AlloCiné
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Votre avis sur Glory ?
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Très bonne reconstitution de ce que fut la guerre de sécession. Pas de fioritures, ça mourrait en ligne et ça fait peine à le voir. Acteurs convaincants, déroulement de l'histoire intelligente. Rien ne semble artificiel, on bon moment de cinéma !
cette période de guerre de l Amérique a toujours donné des films plutôt intéressants c est encore le cas ici même si je ne trouve pas ce dernier indispensable. la vie de ce régiment de noir qui se bat sur le champ de bataille pour sa liberté est plutôt facile à suivre même si je dois admettre qu il ne se passe pas grand chose et que l vie de ce régiment manque de dramaturgie , d immersion entre les protagonistes et leurs relations , le point de vue aussi du commandement qui ne voit que de la chair à canon.... on développe pas assez autour de son existence et des conséquences , des combats que mène le colonel d un point de vue politique pour les faires combattre.... Le film a aussi très mal vieillit il faut le dire. Le casting quand a lui est très bon avec un futur grand acteur en la personne de denzel Washington...même si une grande parties des personnages sont plutôt simples. on note aussi une jolie bande sonore.
Tres bon film sur une periode importante de l'histoire americaine, pas assez mise en avant a mon gout. La narration lui donne un rythme particulier, que des bons acteurs, des scenes emouvantes et des scenes de guerre impressionantes. On a tout de meme le sentiment qu'il manque quelque chose.
Oscars mérités ! Les acteurs sont parfaitement dans le rôle. Un drame historique aussi magnifique que terrible. Ce film ne nage pas dans les clichés racistes comme il eut été facile de le faire. Mais il démontre le respect d'un officier pour ses hommes et le besoin de prouver qu'un long et fastidieux entraînement n'est utile et démonstratif que s'il s'applique au combat. J'ai beaucoup apprécié le casting et les rôles de chaque acteur, surtout celui de Robert Shaw joué par Matthew Broderick. Les combats sont excellents et le film totalement appréciable tant en VF qu'en VO :)
Yetcha
Une excellente histoire vraie qui nous montre à quel point les gens sont bêtes. Bataillon moins bien équipés, moins bien formé, moins bien payé car noir! Et pourtant, plus encore que le reste de l'armée nordiste (les unionnistes), une volonté de faire changer les choses. Même si le spectre du tout gentil Lincoln plane au-dessus de tout ça (n'oublions pas qu'il voulait non pas, supprimer l'esclavage, mais le légiférer plus officiellement). Enfin il n'en reste pas moins un superbe film, émouvant et fort avec une tripotée d'acteurs de premier rang. Du très bon Zwick
this is my movies
Film sur la guerre de Sécession signé par E. Zwick et qui réunit un joli casting pour un film ample, bien rythmé et nanti de bonnes intentions. Ces dernières ne font pas tout car on sent aussi qu'il y avait matière à faire un film encore plus dense mais que de nombreuses scènes sont restées sur le banc de montage (une grande partie des prestations de C. Elwes et de J. Alexander notamment). Il en résulte un film parcouru de reconstitutions soignées de certaines batailles, avec beaucoup de figurants dévoués (il existe aux USA de nombreux fans de cette période et de nombreux congrès qui reconstituent certaines batailles, ces différentes associations ont fournis au film des figurants, des armes, des uniformes et des conseils précieux pour apporter plus d'authenticité à l'ensemble) et quand bien même on recense de nombreuses approximations historiques, que certains personnages restent grossièrement dessinés, il y a de nombreuses séquences fortes qui parcourent le film, appuyées par une partition un poil ampoulée de J. Horner mais c'est aussi une belle leçon de tolérance et de vivre ensemble qui célèbre la réunion d'une nation tout en évoquant certaines dissensions graves qui perdurent encore aujourd'hui. C'est beau, bien joué, le scénario manque parfois de subtilité mais la mise en scène est solide, la reconstitution soignée et ça se laisse voir tranquillement. D'autres critiques sur
Roub E.
Edward Zwick n’est pas le réalisateur le plus subtil qui soit et ce Glory en est un parfait exemple. Jamais le film n’est à la hauteur de l’histoire qu’il raconte. Il veut toujours en faire trop à l’image de sa musique trop présente et même pressente et d’un côté Hollywoodien trop appuyé et trop lisse par rapport à son sujet. C’est dommage car pour le coup les personnages assez différents sont plutôt bien écrits et interprétés et donnent à voir différents points de vue sur le sujet, même si le sujet en lui même est finalement traité de manière trop superficielle. Dommage aussi que la période de l’instruction ne soit trop longue par rapport à celle de la bataille finale qui m’a donné l’impression d’être à la fois bâclée et cherchant constamment le tire larme de manière outrancière. C’est un film plus nécessaire que réellement réussi.
