Avis : Chaos - Page 6

je ne peux pas trop dire de bien de ce genre de thriller un peu trop à l ancienne et qui aujourd hui mériterai un peu lieu on attend autre chose plus d originalité dans son scénario c est trop linéaire et l enquête et sans réel rebondissement, les acteurs ne sont pas non plus très a l aise on attend mieux d eux et l intrigue est momolle sa manque de punch je m attendais a un film plus musclé. j au l impression de voir ç est film de flic de quand j étais gosse très américain.... sans originalité.

La réalisation est loin d'etre de qualité. Les scènes d'actions sont trop lentes, les dialogues assez pauvres. Faire du neuf avec les ficelles du vieux ne suffit pas, même si on apporte une petite nouveauté et qu'on complique le scénario. Les têtes d'affiches sauvent à peine le film. On n'est pas loin d'une série policière allemande. Pas d'intérêt...

Chaos est plutôt un thriller sympathique, pas révolutionnaire mais simplement plaisant. le scénario est bien ficelé et l'ensemble ce laisse voir avec plaisir. c'est juste dommage qu'on ne voit pas assez Wesley Snipes et que le braquage du début ne dure pas plus longtemps. en fait je m'attendais à un film de braquage est c'est un film d'enquête que j'ai vu, mais pas grave c'est vraiment pas mal. Le film vaut beaucoup pour la présence de Jason Statham. La mise en scène n'est pas terrible mais la musique est jolie. A voir pour les fans des deux acteurs principaux mais faut pas espérer un gros film d'action.

Une bonne petite série B ni très surprenante ni très prévisible à la fin jouissive. Jason Statham et Wesley Snipes s'en donnent à coeur-joie (Ryan Philippe est d'ailleurs un peu etouffé par ses 2 monstres de charisme) et le scénario est pas mal écrit. Vite vu, vite oublié!

Un scénario assez sympathique, avec du bon bricolage à l'approche de la fin, un Jason Statham passable spoiler: qui cache bien son jeu
, un Wesley Snipes... secondaire, et un Ryan Phillippe avec un rôle à la Dixon Piper dans MacGruber.

Quand un film présente en tête d’affiche le duo Jason Statham/Wesley Snipes on est averti, pour peu qu’on aille un minimum au cinéma, que ça ne va sûrement pas être un film d’auteur. « Chaos » ne nous prend donc pas en traître et annonce dès le début qu’on va voir un film d’action qui ne fera sûrement pas dans la subtilité. Pour confirmer le film commence par une poursuite suivie d’un braquage de banque avec prise d’otage. Mais c’est là que le film sort un peu des sentiers battus en expédiant, pour une fois rapidement, le hold-up et nous évite ainsi le jeu du face à face flics/gangsters tel qu’on l’a maintes fois vu dans le genre. À partir de là le film prend un malin plaisir à être retors et à brouiller les pistes le tout rythmé par des poursuites, des fusillades, des interrogatoires musclés et des faces à faces tendus. L’ensemble tient plutôt bien le spectateur en haleine. Malheureusement dans la grosse demi-heure de fin et suite à la mort d’un des personnages principaux (mort dont on sait à l’avance qu’elle est simulée, croyez moi je ne tue pas le suspens en disant ça) provoque un rapide retour du film dans les stéréotypes du genre. On assiste alors à un essoufflement de l’intrigue ce qui rend le film plus commun et pour tout dire plus ennuyant. La résolution des énigmes se révèle tirée par les cheveux et le rebondissement de fin, qui se laissé deviner depuis un petit moment, tombe finalement bien à plat achevant un film en demi-teinte qui finit par succomber aux travers et aux facilités inhérentes au genre du thriller d’action. Les acteurs font le boulot, mais n’offrent pas non plus une partition exceptionnelle. À voir pour se détendre, mais sans en attendre plus

Là où Chaos de Tony Giglio est un peu mensonger, c'est qu'il nous vante le film comme un face à face entre Statham, (que je n'apprécie pas trop par ailleurs, peut être que ça a compté) et Snipes, ce qui en soi est alléchant, sauf qu'on ne les voit jamais ensemble à l'écran. Enfin, en tout cas, moi c'est ce à quoi je m'attendais et dès lors, le soufflé retombe vite. Alors, c'est sûr que le scénario est rempli de twists, le méchant n'a pas toujours été forcément méchant, les gentils ne sont pas forcément gentils, les morts pas forcément morts, du coup on ne s'ennuie jamais pendant les 90 minutes de film mais le risque c'est de justement perdre le spectateur en cours de route. En plus, il est passé complétement inaperçu en France, 100 000 spectateurs début 2006. Allez, on va dire qu'en la matière, Statham ou Snipes ont fait mieux.

Un casting qui présageait plus du bourrin que du subtil et pourtant...
Un bon policier avec des retournements de situations pas déplaisants et une fin moins télescopée que d'habitude.
Jason "tatanne" plus en retenue, Wesley Snipes toujours en mode classe et Ryan Philipps en subtilité, le tout gratifié d'un scénario habile, on se retrouve avec un film honnête et plutôt bien foutu.

Un film d'action efficace et bien ficelé, sans temps mort et bien joué. Très classique de prime abord, les surprises se succèdent et prennent le spectateur au jeu.

