Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Brazil
par Alex Masson
La maison de cire renoue avec la règle d'or du genre : remplir un cahier des charges, oui, mais en s'amusant. Le film de Collet-Serra est un vrai train fantôme, une pure attraction de foire, où l'on sait bien que tout ça c'est pour de faux, mais on veut bien y croire le temps d'une chouette séance de frissons. (...) s'assumant comme un grand n'importe quoi, mais jouissivement sadique.
Fluctuat.net
par Jérôme Dittmar
(...) des ténèbres de nos fantasmes les plus sombres surgit aujourd'hui un nouveau diamant, La Maison de cire. Une vision sans compromis d'une perversité inouïe.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Score
par Bob Alcazar
(...) une excitation qu'on n'avait pas connu depuis longtemps dans le cinéma d'horreur -comme un enivrant parfum de nouveauté. Classique instantané ou futur raout culte, en tout cas le plus grand slasher de tous les temps, ce qui en soi ne veut rien dire (le genre est pas essence moribond) mais donne quand même la mesure jouissive et stylistique de l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Score
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malause
La Maison de cire ne vaut pas le mépris qui a accueilli sa sortie technique. (...) Le théâtre de la séquence finale est un tourbillon de visions à la folle beauté.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Drôle d'équilibre entre raffinement et grand-guignol, clins-d'oeils à la Joe Dante (la salle de ciné peuplée de spectateurs empaillés) et antique sauvagerie. Le film joue en outre sur la relative nullité de ses interprètes avec une ironie plutôt jouissive, transformant chacune de ses victimes potentielles (mention à Paris Hilton et à son regard de poulpe croisé avec une vache) en pur mannequin, figure inerte, morceau de chair au devenir plastique ou latex.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Ecran Fantastique
par Emmanuel Denis
Alors qu'on s'attendait à une simple relecture des deux classiques de Michael Curtiz et André De Toth, La Maison de cire emprunte une tout autre direction, adoptant la forme d'un slasher contemporain, sanglant... et réussi !
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Mathieu Carratier
C'est sadique, toujours intense et jamais con. Au moins jusqu'aux apparitions de Paris Hilton qui ne dépasse pas le coup maketing. [...] C'est un mini coup d'éclat dans un genre usé jusqu'à la rotule.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Mad Movies
par Alexandre Bustillo
Malgré ses intentions louables, l'ensemble ne fonctionne pas une seconde et plonge peu à peu le spectateur dans une inexplicable torpeur. Mais on ne sait par quel miracle, tout s'éclaire dans la dernière demi-heure quand Jaume Collet-Serra rentre enfin dans le vif du sujet en lançant aux trousses des kids un boogeyman efficace.
Télérama
par Pierre Murat
Tout se traîne lamentablement jusqu'à la dernière demi-heure, qui accumule jolis effets horrifiques et scènes spectaculaires. Notamment une bagarre dans une salle de cinéma où des cadavres recouverts de cire regardent pour l'éternité Qu'est-il arrivé à Baby Jane ?, de Robert Aldrich.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Gilles Renault
(...) la pouf blonde [Paris Hilton] a tout de même réussi à saccager toutes les scènes où on la voit, en compagnie de cinq autres jeunes abrutis, camper dans l'Amérique profonde. (...) Ecriture indigente ("emprunts" à Psychose compris), plombée par des personnages implacablement caricaturaux, des dialogues ineptes, trois ou quatre considérations psychologiques d'invertébrés et un pudding sonore, la Maison de cire (...) comporte cependant un deuxième temps fort : le quart d'heure final (...).
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
La Maison de cire n'est pas un mauvais produit en soi : un samedi soir, pour des ados déchaînés, le film peut faire l'affaire. Mais que penser des personnages crétins, aux comportements erratiques et absurdes ? (...) le script est quand même terriblement mal foutu : une exposition inutile de 40 minutes, des dialogues standards. La réalisation vulgaire de Jaume Collet-Serra, à hauteur de seins de l'héroïne, achève le tout.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
House of wax est (...) une production tout à fait dispensable, qui comporte d'entrée de jeu un défaut majeur, sa durée. Plus d'une heure cinquante pour un film dépourvu de scénario, sans aucun ressort dramatique et peuplé de personnages à la psychologie aussi épaisse qu'une feuille de papier, cela peut devenir douloureux pour les spectateurs. (...) La réalisation très approximative n'arrange pas les choses.
