Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
(...) Last Days forme avec Gerry et Elephant une trilogie (...) Même prise d'écart avec cette origine de reportage par la souveraineté d'une mise en scène qui débraie la tragédie en longue vacance à travers les lacets, noeuds et boucles d'un labyrinthe (...)
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Last days ne donne nullement dans le biopic (...), à peine dans l'évocation. Petite chose en apparence, simple, tendance haïku. Il enchaîne plutôt sur Gerry et Elephant, avec qui il forme trilogie, entretient fraternité pré mortem, partage territoire étrange à fouiller. Continue l'élan.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Elisabeth Quin
Nul besoin de connaître l'histoire de Kurt Cobain (...) pour être ému et foudroyé par cette élégie calme qui lui est dédiée. Last Days dépasse la chronique des derniers jours d'un musicien pour atteindre au noyau universel, et compréhensible par tous.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Dominique Widemann
L'acteur Michael Pitt, lui-même musicien, révèle son talent. Tout ce que nous aimons retrouver chez Gus Van Sant se tient dans le lieu unique d'où il compose cette méditation (...) On sent à chaque seconde le respect qu'il leur porte.
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
Gus Van Sant s'attache avec beaucoup de soin, de pudeur et même de compassion à retracer les derniers jours d'une rock star suicidaire. (...) En silence, loin du fracas du show-biz, l'image de cette épave (Michael Pitt) qui abandonne son enveloppe corporelle est bouleversante.
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) à qui a vu Kurt Cobain, sur scène ou ne serait-ce que dans les clips de Nirvana, Last Days procure un choc initial qui relève presque d'une cérémonie spirite, qui voit l'apparition et presque la matérialisation d'un être que l'on croyait perdu à jamais (...) Un film austère, rigoureux, teinté de satire violente, empreint d'une grande tristesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Aussi beau que Gerry et Elephant, le choc de la surprise en moins, Last Days (...) semble boucler une trilogie sur une Amérique désenchantée qui dévore ses enfants (...) film superbe, éblouissant d'intelligence, et parfois même bouleversant, d'une facture aussi sensuelle que son fond est noirâtre (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gérard Lefort
Last Days est le grand film de l'adolescence au moment de son extinction (...) La splendeur de Last Days tient au fait que Gus Van Sant ne joue pas à dominer son sujet. Son film titube autant que son acteur, Michael Pitt (...), vacille. Garçon sublime, comme le latin l'entendait, il s'élève très haut dans le ciel, jusqu'à s'évanouir dans un éblouissement.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Avec des images et des sons, le cinéaste nous fait pénétrer l'esprit de son héros. La grâce des mouvements de caméra relève de la symphonie et souligne l'état d'isolement du personnage de Blake (...) un trip virtuose hypnotisant.
Ouest France
par La rédaction
Formellement à mi-chemin de la rigueur radicale de Gerry et de la narration développée d'Elephant, ces Last days sur le fond se refusent eux aussi à toute tentative de jugement et même simplement d'explication. Et c'est bien là ce qui fait sa force prenante et douloureuse.
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Le caractère atmosphérique de la mise en scène, permet à la caméra de ne pas capter uniquement quelque chose de singulier et d'original mais également quelque chose d'emblématique.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier De Bruyn
Poème noir et compulsif, dérive envoûtante, Last Days est aussi une évocation étrangement concrète. Les sens du spectateur, hypnotisés, sortent à vif de cette épopée immobile. Comme si, à force de murmures, de gestes tremblants et de regards obscurs, Last Days avait capturé une vérité essentielle.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
(...) une méditation sur la mort qui vient clore magnifiquement la "trilogie noire" du cinéaste. (...) une étrange comédie (...). Gus Van Sant parvient à capter l'essence tragique de ces derniers jours, bien aidé en cela par son interprète Michael Pitt, qui, la carcasse voûtée, incarne une douleur de tous les instants.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Gus Van Sant signe son film le plus dépouillé. (...) Last Days est un étrange voyage immobile dans la déglingue, en compagnie d'un spectre blond et de quelques zombies. Un voyage qui atteint sa destination finale sans heurt ni cri, comme si rien n'était plus simple. Et qu'il n'y avait pas si loin entre les vivants et les morts.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
France Soir
par Richard Gianorio
Last Days est un film d'un esthétisme radical époustouflant. Mais contrairement aussi à Elephant, ici la forme colle complètement au fond (...) On peut trouver ce film "arty" froid et affecté. Il est pourtant impossible de résister à son envoûtante poésie hypnotique.
