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Un visiteur
4,0
Publiée le 11 juin 2017
Le film pourrais prêter au ridicule à certains moments : la toute première scène du début avec un monologue ridicule de la part de Tobey Maguire - les scènes d'acclamations de Spider-Man qui vole ou arrive sur un lieu, la mèche rebelle de Peter, son arrogance bien trop appuyé, etc... bref, j'en ai limite trouvé cela gênant par moment. Je n'irais pas jusqu'à dire que le film est mauvais en soit, j'ai adoré. L'équipe fonctionne toujours aussi bien, tous les ingrédients du film y sont et proprement unique à Sam Raimi (sauf pour Venom, merci Sony d'avoir tout fait foirer même si le personnage est bien dans la forme et mauvais dans le fond) le côté plus sombre du film ne m'a pas dérangé même si j'aurais préféré revoir une réalisation comme l'excellent premier film et le chef-d'œuvre qu'a été le deuxième. Il faut admettre que James Franco dépote sévère en Green Goblin. Ce volet en sois-même est excellent mais Sam Raimi a tellement mis la barre haute pour les deux premiers voir beaucoup trop haute pour le deuxième volet, que ce troisième a fait éloge de comparaison et qui forcément, c'est cassé la gueule en point de vue critique.
2007 marque la fin de la trilogie Spider-man de Sam Raimi avec ce troisième épisode certes loin d'être mauvais mais en dessous des deux précédents.
Peter Parker mène enfin la vie rêvé, il sort avec Marie Jane, il réussit sa vie d'étudiant et la notoriété de sont alter égo Spider-man grimpe en flèche. Tout va changer quand son ex-meilleur ami va vouloir ce venger, quand l'assassin présumé de son oncle s'évade de prison et qu’une mystérieuse substance prend le contrôle de Peter.
Le gros problème du film est dans son scénario "four tout", a force de multiplié les intrigues on a le droit a du développement bâcler et de grosse ficèles narrative, reste quand même de bon moments et un rythme soutenue grâce à des séquences d'actions plus nombreuses que les deux précédents.
Dans ce volet, la mise en scène de Raimi est toujours aussi bonne bien qu’un peu plus cartoonesque par moments.
Le visuel du long métrage est quand à lui agréable avec de bon effet spéciaux pour l'époque.
Les personnages sont le second point noir du long métrage, traitement bâcler et à coté de la plaque donnant lieux à certaines séquences ridicules. A noté également un jeux d'acteurs moins convaincant que dans les deux premier films.
Christopher Young remplace Danny Elfman à la BO qui n'en reste pas moins réussit en reprenant avec brio le thème marquant des premiers film et en créant de nouveaux très sympathique.
En conclusion Spider-man 3 bien que possédant pas mal de qualités, cumule beaucoup plus de défauts que les précédents ce qui l'empêche d'arriver à leur hauteur. N'en reste quand même un film sympathique et divertissant de l'homme araignée.
Au début de ce 3ème volet, Peter Parker semble gérer plutôt bien sa vie et ses activités mais tout va être remis en question. Spiderman va devoir faire face à son côté obscur spoiler: dévoilé par un symbiote noir qui s'accroche à lui : il sera plus fort, plus agile mais plus noir aussi ! A ça viennent s'ajouter venom et l'homme sable : le combat final est grandiose et la scène finale remplie d'émotions.
