Mondwest
Note moyenne
3,6
951 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Mondwest ?

125 critiques spectateurs

5
18 critiques
4
37 critiques
3
47 critiques
2
20 critiques
1
2 critiques
0
1 critique
Trier par :
Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
Cinememories
Cinememories

494 abonnés 1 493 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 27 septembre 2022
De romancier à scénariste, puis de scénariste à réalisateur. Michael Crichton ne cessera pas de nous surprendre, quel que soit le support utilisé. En avance sur l’ère technologique et toute autre avancée scientifique, il développe une dystopie éducative et divertissante, pour le malheur des ambitions les plus loufoques et les plus réalistes, rapprochant les hommes et les intelligences artificielles. Un regard vers le passé s’impose et les choix sont rigoureux, car chaque illustration des propos du réalisateur est nouée à la violence, et surtout la présence d’un libre-arbitre que notre société actuelle ne peut satisfaire. C’est pourquoi il y a l’idée d’un parc, d’attraction et d’escapade. La formule promet une évasion à toute épreuve, coupant radicalement les ponts avec la civilisation contemporaine. Delos saura donc nous guider vers la vérité.

Moyen-Âge, Empire Romain et Far West… trois univers qui ont marqué l’histoire de la culture occidentale. Le réalisme est au cœur du développement, c’est pourquoi les visiteurs viennent se ressourcer en régressant d’un cran dans leur mode de vie. La sensation est réelle et avant-gardiste, car la cible de l’œuvre reste évidemment le grand public qui affectionne les émotions fortes. Le but est tout de même de le faire douter, lui montrer que le spectacle vue des coulisses et sur scène n’ont rien à voir avec la relation entre le spectateur et son écran. Crichton nous invite littéralement dans son film, par le biais de deux américains en quête de désirs, en quête de repos.

Le fantasme a ses limites et la perte de contrôle des androïdes prouve que la conscience humaine est transposable à la machine. L’alerte retentit, alors que les machines reprennent de droit leur destin, erreur humaine. Entre l’habitué du parc et la nouvelle recrue, il existe un fossé qu’il nous ait donné de jauger. Le premier est d’aspect mécanique, malgré sa condition organique. Le second se laisse prendre par l’hésitation, seule barrière qui l’empêche de sombrer dans la routine protocolaire du parc. Cela peut paraître anodin et pourtant, la nouveauté de la violence banalisée est inquiétante. Le meurtre, le pouvoir, le contrôle,… ce sont des capacités que l’humain ne peut canaliser dans une époque où il est malade des règles qu’il s’est imposé. Or ici, il n’y en a pas voire plus. Le cowboy-robot (Yul Brynner) qui fait office de créature indomptable et indestructible est un redoutable adversaire pour les visiteurs, qui recherchaient pourtant la sécurité. Le paradoxe avec le réalisme d’un monde violent est donc de rigueur, car les deux extrêmes ne peuvent coexister.

En somme, « Mondwest », ou encore « Westworld » en version originale, est un techno-thriller de plus qui s’ajoute au palmarès de Crichton. Il y étudie l’impact du futur sur le passé avec ingéniosité, contrebalançant quelques règles qui sauront nous faire vibrer. Cependant, il est dommage de sous-exploiter deux univers pour le prix d’un western. Il aurait été judicieux de consacrer davantage d’épisodes qui montrent le soulèvement des robots dans des univers bien plus primitifs et tout aussi complexe. Le manque de budget pourrait justifier ce détail, c’est bien dommage. Le potentiel n’est exploité qu’au tiers, malgré une magnifique feinte scénaristique visant à standardiser la morale. Le frisson est tout de même préservé grâce au cowboy-robot, à défaut d’exploiter un meilleur filon que la traque sans fin. Mais comme on l’affirme toujours, haut et fort, parfois l’action vaut mieux que des beaux discours et c’est sur cette démarche que le premier long-métrage de Crichton percute et questionne sur la valeur d’une âme.
Agnes L.
Agnes L.

