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Plus qu'une métaphore politique, ce film offre un très beau portrait, moderne et émouvant, de la jeunesse. Pas de doute, le cinéma italien a retrouvé la forme !
Le film, parfois brouillon, a quelques faiblesses d'écriture, mais, à travers les expériences de l'innocente Caterina, il offre une satire sociale de la meilleure eau qui retrouve l'esprit virulent de la grande comédie italienne.
Tout ce que l'on peut attendre, espérer et redouter à la fois de ce type de chronique est là, dans un récit sans réelle surprise. (...) Ce large brassage ne manque pas de palpitations car il est porté par l'enthousiasme de ses interprètes, dans la foulée d'un Sergio Castellitto bouillant.
L'inévitable contrepoint parental dessine le portrait d'une société romaine en ébullition et accentue le frémissement émotionnel de ce petit bijou de tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dans ce registre si particulier où l'humour le dispute à l'amertume, Virzì fait montre d'un joli talent, que limite une certaine propension à souligner chaque effet en espérant en décupler le pouvoir comique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cette comédie de moeurs signée Paolo Virzi a des qualités : elle est très vivante, bien rythmée, et bénéficie de jeunes interprètes aussi ravissantes que douées. Elle a aussi quelques défauts, qui tiennent à la shématisation des caractères, aux traits exagérément grossis.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
A travers ce récit initiatique, certes un peu manichéen mais au final plutôt bien vu, ce sont toutes les contradictions politiques des Italiens que Paolo Virzi met en scène.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ce sixième film de Paolo Virzi a les défauts de ses qualités : fraîcheur désuète, critique sociale dépassée, tendresse trop forte pour ses personnages. On aurait aimé plus de férocité dans ce portrait de la société italienne, qui brille toutefois par ses interprètes.
Caterina va en ville, ersatz fadasse de comédie à l'italienne, n'offre en guise de vedette que Sergio Castellitto, sous-Mastroianni, et en guise de satire, qu'une vision convenue de la haute société romaine, divisée en gauche bobo et droite néofascisante, milieux que l'héroïne, oie blanche venue de province, fréquente successivement.
MCinéma.com
Plus qu'une métaphore politique, ce film offre un très beau portrait, moderne et émouvant, de la jeunesse. Pas de doute, le cinéma italien a retrouvé la forme !
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Le film, parfois brouillon, a quelques faiblesses d'écriture, mais, à travers les expériences de l'innocente Caterina, il offre une satire sociale de la meilleure eau qui retrouve l'esprit virulent de la grande comédie italienne.
Ouest France
Tout ce que l'on peut attendre, espérer et redouter à la fois de ce type de chronique est là, dans un récit sans réelle surprise. (...) Ce large brassage ne manque pas de palpitations car il est porté par l'enthousiasme de ses interprètes, dans la foulée d'un Sergio Castellitto bouillant.
Première
L'inévitable contrepoint parental dessine le portrait d'une société romaine en ébullition et accentue le frémissement émotionnel de ce petit bijou de tendresse.
Télérama
Paolo Virzi trousse une comédie habilement rythmée, avec de la finesse dans les détails du quotidien et des fulgurances surprenantes (...).
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Dans ce registre si particulier où l'humour le dispute à l'amertume, Virzì fait montre d'un joli talent, que limite une certaine propension à souligner chaque effet en espérant en décupler le pouvoir comique.
Rolling Stone
Sympathique, sans plus.
Télé 7 Jours
Cette comédie de moeurs signée Paolo Virzi a des qualités : elle est très vivante, bien rythmée, et bénéficie de jeunes interprètes aussi ravissantes que douées. Elle a aussi quelques défauts, qui tiennent à la shématisation des caractères, aux traits exagérément grossis.
TéléCinéObs
A travers ce récit initiatique, certes un peu manichéen mais au final plutôt bien vu, ce sont toutes les contradictions politiques des Italiens que Paolo Virzi met en scène.
Zurban
Ce sixième film de Paolo Virzi a les défauts de ses qualités : fraîcheur désuète, critique sociale dépassée, tendresse trop forte pour ses personnages. On aurait aimé plus de férocité dans ce portrait de la société italienne, qui brille toutefois par ses interprètes.
L'Humanité
Caterina va en ville, ersatz fadasse de comédie à l'italienne, n'offre en guise de vedette que Sergio Castellitto, sous-Mastroianni, et en guise de satire, qu'une vision convenue de la haute société romaine, divisée en gauche bobo et droite néofascisante, milieux que l'héroïne, oie blanche venue de province, fréquente successivement.
Les Inrockuptibles
(...) une satire plate, exécutée dans le style lisse qui mine actuellement le cinéma italien.