La trilogie Spider-Man opère un vrai changement avec ce troisième opus, dans le sens ou l'on modifie la logique de l'intrigue qui était auparavant entre-coupé par l'introduction des motivations qui feront du méchant ce qu'il est. On a ici une complexification du schéma avec des ennemis de l'homme araignée multiples et qui se manifesteront soit de façon classique soit de façon plus subtile (son fameux costume noir). Pour tout cela, on ne peut pas en vouloir à Raimi d'avoir fait tous les efforts possibles pour donner un troisième épisode plus étonnant et détonnant afin que la sauce prenne encore une troisième fois. Il clair que c'est une succession de données qui finalement accuse un peu le coup et rend ce 3 moins attrayant, je ne sais pas ce qui prend le dessus, entre Parker qui se ridiculise en bastonneur testostéroné (ce n'est tellement pas lui que même si l'effet voulu est inverse, cela "casse" un peu le mythe), sans parler du couple qu'il forme avec M-J qui bas de l'aile, c'est carrément pas sympa pour les fans ça. Il a fallut attendre deux épisodes pour qu'enfin la vérité tant attendue éclate (et on va pas se mentir c'est bien "ça" qui tient le film, avec une romance si réussie le pari ne peut être que tenu), pour qu'au final tout parte en vrille? Un deuxième mythe cassé qui passe plutôt mal celui là. Je veux bien ne pas jouer à la niaise mais il aurait fallu plus de faux semblants pour pimenter le couple, car là c'est fait sciemment et ne colle pas du tout au personnage de Parker façonné jusqu'à présent en n'ayant d'yeux que pour sa belle. Le final offre quand même de beau rebondissements inattendus, le tout avec des effets spéciaux plus esthétiques. Même si admirer Spider-Man virevoltant entre les grattes ciel devient plus bateau au bout du compte. Cette saga se conclue sur un épisode qui s’apparente plus au X-Men actuels qu'à l’adaptation classique du comics comme l'était les deux premiers épisodes. Cette trilogie demeure quand même incontournable et The Amazing était bien en dessous, c'est avec beaucoup d'appréhension que j'attends le Homecoming de juillet... Et d'ailleurs c'est surement ça aussi le secret de la réussite des Spider-Man de Raimi, le bon alliage de plusieurs genres, aventure, drame, comics, romance, qui fonctionne à merveille...
Une très bonne conclusion à l'une des meilleurs trilogies du cinéma. L'histoire prend un ton beaucoup plus sombre et sérieux que les précédents volets, les morceaux de bravoure sont nombreux, les effets spéciaux bluffants et la psychologie des personnages bien travaillée. Seule la fin respire un peu le bâclage.
Un peu en dessous des 2 premiers mais toujours une réussite dans la continuité tant dans la distribution que le réalisateur. Une suite qui ne tire pas trop sur la corde et qui rebondit avec la face noire de Péter emporté par le pouvoir grandissant de Spider man et un combat pour retrouver son identité. Encore plus d'action et d'effets spéciaux. Peter et Mary Jane gagnent en maturité, quittent le sratut de lyceens etudiants pour un côté plus adulte et la romance gagne en profondeur. Hélas le dernier volet de la trilogie avec l'ensemble de cette remarquable équipe à la baguette car on aurait aimé voir la suite avec ce couple maintenant formé et l'identité de Spider man révélée.
Bonne suite,où cette fois les vérités sont révélées mais où également Peter devient plus sombre et agressif.Jalousies,trahisons,déceptions,succès,célébrité font partie de ce dernier opus.La relation amoureuse de Peter connait des bas alors que Harry essaie de faire face à la perte de son parent.D'ailleurs on fait les connaissances de Gwen Stacy et de son papa.Intéressante la scène où Spiderman se trouve un allié occasionnel.Malheureusement il y a un sacrifié aussi..et une mort assez triste. Super le générique de debout et la réalisation est géniale. Pour cet opus on retrouve le trio principal et May avec les mêmes acteurs,alors que le gros méchant est incarné par Thomas Haden Church,assez convaincant mais sans plus.
Assurément le moins bon, le film part dans tout les sens tellement il y'a de méchants et d'actions, c'est peut-être cool mais le scénario en souffre, notamment le final qui est sans-dessus dessous. La version teenage cool de Spider-Man c'est horrible, tellement loin du genialissime 2, même les ennemis manquent de prestance et de charisme. Après dans la réalisation, Raimi arrive à offrir des scènes d'actions pas trop mal mais ça ne sauve pas tout. L'humour est bien présent par contre, un peu trop par rapport aux autres.
Peter Parker revient, cette fois-ci avec différents antagonistes qui proposent malgré tout un scénario riche, plus sombre au point que le film n’en soit spécialement accessible pour les enfants avec l’apparition de Venom ou l’Homme Sable, certes Raimi rush sur les personnages sans spécialement leur donner des antécédents mais son génie fait qu’on y croit jusqu’au bout et livre un nouveau bouffon vert qui permet de lier ce troisième film aux deux précédents, un Eddie Broke crédible qui est fidèle aux comics (le Venom de 2018 est à bannir !) et l’homme sable qui s’occupe de la toile de fond pour apporter des combats épiques et un final gorgé d’émotion comme oxymore au ton lugubre qu’adopte le film depuis le début ! Bravo encore pour cette trilogie monsieur Raimi !
La trilogie de Sam Raimi s'achève avec un beau film. La complexité des personnages est toujours recherchée par le réalisateur avec leurs doutes et leurs peurs. L'action est néanmoins présente avec trois méchants dont l'excellent homme des sables. Un très bon film.
