Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
MCinéma.com
par Philippe Scrine
Accessible au grand public, Deadlines ne recherche pas les effets. La réalisation et la narration sont classiques et, si message il y a, il n'a rien de manichéen. Les cinéastes sont parvenus à décrire ce climat si particulier dans lequel vivent les reporters de guerre, fait d'angoisse, de moments de détente, mais aussi de peurs et de pressions, pour le papier à écrire ou les images à envoyer, le scoop qui fera de l'audience.
Cahiers du Cinéma
par Xavier Tresvaux
Ca échappe à la caricature car les strates sont autonomes, chacune se déplace selon sa logique propre. Logique fictionnelle d'un côté, documentaire de l'autre. Deux chorégraphies pour une même scène éclairée par la couleur d'une époque assez idéalement restituée par Ivan Strasburg, ancien caméraman de documentaires.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Michaël Alan Lerner (...) a coréalisé le film avec Ludi Boeken, documentariste et ancien journaliste de guerre comme lui. Tout ce qu'il montre est vrai. Les situations, les personnages ont été calqués sur la réalité et leur expérience. Cela sonne juste. Quant à Anne Parillaud, elle est excellente en photographe intrépide et sans état d'âme.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Dans cette espèce d'europudding franco-anglo-tunisien sur la vie (et les amours) d'un jeune reporter américain durant le conflit libanais en 1983, tout est un peu faussé, bancal. Pour en faire un thriller politique haletant, il aurait fallu fouiller la question. On se contente d'à-peu-près, d'une vague manipulation du héros. Le problème, c'est surtout l'acteur principal, d'une fadeur éprouvante. Pourtant, l'effervescence de l'époque, l'arrière-plan général sont fort bien rendus (...)
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-Luc Douin
(...) ce thriller basé sur des événements réels a l'avantage de savoir de quoi il parle. Cautionné par des grands reporters qui y retrouvent le "sentiment d'excitation et du danger" ressenti sur place et leurs difficultés à filtrer leurs sources d'information, il ne parvient pas toujours à éviter de nous donner le sentiment qu'on est au cinéma.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Johanna Seban et Alexandre Chabert
Si la retranscription des conditions de travail des reporters de guerre est très réussie, les aventures de ce superhéros journaleux le sont beaucoup moins.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Fabien Baumann
Réalisé par deux anciens correspondants de guerre, Deadlines pue (mais c'est un compliment) de vérité (...). Pourquoi donc le film ne prend-il pas ? La faute à l'interprétation naïve des trop proprets Stephen Moyer et Anne Parillaud, à leur love story convenue (...) et à un scénario volontiers grandiloquent.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gaël Golhen
Si toute la partie docu, palpitante, est bourrée de vécu, le film se plante en jouant la carte du mélo. Deadlines s'abîme alors dans le cliché et gâche son sujet passionnant.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par François Gorin
Cet aspect documentaire est le plus intéressant. On n'en attendait pas moins d'un film écrit par Michael Lerner, qui couvrit le conflit libanais pour Newsweek. L'affaire se gâte quand s'y mêle une intrigue amoureuse doublée d'une assez plate histoire de rédemption
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
On regrette juste qu'à trop vouloir recréer l'ambiance de l'époque, le film en devienne daté, comme figé dans le temps. Sans être transcendant, Deadlines trouve un écho particulier avec l'actualité en Irak.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Aussi maladroit que sincère.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Problème : pas de cinéaste à bord, pas de fric et aucun humour pour relever la sauce nanar.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Score
par Pete Wakefield
Louons la liberté de la presse et encensons le courage des reporters prêts à affronter le danger pour informer le monde des conflits qui le secoue. Mais pas au prix d'un cinéma nanar semblant tout droit venu des années 80.
La critique complète est disponible sur le site Score
MCinéma.com
Accessible au grand public, Deadlines ne recherche pas les effets. La réalisation et la narration sont classiques et, si message il y a, il n'a rien de manichéen. Les cinéastes sont parvenus à décrire ce climat si particulier dans lequel vivent les reporters de guerre, fait d'angoisse, de moments de détente, mais aussi de peurs et de pressions, pour le papier à écrire ou les images à envoyer, le scoop qui fera de l'audience.
Cahiers du Cinéma
Ca échappe à la caricature car les strates sont autonomes, chacune se déplace selon sa logique propre. Logique fictionnelle d'un côté, documentaire de l'autre. Deux chorégraphies pour une même scène éclairée par la couleur d'une époque assez idéalement restituée par Ivan Strasburg, ancien caméraman de documentaires.
Le Figaroscope
Michaël Alan Lerner (...) a coréalisé le film avec Ludi Boeken, documentariste et ancien journaliste de guerre comme lui. Tout ce qu'il montre est vrai. Les situations, les personnages ont été calqués sur la réalité et leur expérience. Cela sonne juste. Quant à Anne Parillaud, elle est excellente en photographe intrépide et sans état d'âme.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Dans cette espèce d'europudding franco-anglo-tunisien sur la vie (et les amours) d'un jeune reporter américain durant le conflit libanais en 1983, tout est un peu faussé, bancal. Pour en faire un thriller politique haletant, il aurait fallu fouiller la question. On se contente d'à-peu-près, d'une vague manipulation du héros. Le problème, c'est surtout l'acteur principal, d'une fadeur éprouvante. Pourtant, l'effervescence de l'époque, l'arrière-plan général sont fort bien rendus (...)
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
(...) ce thriller basé sur des événements réels a l'avantage de savoir de quoi il parle. Cautionné par des grands reporters qui y retrouvent le "sentiment d'excitation et du danger" ressenti sur place et leurs difficultés à filtrer leurs sources d'information, il ne parvient pas toujours à éviter de nous donner le sentiment qu'on est au cinéma.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Si la retranscription des conditions de travail des reporters de guerre est très réussie, les aventures de ce superhéros journaleux le sont beaucoup moins.
Positif
Réalisé par deux anciens correspondants de guerre, Deadlines pue (mais c'est un compliment) de vérité (...). Pourquoi donc le film ne prend-il pas ? La faute à l'interprétation naïve des trop proprets Stephen Moyer et Anne Parillaud, à leur love story convenue (...) et à un scénario volontiers grandiloquent.
Première
Si toute la partie docu, palpitante, est bourrée de vécu, le film se plante en jouant la carte du mélo. Deadlines s'abîme alors dans le cliché et gâche son sujet passionnant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Cet aspect documentaire est le plus intéressant. On n'en attendait pas moins d'un film écrit par Michael Lerner, qui couvrit le conflit libanais pour Newsweek. L'affaire se gâte quand s'y mêle une intrigue amoureuse doublée d'une assez plate histoire de rédemption
Zurban
On regrette juste qu'à trop vouloir recréer l'ambiance de l'époque, le film en devienne daté, comme figé dans le temps. Sans être transcendant, Deadlines trouve un écho particulier avec l'actualité en Irak.
aVoir-aLire.com
Aussi maladroit que sincère.
Chronic'art.com
Problème : pas de cinéaste à bord, pas de fric et aucun humour pour relever la sauce nanar.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Score
Louons la liberté de la presse et encensons le courage des reporters prêts à affronter le danger pour informer le monde des conflits qui le secoue. Mais pas au prix d'un cinéma nanar semblant tout droit venu des années 80.