Score
par V. McKey
Ceux qui ne sont pas habitués à la démarche du réalisateur resteront probablement aux portes de la maison où se passe la quasi-intégralité du film. Les autres trouveront leur chemin dans ce labyrinthe mental, aussi fascinant qu'aride, agaçant qu'émouvant. Quoiqu'il en soit, un film à part, unique.
La critique complète est disponible sur le site Score
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Sans atteindre le niveau d'Elephant (le sujet était peut-être plus universel et donc touchait plus en profondeur), Last days représente une expérience sensorielle qui, pour peu qu'on accepte de se laisser hypnotiser et qu'on succombe au trip, hante longtemps après la projection
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Obs
par Fabrice Pliskin
Michael Pitt compose un extraordinaire personnage de clown funèbre et toxico (...) Hélas, si Van Sant enregistre la belle performance de Pitt, il ne parvient pas à résoudre ce casse-tête : comment filmer l'ennui sans ennuyer son public
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
Gus Van Sant (...) fait sur sur-place en reproduisant ce qui a fait la texture d'Elephant (...) Manque juste une étincelle de grâce qui aurait desserré l'étau d'ennui emprisonnant cette longue métaphore sur la mort du rock'n'roll.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Variety
par Leslie Felperin
(critique cannoise) (...) un portrait sans fard du mode de vie rock'n'roll hédoniste, ponctué de séquences à la beauté fascinante, mais dont l'imagerie quasi-religieuse frise parfois le mauvais goût.
Zurban
par Claire Vassé
Ces instants où la musique surgit pour redonner de la substance à ce monde que l'artiste a déjà perdu de vue sont magiques. Mais pas suffisamment pour ne pas nous conforter dans l'idée que le réalisateur d'Elephant tombe dans la pose à force de se reposer sur des dispositifs formels, notamment au niveau sonore.
The Hollywood Reporter
par Kirk Honeycutt
(critique cannoise) Vu l'ennui qui s'installe à la vision de Last days, on excusera les spectateurs qui se prendraient à rêver que film se fût intitulé The Last day. (...) Un exercice vain.
Cahiers du Cinéma
(...) Last Days forme avec Gerry et Elephant une trilogie (...) Même prise d'écart avec cette origine de reportage par la souveraineté d'une mise en scène qui débraie la tragédie en longue vacance à travers les lacets, noeuds et boucles d'un labyrinthe (...)
Chronic'art.com
Last days ne donne nullement dans le biopic (...), à peine dans l'évocation. Petite chose en apparence, simple, tendance haïku. Il enchaîne plutôt sur Gerry et Elephant, avec qui il forme trilogie, entretient fraternité pré mortem, partage territoire étrange à fouiller. Continue l'élan.
Elle
Nul besoin de connaître l'histoire de Kurt Cobain (...) pour être ému et foudroyé par cette élégie calme qui lui est dédiée. Last Days dépasse la chronique des derniers jours d'un musicien pour atteindre au noyau universel, et compréhensible par tous.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
L'acteur Michael Pitt, lui-même musicien, révèle son talent. Tout ce que nous aimons retrouver chez Gus Van Sant se tient dans le lieu unique d'où il compose cette méditation (...) On sent à chaque seconde le respect qu'il leur porte.
Le Figaroscope
Gus Van Sant s'attache avec beaucoup de soin, de pudeur et même de compassion à retracer les derniers jours d'une rock star suicidaire. (...) En silence, loin du fracas du show-biz, l'image de cette épave (Michael Pitt) qui abandonne son enveloppe corporelle est bouleversante.
Le Monde
(...) à qui a vu Kurt Cobain, sur scène ou ne serait-ce que dans les clips de Nirvana, Last Days procure un choc initial qui relève presque d'une cérémonie spirite, qui voit l'apparition et presque la matérialisation d'un être que l'on croyait perdu à jamais (...) Un film austère, rigoureux, teinté de satire violente, empreint d'une grande tristesse.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Aussi beau que Gerry et Elephant, le choc de la surprise en moins, Last Days (...) semble boucler une trilogie sur une Amérique désenchantée qui dévore ses enfants (...) film superbe, éblouissant d'intelligence, et parfois même bouleversant, d'une facture aussi sensuelle que son fond est noirâtre (...).