Une petite serie B qui se laisse voir avec une fin originale. Bon y a pas de quoi sauter au plafond mais c'est sans surprise et cela fonctionne plutôt bien.

polar dont le scénario est hyper bien ficelé . Le film se laisse regarder, puis intrigue pour finalement nous bluffer totalement à la fin du film. Seule la distribution pêche par un manque de charisme de ses personnages. Non pas qu'ils jouent mal, mais ils manquent d'étoffe pour incarner des personnages qui méritaient décidément bien mieux.

De l'action, de la réflexion et une chute vraiment inatendu :D
3 acteurs de grand standing.
A voir :)

Bon susupense du début a la fin, gros film d'action, de trés bon acteurs. Un film assez bien.

Rien de bien palpitant dans ce polar convenu et sans surprise. Vu uniquement à cause de la présence de Jason Statham mon chouchou. Et un Ryan Phillippe encore une fois sous expoilté. Aussitôt vu aussitôt oublié.

En se voyant proposer une confrontation avec Jason Statham, Wesley Snipes aurait pu (aurait dû) relancer sa carrière sur le grand écran. Oh je ne dis pas qu’il a arrêté de tourner mais ses rôles se cantonnent essentiellement (et ça continue) à des productions télé, et ce malgré des débuts prometteurs. Prometteur : voilà ce qu’est ce "Chaos". Entre un braquage de banque qui semble être tout ce qu’il y a de plus classique, une prise d’otages également classique, et le fait que le leader des malfrats ne veuille qu’un seul et unique interlocuteur (et pas n’importe lequel), la matière est là pour capter l’attention du spectateur malgré une légère sensation qu’il va assister à du déjà-vu plus ou moins recuisiné. L’opposition se met en place doucement et effectivement, il semble qu’on se dirige vers du déjà-vu. Eh bien non ! "Chaos" est un polar au scénario saupoudré d’une sacrée dose de complexité, pour en faire une intrigue à plusieurs tiroirs, orchestrée sur une bonne musique de Trevor Jones. Ceci a ses avantages et ses inconvénients. D’abord on sort du schéma classique de la négociation pour se diriger vers un discours aux airs philosophiques où chaque mot compte. Même les mots « théorie » et « chaos » ont été soigneusement séparés. Mais non, c’est bien la théorie du chaos qui est évoquée, et cette conversation revêt le costume d’une véritable mine d’indices. Des indices synonymes d’informations capitales, dont le spectateur saisira l’importance par la réécoute scrupuleuse de cette discussion. Il sera habilement dirigé vers le décorticage de cette théorie (somme toute resté relativement simple), revêtant cette affaire d’un aspect peu singulier. D’autant plus qu’elle semble rattachée à une autre affaire ayant eu lieu quelques temps plus tôt, sur le pont de Pearl Street, scène par laquelle le film débute. Mais comment ? Se peut-il que cet affrontement ne soit que le simple désir de vengeance de la part d'un membre de la famille du voyou abattu ? A côté de ça, nous avons affaire aussi à un buddy movie grâce au tandem créé par l’association entre un flic chevronné aux méthodes radicales et un jeune flic plus raisonné pour lequel chaque détail compte. Un jeune flic brillant, quoi. Ainsi, autour de cette affaire a priori organisée autour de la théorie du chaos, le spectateur se voit offrir une triple confrontation qui va l’amener jusqu’à un dénouement final retentissant. Cependant, la complexité du scénario demande un maximum de concentration et le spectateur peut facilement décrocher au fil des mauvais raccords (on voit les débris de verre sur le casque et l’épaule de Shane quand il circule à moto (super maniable, la moto, d’ailleurs !!) alors que sur le plan d’avant il n’y en avait plus) ou de quelques effets un peu surfaits tels que cette explosion à la banque en début de film. Le spectateur perdra le fil d’autant plus facilement si "Chaos" est diffusé sur les chaînes de télévision qui balancent des pages de pubs à tout va. C’est pour cette raison qu’il semble logique que la majeure partie du public puisse ressentir le besoin de visionner assez rapidement ce long métrage au moins une seconde fois afin de bien comprendre tous les éléments, et encore… Parce que croyez-moi, il y a de quoi mettre à rude épreuve les méninges, au même titre que celles de Shane. Les fausses pistes sont nombreuses, et l’enquête ne manque pas de relief au vu des nombreux rebondissements. De là à accepter l’idée d’accorder presque deux heures (en comptant le temps de s’installer et tout et tout) de son temps à un film qu’on vient juste de voir… ça, c’est une autre paire de manche. Mais c’est le prix à payer pour tout comprendre, ce qui permettra au passage de réaliser que le scénario est assez bien foutu et écrit aux petits oignons. Quoiqu’il en soit, Ryan Philippe rivalise sans difficulté avec Jason Statham et Wesley Snipes, et leur vole même presque la vedette, muni de son regard intense et déterminé. C’est lui qui s’en sort le mieux, parce que Statham et Snipes semblent chacun de leur côté trop sûrs de leur art, ce qui les rend arrogants, voire désinvoltes avec cette espèce de sourire permanent vissé aux coins des lèvres. On a l’impression qu’ils n’ont rien à foutre de ce que les autres pensent et qu’il ne manque plus que le fameux « je t’emmerde » dans leurs répliques. Et ça, c’est assez dérangeant, je dois dire…