"C’est donc en 2007 que Sam Raimi termine sa trilogie, entamée 5 ans auparavant, consacrée à l’homme araignée avec Spider-Man 3. Ce film nous raconte (ou du moins, tente de nous raconter) beaucoup de choses.
Spider-Man est donc devenu un véritable héros aux yeux de la ville et il sort enfin avec Mary-Jane Watson. Il doit donc réussir à concilier sa vie de couple avec sa vie de super-héros. Plusieurs menaces vont donc venir pimenter le film.
Premièrement, Harry Osborn, qui accuse Peter Parker/Spider-Man d’avoir tué son père, va donc prendre sa relève pour le venger et devenir le nouveau Bouffon Vert.
Deuxièmement, le criminel Flint Marko s’évade de prison et va devenir l’Homme-Sable.
Troisièmement, Peter va être contaminé par un symbiote nommé Venom qui va le rendre plus agressif, plus violent et plus arrogant.
Enfin, dans le même temps, Peter doit faire face à un concurrent, Eddie Brock, qui veut devenir le photographe officiel de Spider-Man pour le Daily Bugle.
L’histoire de ce film est donc très chargée, voire même trop chargée. Il y a 3 gros arcs narratifs, et finalement on ne sait pas véritablement lequel est censé être le principal. Ça pose problème quand même. Le film passe régulièrement du coq à l’âne lorsqu’il passe d’une intrigue à l’autre ce qui fait que, par moments, on a un peu du mal à s’y retrouver. Ces arcs narratifs sont donc assez mal traités, et parfois, un peu trop expédiés.
Perdu au milieu de tout cela, il y a quand même des moments très intéressants qui permettent d’apporter de bons développements à propos de certains personnages et de leurs relations. Mais il y aussi quelques éléments qui ne sont pas assez exploités, voire même totalement inutiles. Il y a quand même d’assez bons rebondissements, mais il y aussi plusieurs facilités scénaristiques et quelques incohérences (des personnages ignorent des choses qu’ils devraient savoir, et vice-versa)."
La conclusion de la meilleure saga Spiderman porté au cinéma. Avec ce film, parfois très gnangnan, légèrement ridicule, mais aussi plus sombre, la sage Spiderman qui en avait vraiment dans le ventre prend fin, et c'est pas plus mal. Un quatrième opus aurait été de trop vu la tournure que prenait ce film. Il n'en reste pas moins très plaisant. Voir l'homme araignée faire régner l'ordre et la justice dans New York une dernière fois, tout en essayant de résoudre ses problèmes personnels, est divertissant à souhait. Une trilogie de films de super héro somme toute assez classique, mais très efficace. Plus que la norme actuelle, notamment dans l'univers Marvel.
Toute une trilogie pour représenter les étapes que doit traverser un homme afin de devenir un héros. D'abord les métaphores de l'évolution de l'enfant à l'adolescent, puis à l'adulte (changement du corps donc les muscles/organes, puis la perte des pouvoirs et du manque de confiance en soi, de la recherche de son identité (adolescence), et pour finir de son côté sombre qu'il doit affronter (l'adulte)). Même si la série a quelques dialogues banales, des tournures maladroites, et des plans Hollywoodiens; elle a le mérite de s'être trouvé un sens, de faire avancer le monde du cinéma et d'y apporter sa patte. Sam Raimi a pondu ici l'une des plus grandes séries de super-héros. Pour en revenir à l'épisode 3 (puisque c'est le sujet), le symbiose (venom) prend possession du spider man (et non de Peter), ensuite spider man prend possession de Peter) Le masque de spider man devient Peter, et Peter devient le masque de spider man, qui est le héros et qui est l'homme derrière le masque ? Qui je suis ? Le symbiose prend possession du film, il le martèle et nous désoriente, il nous montre tout le mauvais jusqu'à la critique même du cinéma. De quoi en faire une grande analyse si le temps me le permet. Nous avons donc une série qui termine par son commencement "Nous avons toujours le choix, un homme devient ce qu'il est par ses choix". Une métaphore de l'évolution d'un enfant vers l'homme, vers le pouvoir d'accomplir de grandes choses. "Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités."
Critique de "Spiderman 3". Techniquement en deçà des deux précédents volumes. Mais côté action, il y'a du positif, des bons effets, de nouveaux personnages. Malgré ces quelques défauts tels que l'interprétation des acteurs et le scénario, Spiderman 3 reste un blockbuster divertissant. 3/5