JeremGar
L'histoire d'un régiment de volontaires de couleur noire durant la Guerre de Sécession aux Etats-Unis. Le film suit quelques personnages de ce régiment baptisé la 54ème Massachusetts. On y suit alors le colonel Shaw et quelques uns de ses soldats interprétés par Morgan Freeman, Denzel Washington ou encore Andre Braugher.
Tout d'abord, j'ignorais totalement cette partie de l'Histoire de cette guerre. C'est donc un très bon point pour ce film qui, je pense, a également fait découvrir à de nombreuses personnes que l'armée de l'Union avait incorporé des soldats noirs dans ses effectifs. Et la 54ème Massachusetts était quelque peu l'échantillon cobaye.
Ce film mérite amplement les quelques récompenses qu'il a obtenues (notamment les deux récompenses pour Denzel Washington dans un second rôle). Les jeux d'acteurs sont formidables et il est bon de voir Denzel Washington ne pas s'approprier l'image mais se mettre légèrement en retrait. A noter également son exceptionnelle interprétation lors de la terrible scène du fouet.
Finalement, ce film ne met pas tellement le racisme ou l'esclavage sur le devant de la scène et c'est bien là qu'il y trouve sa personnalité. Il est question, ici, de commandement et de soldats volontaires qui veulent se battre pour la justice, pour la gloire. Peu importe s'ils meurent ou survivent, l'important est d'avoir marqué l'Histoire et d'avoir pu avoir la chance d'agir. Si on peut être contre cette idéologie patriotique propre aux Américains, on ne peut que relever la beauté de ce film qui malgré les vingt années qui se sont écoulées n'a presque pas pris de rides. En termes de jeux et d'émotions, ce film n'a aucunement vieilli. Après, il faut avouer qu'il a pris un peu d'âge notamment dans les scènes de combat. Mais on n'y tiendra pas rigueur.
Finalement, ce film est une réalisation à voir absolument pour diverses choses. La première étant le point historique. On apprend certaines choses sans pour autant entrer dans les moindres détails. Le second point étant le côté vrai de son histoire. Le Colonel Shaw a bien existé et le film se base essentiellement sur ses écrits (même si le réalisateur a avoué avoir un peu embelli la vision de ce Colonel vis-à-vis de ses soldats). Le dernier point est l'interprétation de tous les acteurs. Ce qu'il y a de beau dans ce film c'est qu'aucun d'entre eux ne dépasse l'autre. Tous y jouent un rôle et le tiennent à merveille.
Tout d'abord, j'ignorais totalement cette partie de l'Histoire de cette guerre. C'est donc un très bon point pour ce film qui, je pense, a également fait découvrir à de nombreuses personnes que l'armée de l'Union avait incorporé des soldats noirs dans ses effectifs. Et la 54ème Massachusetts était quelque peu l'échantillon cobaye.
Ce film mérite amplement les quelques récompenses qu'il a obtenues (notamment les deux récompenses pour Denzel Washington dans un second rôle). Les jeux d'acteurs sont formidables et il est bon de voir Denzel Washington ne pas s'approprier l'image mais se mettre légèrement en retrait. A noter également son exceptionnelle interprétation lors de la terrible scène du fouet.
Finalement, ce film ne met pas tellement le racisme ou l'esclavage sur le devant de la scène et c'est bien là qu'il y trouve sa personnalité. Il est question, ici, de commandement et de soldats volontaires qui veulent se battre pour la justice, pour la gloire. Peu importe s'ils meurent ou survivent, l'important est d'avoir marqué l'Histoire et d'avoir pu avoir la chance d'agir. Si on peut être contre cette idéologie patriotique propre aux Américains, on ne peut que relever la beauté de ce film qui malgré les vingt années qui se sont écoulées n'a presque pas pris de rides. En termes de jeux et d'émotions, ce film n'a aucunement vieilli. Après, il faut avouer qu'il a pris un peu d'âge notamment dans les scènes de combat. Mais on n'y tiendra pas rigueur.
Finalement, ce film est une réalisation à voir absolument pour diverses choses. La première étant le point historique. On apprend certaines choses sans pour autant entrer dans les moindres détails. Le second point étant le côté vrai de son histoire. Le Colonel Shaw a bien existé et le film se base essentiellement sur ses écrits (même si le réalisateur a avoué avoir un peu embelli la vision de ce Colonel vis-à-vis de ses soldats). Le dernier point est l'interprétation de tous les acteurs. Ce qu'il y a de beau dans ce film c'est qu'aucun d'entre eux ne dépasse l'autre. Tous y jouent un rôle et le tiennent à merveille.
