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    Une Femme coréenne
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    3,5
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    22 critiques spectateurs

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    Iloonoyeil
    Iloonoyeil

    36 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 septembre 2024
    Bonjour,

    Un film très étudié et érotiquement intellectuel.

    Un point de vue masculin et féminin et lié évidemment au taoïsme.

    Une réussite visuelle .

    Bien à vous.

    Gérard Michel
    Spider cineman
    Spider cineman

    159 abonnés 2 056 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 avril 2023
    Étonnante thématique abordée de cette femme infidèle dans un cinéma coréen que l on connaît beaucoup pour ses polars musclés ou films d actions. Cela donne une vision du quotidien des mœurs et de la vie de cette femme inhabituelle. Intéressant pour le point de vue ... mais pas vraiment beaucoup plus.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    186 abonnés 2 274 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mai 2020
    J'ai finalement réussi à voir, après coup, le film qui me manquait pour avoir une vision exhaustive de la filmographie du réalisateur coréen Im Sang-Soo. Tout d'abord, le titre coréen « Une famille infidèle » est beaucoup plus juste que celui choisi pour la distribution en France de ce film. En effet, la femme coréenne du titre français n'est qu'une partie de l'histoire et, la liberté sexuelle apparente de cette famille, frôlant l'exagération, joue parfois en défaveur de l'histoire. On notera quelques points positifs dans ce film comme des dialogues sympathiques spoiler: - exemple : « comment comprendre le peuple américain, lui qui a élu président un paysan texan ? » - et d'autres plein de sens sur la sexualité du couple. Il y a aussi une scène qui marquera le spectateur occidental que je suis, terrifiante, directe et sans préparation psychologique : une scène effroyable comme seul le cinéma asiatique peut en produire. Je ne dévoilerai rien de cette scène ici mais ceux qui ont vu ce film comprendront tout de suite de quelle scène je veux parler.
    Mais, c'est quand même le négatif qui domine à la fin. Ainsi, le film manque de rythme et part un peu dans tous les sens, même si certains messages passent quand même très bien spoiler: (l'aveu de la veuve quant à sa liberté retrouvée, le mal être du fils adoptif face à ses parents non biologiques...)
    . En somme, une déception par rapport à mes attentes et à d'autres films du même réalisateur (« The President's Last Bang » (2005) notamment).
    peter W.
    peter W.

    44 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juillet 2017
    Bien, ça change un peu des films français convenus et maniérés sur le même sujet. Il y a par moment des ellipses un peu déroutantes mais ç'est assez percutant comme style.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    94 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mai 2016
    La réflexion d’Im Sang-soo sur le désir féminin est habile, sensible et sensuelle. Au-delà, c’est la position des femmes dans la société coréenne moderne qui est interrogée. Les interrogations sont multiples et paraissent en partie sans réponse. Ce long métrage est constellé de scènes somptueusement orchestrées et mises en images par le réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 février 2014
    Quel étrange film que "Une femme Coréenne" qui n'est pas sans nous rappeler "American Beauty". On pourrait penser qu'il s'agit d'un simple remake à la coréenne, puisque Sang-Soo Moon utilise les même code que son homologue américain. ( musique, photographie...) Finalement c'est une très bonne surprise. Moon So-ri est très convaincante dans son rôle de femme d'avocat un petit peu las de tout, sans oublier la si parfaite Yoon Yeo-jeong, plus récemment vu dans "The taste of Money".
    Malgré quelques longueur, ce film reste une très bonne découverte, un film à la fois drôle et touchant. Bref on ne s'ennuie pas et on en redemande.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 décembre 2012
    Encore un très bon film qui nous vient de Corée. Une Femme coréenne est un film multi-carte, pas exempt de tout reproche dans son propos, mais qui passe d'un thème à un autre avec une étonnante facilité. A noter également la sobriété d'ensemble, tant visuelle qu'émotionnelle.
    stillpop
    stillpop

    83 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 février 2012
    Sea, sex and Sun, version coréenne. On peut aussi penser à je t'aime moi non plus.
    Ce cinéaste n'a rien à voir avec celui de « Turning Gate », malgré les similitudes de patronyme. Et ça se sent !
    Il est frappant de voir la proximité de la mentalité coréenne avec la nôtre, nous autres grenouilles partouzeuses cyniques et jouissives athées. Il n'y a qu'à voir le succès de DSK dans les sondages après la révélation de ses infidélités FMIsiennes pour comprendre à quel point le sexe des vainqueurs reste le modèle dominant du machisme ambiant. Pour le bonheur décomplexé des célibataires qui croquent pendant quelques soirées les moitiés des autres.
    Il y a plusieurs qualités qui se dessinent sur la longueur dans ce petit joyau.
    La dissection des rapports amoureux loin de toute naïveté ou romantisme de pacotille, l'absence de morale ou de manichéisme basique, on navigue en eaux troubles, avec les risques que ça entraîne, sans que l'on puisse imaginer en arriver à cette fin là. Et oui, en plus des jeux de marivaudages attendus, il y a une méchante surprise pour le grand final.
    Tout le monde joue au risque pour le plaisir, plus ou moins finement, et tout le monde paye les pots cassés, non pas parce que la morale s'y oppose, mais parce que personne ne fait les choses d'une manière professionnelle. On pense évidemment aux « Trois petits cochons » canadiens, où il est démontré que le plaisir sans les soucis de l'adultère appartient aux intelligents. Et que les emmerdes suintent sur les jouisseurs sans cervelles. La vie, on la maîtrise ou on la subit, les règles sont les mêmes depuis la nuit des temps, et un film un peu existentialiste comme celui là ne déroge pas à la « règle ». C'est une grande qualité de montrer toutes ces vies, tout ces possibles, à tous les âges, c'est presque un recueil de tout ce qu'un être humain peut vivre, en restant lui-même. Et en gardant le recul nécessaire pour ne pas haïr son prochain, seulement de s'en protéger suffisamment. A croire que la jouissance soit le meilleur remède aux modèles débilisants des religions moralisatrices. Car quand on jouit, on apprend à vivre, pas en se privant de la beauté de la vie. Et on finit par respecter la vie plus que n'importe quel fou de dieu, car on l'aime.
    C'est la leçon de cette femme coréenne, qui fut fine et généreuse, et qui sera payée en retour, pas de la manière traditionnelle, mais finalement avec le miracle en héritage. Quelle plus belle leçon de vie pouvait-on prendre dans la gueule, loin de tout conformisme, de toute tiédeur lâche ou morale quelconque.
    L'autre beauté de ce film étant sa relative pudeur, les scènes de sexe sont abordées un minimum esthétiquement, rien à voir avec la crudité de « La femme est l'avenir de l'homme ».
    Le titre français peut sembler ronflant, mais au bout du compte, l'ambition de ce réalisateur coréen particulièrement doué fait largement passer la pilule. Vraiment sympathique malgré la dureté des sujets abordés.
    Christoblog
    Christoblog