Brazil
La maison de cire renoue avec la règle d'or du genre : remplir un cahier des charges, oui, mais en s'amusant. Le film de Collet-Serra est un vrai train fantôme, une pure attraction de foire, où l'on sait bien que tout ça c'est pour de faux, mais on veut bien y croire le temps d'une chouette séance de frissons. (...) s'assumant comme un grand n'importe quoi, mais jouissivement sadique.
Fluctuat.net
(...) des ténèbres de nos fantasmes les plus sombres surgit aujourd'hui un nouveau diamant, La Maison de cire. Une vision sans compromis d'une perversité inouïe.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Score
(...) une excitation qu'on n'avait pas connu depuis longtemps dans le cinéma d'horreur -comme un enivrant parfum de nouveauté. Classique instantané ou futur raout culte, en tout cas le plus grand slasher de tous les temps, ce qui en soi ne veut rien dire (le genre est pas essence moribond) mais donne quand même la mesure jouissive et stylistique de l'ensemble.
Cahiers du Cinéma
La Maison de cire ne vaut pas le mépris qui a accueilli sa sortie technique. (...) Le théâtre de la séquence finale est un tourbillon de visions à la folle beauté.
Chronic'art.com
Drôle d'équilibre entre raffinement et grand-guignol, clins-d'oeils à la Joe Dante (la salle de ciné peuplée de spectateurs empaillés) et antique sauvagerie. Le film joue en outre sur la relative nullité de ses interprètes avec une ironie plutôt jouissive, transformant chacune de ses victimes potentielles (mention à Paris Hilton et à son regard de poulpe croisé avec une vache) en pur mannequin, figure inerte, morceau de chair au devenir plastique ou latex.
L'Ecran Fantastique
Alors qu'on s'attendait à une simple relecture des deux classiques de Michael Curtiz et André De Toth, La Maison de cire emprunte une tout autre direction, adoptant la forme d'un slasher contemporain, sanglant... et réussi !
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
C'est sadique, toujours intense et jamais con. Au moins jusqu'aux apparitions de Paris Hilton qui ne dépasse pas le coup maketing. [...] C'est un mini coup d'éclat dans un genre usé jusqu'à la rotule.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Mad Movies
Malgré ses intentions louables, l'ensemble ne fonctionne pas une seconde et plonge peu à peu le spectateur dans une inexplicable torpeur. Mais on ne sait par quel miracle, tout s'éclaire dans la dernière demi-heure quand Jaume Collet-Serra rentre enfin dans le vif du sujet en lançant aux trousses des kids un boogeyman efficace.
Télérama
Tout se traîne lamentablement jusqu'à la dernière demi-heure, qui accumule jolis effets horrifiques et scènes spectaculaires. Notamment une bagarre dans une salle de cinéma où des cadavres recouverts de cire regardent pour l'éternité Qu'est-il arrivé à Baby Jane ?, de Robert Aldrich.
Libération
(...) la pouf blonde [Paris Hilton] a tout de même réussi à saccager toutes les scènes où on la voit, en compagnie de cinq autres jeunes abrutis, camper dans l'Amérique profonde. (...) Ecriture indigente ("emprunts" à Psychose compris), plombée par des personnages implacablement caricaturaux, des dialogues ineptes, trois ou quatre considérations psychologiques d'invertébrés et un pudding sonore, la Maison de cire (...) comporte cependant un deuxième temps fort : le quart d'heure final (...).
MCinéma.com
La Maison de cire n'est pas un mauvais produit en soi : un samedi soir, pour des ados déchaînés, le film peut faire l'affaire. Mais que penser des personnages crétins, aux comportements erratiques et absurdes ? (...) le script est quand même terriblement mal foutu : une exposition inutile de 40 minutes, des dialogues standards. La réalisation vulgaire de Jaume Collet-Serra, à hauteur de seins de l'héroïne, achève le tout.
aVoir-aLire.com
House of wax est (...) une production tout à fait dispensable, qui comporte d'entrée de jeu un défaut majeur, sa durée. Plus d'une heure cinquante pour un film dépourvu de scénario, sans aucun ressort dramatique et peuplé de personnages à la psychologie aussi épaisse qu'une feuille de papier, cela peut devenir douloureux pour les spectateurs. (...) La réalisation très approximative n'arrange pas les choses.