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(...) il est bon de voir un auteur remettre les pendules à l'heure sur ce qu'est un cinéma ambitieux, intelligent, émouvant, exigeant, et sans rien sacrifier aux notions d'accessibilité et de divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Qu'on accepte ou non d'entrer dans la danse, impossible de nier que se joue là une forme de permanence et d'absolu du cinéma que seuls quelques maîtres ont pu approcher.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Grand spectacle, assurément, Le Nouveau Monde est surtout un magnifique film d'auteur, une oeuvre méditative, riche de rimes visuelles, d'échos splendides (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) les scènes d'amour sont d'une beauté époustouflante, tout comme la jeune comédienne Q'Orianka Kilcher, véritable révélation. Quand à Colin Farrell, il est étonnant de retenue...
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Reprenant le mythe de Pocahontas des mains de Disney, le cinéaste filme la naissance de l'Amérique, mais aussi la montée spirituelle d'une jeune Indienne déracinée. Sublime.
Grâce qu'il l'insuffle aux 135 minutes de son nouveau long métrage, avec toujours la même puissance d'évocation et un sens inné de la mise en scène, tantôt furieuse et brutale, tantôt contemplative et suggestive.
Sept ans après "La ligne rouge", avec Jim Caviezel en figure christique, Terrence Malick en propose le pendant féminin avec cette ode à la déesse Nature dans laquelle Christian Bale confirme, après "The Machinist", qu'il est l'un des acteurs-clés de sa génération.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Si Malick nous donne aussi fort la sensation de saisir le monde dans toute son ampleur, c'est avant tout par la force de sa mise en scène, d'un lyrisme à la fois classique et incroyablement inventif- notamment dans son montage.
Comme si le film refusait d'embarquer le spectateur, le laissait devant une porte entrouverte, le contraignait à écouter les récits que livrent en voix off trois des protagonistes et qui n'apportent guère que redondance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Certes, le film de Terrence Malick se veut un tout enveloppant, une sorte de grand bain sensoriel, où images et son seraient indissociables. Encore eût-il fallu se distinguer de l'esthétique publicitaire...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
(...) il est bon de voir un auteur remettre les pendules à l'heure sur ce qu'est un cinéma ambitieux, intelligent, émouvant, exigeant, et sans rien sacrifier aux notions d'accessibilité et de divertissement.
Chronic'art.com
Qu'on accepte ou non d'entrer dans la danse, impossible de nier que se joue là une forme de permanence et d'absolu du cinéma que seuls quelques maîtres ont pu approcher.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Travaillée par le doute et l'inquiétude, cette relecture de la légende de Pocahontas est ainsi, avant tout, un bel opéra classique.
L'Humanité
Le Nouveau Monde est une oeuvre immense dans laquelle il fait bon se perdre.
Le Monde
Grand spectacle, assurément, Le Nouveau Monde est surtout un magnifique film d'auteur, une oeuvre méditative, riche de rimes visuelles, d'échos splendides (...)
Le Parisien
(...) les scènes d'amour sont d'une beauté époustouflante, tout comme la jeune comédienne Q'Orianka Kilcher, véritable révélation. Quand à Colin Farrell, il est étonnant de retenue...
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Reprenant le mythe de Pocahontas des mains de Disney, le cinéaste filme la naissance de l'Amérique, mais aussi la montée spirituelle d'une jeune Indienne déracinée. Sublime.
Libération
Par le grand maître américain, une relecture élégiaque de l'histoire de Pocahontas.
MCinéma.com
Grâce qu'il l'insuffle aux 135 minutes de son nouveau long métrage, avec toujours la même puissance d'évocation et un sens inné de la mise en scène, tantôt furieuse et brutale, tantôt contemplative et suggestive.
Ouest France
Cet hymne à la beauté et à la bonté sauvages fait chanter des images d'une luxuriante richesse et d'un éblouissant raffinement.
Positif
Malick ne donne pas dans un primitivisme naïf. Il relève, par ses rimes visuelles, de nombreux parallèles entre les deux mondes.
Première
(...) la fresque est si intense et subtile qu'elle dynamite les a priori moraux, les croyances pseudo-philosophiques, les certitudes cinéphiles.
Score
Lyrisme attendu mais parfaitement retenu qui permet au film de s'envoler parfois vers les cimes poétiques et mystiques de l'opéra.
Télé 7 Jours
Sept ans après "La ligne rouge", avec Jim Caviezel en figure christique, Terrence Malick en propose le pendant féminin avec cette ode à la déesse Nature dans laquelle Christian Bale confirme, après "The Machinist", qu'il est l'un des acteurs-clés de sa génération.
Télérama
(pour) Film de la naissance de l'Amérique et d'une passion, film de la colonisation et d'un deuil, Le Nouveau Monde est tout cela, et plus encore.
Zurban
Si Malick nous donne aussi fort la sensation de saisir le monde dans toute son ampleur, c'est avant tout par la force de sa mise en scène, d'un lyrisme à la fois classique et incroyablement inventif- notamment dans son montage.
aVoir-aLire.com
Une fresque magistralement mise en scène, d'une beauté visuelle stupéfiante.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Paris Match
Sous la forme d'un hymne lyrique, le récit transcende l'Histoire pour célébrer la nature avec une remarquable grâce esthétique.
Rolling Stone
Entre contemplation et classicisme, la nouvelle balade sauvage de Malick déroute.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Journal du Dimanche
On regrette seulement que la ballade onirique, dans ce "Nouveau Monde" au parfum d'éden, finisse en romance un peu mièvre.
Cahiers du Cinéma
Le message est lourdingue (...)
Elle
La beauté des images et le charme de la jeune Q'Orianka Kilcher se révèlent impuissants à sauver du naufrage ce film attendu.
L'Obs
Comme si le film refusait d'embarquer le spectateur, le laissait devant une porte entrouverte, le contraignait à écouter les récits que livrent en voix off trois des protagonistes et qui n'apportent guère que redondance.
Télérama
Certes, le film de Terrence Malick se veut un tout enveloppant, une sorte de grand bain sensoriel, où images et son seraient indissociables. Encore eût-il fallu se distinguer de l'esthétique publicitaire...
TéléCinéObs
Ici, tout est expliqué, rabâché, surligné.