182 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 12 juin 2023
Quand un monde sophistiqué, créé pour le loisir immersif de touristes fortunés, se dérègle, plus rien ne va et ceux qui étaient là pour se distraire, connaissent l'angoisse. En cinquante ans, si les effets spéciaux ont beaucoup progressé, l'idée à la base du film reste pertinente et le suspense bien présent.
Jahro
Jahro

59 abonnés 684 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 18 août 2019
C’est l’homme à qui on doit Jurassic Park, et sa suite dans un Monde perdu, mais aussi Sphère, Congo, Urgences, Soleil levant ou encore Harcèlement. Pilier du techno-thriller pour les librairies, grand maître de la SF documentée à être presque plausible, Michael Crichton décide en ’73 de faire ses armes dans le septième art. Il écrit pour ça un scénario original, bien ancré dans son univers habituel où la science dessine le futur en expliquant quasiment tout – mais où ce ‘quasiment’ fait lui-même presque tout. On s’en doute, le néo-cinéaste n’est pas tant à son aise que derrière son clavier, mais il fait l’effort, il tente des choses dans son montage, dans ses cadrages et son ambiance sonore, et le résultat est franchement correct. Malheureusement, le rythme s’alanguit à mesure que la bobine avance, et les petites maladresses apparaissent et se remarquent de plus en plus. On devine aussi les coupes imposées par la MGM, dans les ruptures de la narration, dans les changements de tonalité, qui rendent l’ensemble petit à petit moins homogène. Mais restons indulgents avec ce réalisateur novice, et soulignons au passage l’importance de Mondwest pour les bien plus récents Blade Runner et autres Terminator.
ptitmayo
ptitmayo

37 abonnés 969 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 31 décembre 2016
Je découvre ce film après avoir regardé la série, mais heureusement ce n'est pas gênant, les 2 se démarquant bien l'un de l'autre. En effet, ici on est dans du pur divertissement où le pitch de départ est propice à recréer des scènes classiques de films de western spoiler: (le saloon, les cartes, le bordel, les duels au pistolet, le serpent)
et d'oeuvres historiques spoiler: (les orgies de l'empire Romain, les duels à l'épée et les banquets du Moyen-Âge)
, sans pousser la réflexion au sujet des robots qui deviennent conscients. En revanche, le scénario montre progressivement le fonctionnement du parc spoiler: (le travail la nuit, comment rafistoler les robots, où sont situés les ateliers par rapport au parc)
et s'amuse avec les robots spoiler: (la vision infrarouge notamment, le serpent)
. D'un point de vue technique, la réalisation n'est pas extraordinaire mais les effets visuels kitsch ou bien la musique sont hilarants, l'ancienneté du film jouant un rôle comique tout à fait adapté à l'esprit de Westworld, à l'image de Yul Brynner délirant en robot spoiler: (les yeux, l'acide, la démarche, la fumée)
.
Enfin, parlons du film par rapport à la série. Première constatation, les hôtes sont les clients dans le film et les androïdes dans la série, les clients étant des invités dans le film alors que la série voit dans les androïdes des machines qui accueillent une personnalité. Sinon, je trouve que la série complète bien le film, en traitant plutôt les combines administratives, les jeux plus sophistiqués, la portée intellectuelle d'un tel pitch et les personnages. D'ailleurs, on peut voir les 2 protagonistes principaux comme étant Logan et William, alors que la patronne de bordel est Maeve et que Dolores est assimilable à Daphné, celle qui résiste à la drague.
Au final, ce film est à la fois l'occasion d'offrir une vision plus divertissante et amusante du sujet, tout en montrant le travail énorme d'adaptation fait par Jonathan Nolan et Lisa Joy sur la série pour bien se démarquer, en particulier en creusant énormément les personnages et la mythologie de cet univers.
🎬 RENGER 📼
🎬 RENGER 📼