Un grand film historique réalisé par Edward Zwick. L'histoire prenante et touchante du premier régiment constitué d'américains de couleur pendant la guerre de sécession qui montre bien l'état d'esprit de l'époque. Des hommes qui se sont battus pour l'honneur et unis pour la liberté. Le casting est excellent : Matthew Broderick, Denzel Washington (Oscar du Meilleur second rôle masculin), Cary Elwes, Morgan Freeman, Jihmi Kennedy, Andre Braugher et Bob Gunton. Les scènes de combats sont réussies et la bande originale signé James Horner est magnifique.
La valeur de ce film ne vient pas des scènes de guerre mais de ce qu'il montre de l'époque américaine en terme de préjugés raciaux et de corruption à tous les niveaux de commandement. L'exemple de la difficulté pour les soldats noirs d'obtenir ce dont les soldats blancs ont droit en terme d'équipement et de solde est l'exemple que rien n'e va de soi, que le combat se joue à plusieurs niveaux pour les noirs. Au cœur du régiment, le spectateur a l'impression de ressentir ce qu'éprouvent les combattants noirs, leur humiliation, leur colère, leur détresse de voir le racisme de leurs chefs et des autres soldats blancs qui sont dans le même camp. Un film qui fait réfléchir sur la condition humaine et le racisme larvé ou assumé.
Film un peu passé aux oubliettes pourtant il met en lumière une page sombre de l’histoire des Etats-Unis. Beaucoup d'imperfections dus à l’inexpérience d'Edward Zwick à l'époque, le choix d'un acteur avec un visage aussi enfantin et aussi peu de charisme que Matthew Broderick pour un personnage aussi important peut aussi décevoir. Mais hormis ça Glory est passionnant, avec de courtes mais belles batailles et aura aussi permit de révéler Morgan Freeman et Denzel Washington au grand public.
Edward Zwick aborde une partie de l'Histoire américaine assez méconnue : celle du premier bataillon entièrement composé de personnes de couleur noire lors de la guerre de Sécession, ceux-ci rejoignant alors les rangs pour défendre leur cause. Avec son savoir-faire habituel, le réalisateur nous immerge dans cette période sans problèmes et malgré certaines maladresses du scénario qui semblent inévitables (et alourdies par la partition de James Horner) à cause du sujet abordé. Mais les acteurs savent incarner à fond leurs personnages et nous livrent de belles scènes (celle de la punition de Denzel Washington, la réunion de soldats avant de monter à l'assaut) en particulier Matthew Broderick qui nous livre une de ses meilleures performances en colonel strict mais profondément humain.
Redzing
L'histoire du premier régiment noir de la guerre de Sécession. "Glory" tient plus du drame que du film de guerre, et propose des personnages intéressants bien interprétés. Matthew Broderick incarne un jeune officier idéaliste et sensible, mais n'hésitant pas à se montrer très dur. Face à lui, des recrues en tout genre, de la tête brûlée (Denzel Washington) au grand sage (Morgan Freeman). On regrette cependant le ton très politiquement correct du film : les officiers racistes sont pour la plupart incompétents ou malhonnêtes, tandis que les officiers abolitionnistes sont courageux et fiers. Mais ceci est rattrapé par de belles séquences de batailles, servies par une jolie musique signée James Horner.
Tout n’est jamais noir ou blanc, exception notable faite de l’Armée confédérée avant que Lincoln n’autorise les régiments noirs. C’est ce nœud historique que vient cueillir Zwick & avec lui les fleurs d’un scénario tout prêt, gloire incluse. Un bouquet qu’il n’hésitera pas à salir néanmoins, & ce n’était pas forcément là un choix facile comme il en résulte que la poésie de certains plans se trouve comprimée par l’ambiance lourde.
Il veut faire un film de guerre & il n’est pas question qu’on ait l’impression de voir autre chose que des combats, comme s’il partait des préjugés qu’il n’y a pas de place pour tout & que le contexte n’importe pas : trop refermé sur sa petite crédibilité, le film est dépourvu d’antécédents & les rapports humains sont censés tenir tout seuls – ce qu’ils s’empressent de ne pas faire dans le cas des rôles désolants de la mère & de l’ami de Shaw.
Shaw, c’est le colonel, héros de la nation & de l’histoire, qui commande le régiment de couleur. C’est aussi Matthew Broderick & je ne comprends pas comment ce gars pouvait être un premier choix pour le rôle. Il est mou. On lui fait jouer un petit colonel, un fils de bonne famille pas trop bête qui se trouve forcé d’apprendre la guerre sur le tas, certes, mais c’est surtout, pendant un bon tiers du film, un petit acteur sur lequel pèse trop la responsabilité de figurer l’incompétence militaire & qui fiche tout par terre dans l’intervalle.