    834 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 novembre 2010
    Attention chef d'oeuvre.

    Je ne m'attendais pas à grand-chose en visionnant ce film de Im Sans-soo. Allait-il ressembler à la meilleure veine de ce réalisateur (le très beau Vieux jardin) ou à celle, baroque, que j'aime moins (The housemaid, The president's last bang) ?

    Réponse : au Vieux jardin, en mieux encore.

    Impossible de raconter l'intrigue sans en déflorer les rebondissements principaux : sachez seulement qu'on suivra les destinées d'un avocat, de sa femme qui ne trouve plus sexuellement son compte dans leur relation, d'un jeune lycéen amoureuse de cette dernière, du père de ce dernier, de la maîtresse de l'avocat qui jouit en se frottant sur le dos de ces partenaires, de la mère de l'avocat qui trompe son père et connait son premier orgasme à 60 ans, de son père qui meurt sous nos yeux dans des circonstances effroyables (à la Pialat, ceux qui verront le film comprendront), de l'enfant adopté de l'avocat et de sa femme, d'un pauvre bougre qui conduit ivre son scooter, etc.

    Bref le film est un drame à l'ancienne, comme les italiens savaient si bien en faire dans les années 60/70, qui mêle avec brio tous les genres : comédie, érotisme, tragédie, chronique sociale et politique. Film somme (et pourtant seulement le troisième de Im Sang-soo, et son premier vraiment connu en Europe), Une femme coréenne est un bijou que je vous conseille fortement : scénario en béton, mise en scène souveraine, et les acteurs sont splendides et d'une rare sensualité (l'acteur et l'actrice principaux jouent également dans The housemaid). D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 juin 2010
    Bon film. de belle image, une bonne histoire, malheureusement pas très bien mis en scène.
    Mais ça reste un bon film.
    Bigg
    Bigg

    10 abonnés 213 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 février 2010
    Peinture d'une société coréenne encore en mutation, "Une femme coréenne" se veut tantôt léger, tantôt grave, très grave... La réalisation est léchée, la musique est soignée, les acteurs sont impliqués et on touche à l'érotisme sans tomber dans le vulgaire. Malheureusement, le tout manque de saveur pour passionner.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    209 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 novembre 2009
    C'est toujours un plaisir de revoir un film que l'on avait un peu mal jugé à sa sortie, comme ce "Une femme coréenne", étrange et assez troublant, et de découvrir une sorte de "petit grand" film. Un film en tout cas porté par une réelle intelligence de mise en scène, de montage et de narration, au service d'une vision diffractée mais finalement assez puissante des mutations de la société coréenne : une société faisant le deuil des crimes de la dictature - belle scène de charnier en ouverture - et apprenant à vivre une modernité déstabilisante, entre vieilles mauvaises habitudes - l'alcool et la corruption - et nouvelles incertitudes - la place de la femme, la liberté sexuelle pour quoi ? Voici au final un magnifique portrait de couple, combinant légéreté (pas de pathos ni de psychologie ici), et brutalité (c'est un film coréen, quand même !), grotesque douloureux et poussées de sensibilité bouleversantes. Oui, presque un grand film !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 octobre 2009
    sensualité et émotion dans cette "femme coréenne"
    rayonvert
    rayonvert

    25 abonnés 253 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 septembre 2010
    Radioscopie d'un couple moderne coréen : statut de l'homme, émancipation de la femme. c'est ce que veut montrer ce film. Malheureusement, le metteur en scène peine à nous intéresser à son histoire et à nous émouvoir. de temps en temps, des troués magiques nous suggèrent ce qu'aurait pu être le film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Une femme coréenne est un très beau film sensuel et apaissant. Pour commencer le film est dôté d'un magnifique scénario osé, idem pour sa réalisation dont on apprécie la beauté et la sensualitée des images de plus acccompagné d'acteurs bourrés de charmes et de talents, un femme coréeene est un beau chef-d'oeuvre venu d'Asie.
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