Libération
Last Days est le grand film de l'adolescence au moment de son extinction (...) La splendeur de Last Days tient au fait que Gus Van Sant ne joue pas à dominer son sujet. Son film titube autant que son acteur, Michael Pitt (...), vacille. Garçon sublime, comme le latin l'entendait, il s'élève très haut dans le ciel, jusqu'à s'évanouir dans un éblouissement.
MCinéma.com
Avec des images et des sons, le cinéaste nous fait pénétrer l'esprit de son héros. La grâce des mouvements de caméra relève de la symphonie et souligne l'état d'isolement du personnage de Blake (...) un trip virtuose hypnotisant.
Ouest France
Formellement à mi-chemin de la rigueur radicale de Gerry et de la narration développée d'Elephant, ces Last days sur le fond se refusent eux aussi à toute tentative de jugement et même simplement d'explication. Et c'est bien là ce qui fait sa force prenante et douloureuse.
Positif
Le caractère atmosphérique de la mise en scène, permet à la caméra de ne pas capter uniquement quelque chose de singulier et d'original mais également quelque chose d'emblématique.
Première
Poème noir et compulsif, dérive envoûtante, Last Days est aussi une évocation étrangement concrète. Les sens du spectateur, hypnotisés, sortent à vif de cette épopée immobile. Comme si, à force de murmures, de gestes tremblants et de regards obscurs, Last Days avait capturé une vérité essentielle.
TéléCinéObs
(...) une méditation sur la mort qui vient clore magnifiquement la "trilogie noire" du cinéaste. (...) une étrange comédie (...). Gus Van Sant parvient à capter l'essence tragique de ces derniers jours, bien aidé en cela par son interprète Michael Pitt, qui, la carcasse voûtée, incarne une douleur de tous les instants.
Télérama
Gus Van Sant signe son film le plus dépouillé. (...) Last Days est un étrange voyage immobile dans la déglingue, en compagnie d'un spectre blond et de quelques zombies. Un voyage qui atteint sa destination finale sans heurt ni cri, comme si rien n'était plus simple. Et qu'il n'y avait pas si loin entre les vivants et les morts.
France Soir
Last Days est un film d'un esthétisme radical époustouflant. Mais contrairement aussi à Elephant, ici la forme colle complètement au fond (...) On peut trouver ce film "arty" froid et affecté. Il est pourtant impossible de résister à son envoûtante poésie hypnotique.
Score
Ceux qui ne sont pas habitués à la démarche du réalisateur resteront probablement aux portes de la maison où se passe la quasi-intégralité du film. Les autres trouveront leur chemin dans ce labyrinthe mental, aussi fascinant qu'aride, agaçant qu'émouvant. Quoiqu'il en soit, un film à part, unique.
aVoir-aLire.com
Sans atteindre le niveau d'Elephant (le sujet était peut-être plus universel et donc touchait plus en profondeur), Last days représente une expérience sensorielle qui, pour peu qu'on accepte de se laisser hypnotiser et qu'on succombe au trip, hante longtemps après la projection
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Michael Pitt compose un extraordinaire personnage de clown funèbre et toxico (...) Hélas, si Van Sant enregistre la belle performance de Pitt, il ne parvient pas à résoudre ce casse-tête : comment filmer l'ennui sans ennuyer son public
Rolling Stone
Gus Van Sant (...) fait sur sur-place en reproduisant ce qui a fait la texture d'Elephant (...) Manque juste une étincelle de grâce qui aurait desserré l'étau d'ennui emprisonnant cette longue métaphore sur la mort du rock'n'roll.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Variety
(critique cannoise) (...) un portrait sans fard du mode de vie rock'n'roll hédoniste, ponctué de séquences à la beauté fascinante, mais dont l'imagerie quasi-religieuse frise parfois le mauvais goût.
Zurban
Ces instants où la musique surgit pour redonner de la substance à ce monde que l'artiste a déjà perdu de vue sont magiques. Mais pas suffisamment pour ne pas nous conforter dans l'idée que le réalisateur d'Elephant tombe dans la pose à force de se reposer sur des dispositifs formels, notamment au niveau sonore.
The Hollywood Reporter
(critique cannoise) Vu l'ennui qui s'installe à la vision de Last days, on excusera les spectateurs qui se prendraient à rêver que film se fût intitulé The Last day. (...) Un exercice vain.