Les dialogues ne l’aident guère. ”Teach them properly”, ”deal with this man” : ”enseignez-leur correctement”, ”occupez-vous de cet homme”, autant de lignes sans punch qui hésitent entre ridiculiser l’inexpérience & garder le minimum de poigne militaire dont le résultat est, au mieux, de transformer le personnage en jouet pour le spectateur. Il faut attendre que les choses se compliquent pour pouvoir apprécier des scènes complexes révélant, au fur & à mesure que Shaw & son acteur se bonifient, qu’il y avait une volonté véritable de faire naître le militaire de sa propre incompétence. Ce que cela révèle surtout, c’est que l’effet est forcé & qu’on avait trop misé sur une guerre de masse dont l’anticipation est fade : même Freeman (a l’inverse de Washington, par contre) voit sa prestation bridée, comme pour confirmer qu’aucun acteur n’avait le droit de faire le film à lui tout seul.
Les combats en eux-mêmes, quoiqu’érigés en matière d’achèvement, sont le point fort. Grâce à une reconstitution à base de volontaires & à une pyrotechnie hors-pair, c’est tout le souffle d’une guerre civile énorme que l’œuvre se met à respirer – un peu tard. De simplement représenter la guerre avec franchise ne la rend pas mémorable pour autant.
→ https://septiemeartetdemi.com/
Il veut faire un film de guerre & il n’est pas question qu’on ait l’impression de voir autre chose que des combats, comme s’il partait des préjugés qu’il n’y a pas de place pour tout & que le contexte n’importe pas : trop refermé sur sa petite crédibilité, le film est dépourvu d’antécédents & les rapports humains sont censés tenir tout seuls – ce qu’ils s’empressent de ne pas faire dans le cas des rôles désolants de la mère & de l’ami de Shaw.
Shaw, c’est le colonel, héros de la nation & de l’histoire, qui commande le régiment de couleur. C’est aussi Matthew Broderick & je ne comprends pas comment ce gars pouvait être un premier choix pour le rôle. Il est mou. On lui fait jouer un petit colonel, un fils de bonne famille pas trop bête qui se trouve forcé d’apprendre la guerre sur le tas, certes, mais c’est surtout, pendant un bon tiers du film, un petit acteur sur lequel pèse trop la responsabilité de figurer l’incompétence militaire & qui fiche tout par terre dans l’intervalle.
Les dialogues ne l’aident guère. ”Teach them properly”, ”deal with this man” : ”enseignez-leur correctement”, ”occupez-vous de cet homme”, autant de lignes sans punch qui hésitent entre ridiculiser l’inexpérience & garder le minimum de poigne militaire dont le résultat est, au mieux, de transformer le personnage en jouet pour le spectateur. Il faut attendre que les choses se compliquent pour pouvoir apprécier des scènes complexes révélant, au fur & à mesure que Shaw & son acteur se bonifient, qu’il y avait une volonté véritable de faire naître le militaire de sa propre incompétence. Ce que cela révèle surtout, c’est que l’effet est forcé & qu’on avait trop misé sur une guerre de masse dont l’anticipation est fade : même Freeman (a l’inverse de Washington, par contre) voit sa prestation bridée, comme pour confirmer qu’aucun acteur n’avait le droit de faire le film à lui tout seul.
Les combats en eux-mêmes, quoiqu’érigés en matière d’achèvement, sont le point fort. Grâce à une reconstitution à base de volontaires & à une pyrotechnie hors-pair, c’est tout le souffle d’une guerre civile énorme que l’œuvre se met à respirer – un peu tard. De simplement représenter la guerre avec franchise ne la rend pas mémorable pour autant.
→ https://septiemeartetdemi.com/
L'histoire du premier régiment de combattants noirs durant la guerre de sécession, avec un casting d'élite, Denzel Washington ou Morgan Freeman pour les soldats et Matthew Broderick dans la peau du jeune colonel (25ans) inexpérimenté, dur avec ses hommes mais qui va les soutenir jusqu'au bout.
Le sujet - des anciens esclaves qui vont se battre pour la bannière de ceux qui sont prêts à leur offrir la liberté - est intéressant d'un point de vue historique, même s'il est difficile d'échapper à certains moments ou personnages stéréotypés souvent vus dans les films sur cette période.
Bonne reconstitution de l'époque, quelques scènes plus fortes mais il manque une petite dose d’exaltation...jusqu'à la bataille finale, grandiose et digne d'un opéra, musique comprise, et le funeste sort de ces soldats apporte (enfin) l'émotion attendue depuis le début.
Le sujet - des anciens esclaves qui vont se battre pour la bannière de ceux qui sont prêts à leur offrir la liberté - est intéressant d'un point de vue historique, même s'il est difficile d'échapper à certains moments ou personnages stéréotypés souvent vus dans les films sur cette période.
Bonne reconstitution de l'époque, quelques scènes plus fortes mais il manque une petite dose d’exaltation...jusqu'à la bataille finale, grandiose et digne d'un opéra, musique comprise, et le funeste sort de ces soldats apporte (enfin) l'émotion attendue depuis le début.
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