui l'égal de Scorsese ou de Cimino. Mais Josué Méndez connaît déjà son métier de cinéaste. Il va même jusqu'à prendre quelques risques. Grâce à une réalisation et à un montage dynamiques, il colle au plus près à son personnage principal, campé par l'excellent Pietro Sibille.
Première
par Alexis Trosset
La thématique de Dias de Santiago est rigoureusement identique à celle du Taxi Driver de Martin Scorsese. Auscultant un ex-combattant péruvien en conflit pour réintégrer sa vie civile, Josué Méndez transcende la simple citation d'admirateur pour fondre ses références cinématographiques dans un univers personnel. Une oeuvre intense et originale.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
A l'écart de tout manichéisme, son scénario rend subtilement la complexité du sujet, tout en faisant exister à l'écran des personnages emblématiques et crédibles.
Télérama
par Frédéric Strauss
La peinture psychologique l'emporte sur la réalité du pays, un peu éludée. Mais la mise en scène est alerte et installe un vrai climat de peur paranoïaque, entre raison et déraison du soldat éternellement en embuscade. Ce personnage presque classique (dans la lignée de Taxi Driver) est rendu ici particulièrement attachant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Libération
par Philippe Azoury
Avec Mendez, on est encore loin du choc esthétique fourni par certains des films en provenance d'Argentine et le jeune prodige péruvien a sans doute ramené de ses études de cinéma à Yale, aux Etats-Unis, une propension malheureuse à vouloir marcher sur les pas des films de Cimino et de Scorsese, la comparaison avec Taxi Driver étant une spirale d'échec pour quiconque s'y risque.
Ouest France
par La Rédaction
Dans les cadrages maniérés comme dans l'alternance du noir et blanc et de la couleur, il y a du procédé de mise en scène dont on ne voit pas la justification. Mais ce portrait de société, vue à travers la dérive d'un paumé, ne manque pas de caractère.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
La fausse modernité tape-à-l'oeil de ce premier film péruvien, qui jongle avec le récit et le montage, ne manquera pas de susciter un certain engouement critique. Mais tous ces micmacs maniéristes sont un peu de la poudre aux yeux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
Par une maîtrise et une rigueur impressionnantes pour un premier film, le finale se soustrait (...) aux conventions et à l'idéologie à l'oeuvre chez Scorsese, conférant à Dias de Santiago une indépendance et une droiture rares, seules bases possibles pour l'édification d'un cinéma péruvien.
L'Humanité
Véritable tableau de la fin de l'insouciance, dépucelage tardif, douloureux et nécessaire, c'est le film d'un observateur malicieux et privilégié, réjouissante réussite du contraire d'un donneur de leçons.
Positif
La caméra de Josué Méndez, vissée à son antihéros comme les Dardenne à Rosetta, (...) dégage une force exceptionnelle. Un premier film choc, tout aussi limpide dans son propos que haletant dans sa forme.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Josue Mendez s'emploie à rendre son humanité à son personnage central. La puissance d'expression de son jeune interprète et l'âpreté du style du metteur en scène permettent de mener cette tâche à bien, produisant un film étrangement touchant.
MCinéma.com
Le réalisateur reconnaît bien volontiers ses influences, même si elles ne font pas pour autant de lui l'égal de Scorsese ou de Cimino. Mais Josué Méndez connaît déjà son métier de cinéaste. Il va même jusqu'à prendre quelques risques. Grâce à une réalisation et à un montage dynamiques, il colle au plus près à son personnage principal, campé par l'excellent Pietro Sibille.
Première
La thématique de Dias de Santiago est rigoureusement identique à celle du Taxi Driver de Martin Scorsese. Auscultant un ex-combattant péruvien en conflit pour réintégrer sa vie civile, Josué Méndez transcende la simple citation d'admirateur pour fondre ses références cinématographiques dans un univers personnel. Une oeuvre intense et originale.
TéléCinéObs
A l'écart de tout manichéisme, son scénario rend subtilement la complexité du sujet, tout en faisant exister à l'écran des personnages emblématiques et crédibles.
Télérama
La peinture psychologique l'emporte sur la réalité du pays, un peu éludée. Mais la mise en scène est alerte et installe un vrai climat de peur paranoïaque, entre raison et déraison du soldat éternellement en embuscade. Ce personnage presque classique (dans la lignée de Taxi Driver) est rendu ici particulièrement attachant.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
Avec Mendez, on est encore loin du choc esthétique fourni par certains des films en provenance d'Argentine et le jeune prodige péruvien a sans doute ramené de ses études de cinéma à Yale, aux Etats-Unis, une propension malheureuse à vouloir marcher sur les pas des films de Cimino et de Scorsese, la comparaison avec Taxi Driver étant une spirale d'échec pour quiconque s'y risque.
Ouest France
Dans les cadrages maniérés comme dans l'alternance du noir et blanc et de la couleur, il y a du procédé de mise en scène dont on ne voit pas la justification. Mais ce portrait de société, vue à travers la dérive d'un paumé, ne manque pas de caractère.
Les Inrockuptibles
La fausse modernité tape-à-l'oeil de ce premier film péruvien, qui jongle avec le récit et le montage, ne manquera pas de susciter un certain engouement critique. Mais tous ces micmacs maniéristes sont un peu de la poudre aux yeux.