7 659 abonnés 7 641 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 6 août 2011
Mondwest (1973) est un petit bijoux de la science-fiction des années 70, une rareté que l'on doit à l'écrivain Michael Crichton. Le scénario est original et très intelligent, l'intrigue se déroule dans le futur, en plein coeur d'un parc d'attraction nouvelle génération où ont été recréés trois univers ultra-réalistes, reproduisant la Rome Antique, le Moyen Âge et le Far West. L'originalité de ces univers, c'est que tous les être humains sont des robots (aussi bien les habitants que les animaux). Ce parc d'attraction a été pensé pour offrir tout le confort nécessaire aux riches touristes qui voudront y séjourner quelques jours. Seulement, tout ne va pas se dérouler comme prévu et les touristes vont se retrouver en danger lorsque les robots vont se retourner contre eux.
La révolte des machines, un thème très présent dans la science-fiction littéraire et cinématographique, que nous prenons plaisir à retrouver ici au sein de ce thriller d'anticipation, admirablement interprété par l'inquiétant Yul Brynner (au regard glacial) qui en profite pour faire un clin d'oeil au film Les Sept mercenaires (1960) en portant exactement les même habits.
Pour son premier long-métrage de cinéma, Michael Crichton séduit et s'impose d'amblé comme un cinéaste très prometteur pour la suite de sa carrière. A noter enfin qu'il existe une suite, intitulée Mondwest 2 - Les Rescapés du futur (1976) et réalisée par Richard T. Heffron.
cylon86
cylon86

2 608 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 18 août 2013
Premier film réalisé par Michael Crichton, "Mondwest" nous présente un parc d'attractions futuriste qui propose aux visiteurs de se retrouver plongés dans diverses époques parmi des androïdes qu'ils peuvent tuer et avec qui ils peuvent coucher. Lancés dans une aventure dans l'Ouest des années 1880, deux amis vont devoir faire face à un androïde défaillant lancé à leur poursuite alors que le reste du parc s'effondre. Si le scénario du film n'est pas spécialement brillant, Crichton pose tout de même une problématique récurrente des films de science-fiction qui est la place du robot par rapport à l'humain. Ici, les hommes sont là pour s'amuser et vivre une époque qu'ils n'ont jamais connu et ne font pas attention à tout le travail de précision qui se cache derrière leur amusement. Intéressant et plutôt efficace dans son propos comme dans sa mise en scène, le film donne l'occasion à Yul Brynner de trouver un rôle assez dérangeant où le cow-boy qu'il était dans "Les Sept Mercenaires" devient une machine à tuer.
Julien D
Julien D

1 237 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 14 avril 2012
Michael Crichton a eu une idée de génie en mélangeant ainsi tant de genres grâce à son concept de parc d’attractions futuriste proposant à ses clients une immersion dans des concepts antiques, moyenâgeux ou de westerns. Mais là où son film a su révolutionner la science fiction c’est en faisant des robots humanoïdes des êtres se rebellant contre leurs créateurs, un thème qui sera repris par nombre de films du genre, de BLADE RUNNER à TERMINATOR. Le scénario aura la fâcheuse tendance à se braquer sur la course poursuite entre un de ces êtres artificiels et un touriste mais permet une montée de la tension qu’il aurait été dur à créer au cœur d’une fusillade générale. L’autre atout de ce film est Yul Brynner qui tout simplement terrifiant quand il endosse à nouveau sa tenue des 7 MERCENAIRES pour incarner cet androïde inexpressif.
Yetcha
Yetcha

930 abonnés 4 464 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 12 mars 2009
Un grand et méconnu film de SF par Michael Crichton. Yul Brynner campant un robot cow-boy froid est toujours aussi génial. J'adore de film! Un remake pourrait être sympa!
this is my movies
this is my movies

736 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 22 juillet 2016
M. Crichton avait produit son petit effet en son temps avec ce film d'anticipation qui rappelle quelques uns de ses romans ("Prisonniers du temps" ou "Jurassic Park"). Il immerge le spectateur dans un parc d'attractions assez spécial qui va dégénérer et dans lequel la machine va se rebeller avec violence contre ses "maîtres". C'est long à se mettre en place si l'on considère la durée du film (50 minutes au moins avant le début des hostilités) et il fait lentement monter la sauce. C'est très violent (avec moult ralentis) mais le message est clair et les acteurs, peu nombreux sont assez convaincants. C'est le scénario de Crichton qui est visionnaire et sa présence derrière la caméra lui permet de laisser libre cours à ses envies. Le film souffre de quelques défauts mais la mise en scène est assez agréable, sans être révolutionnaire, et ça se laisse suivre, jusqu'au final tétanisant. Référence de la SF, qui a influencé quelques œuvres majeures du genre (citons "Terminator"). D'autres critiques sur
Roub E.
Roub E.

1 054 abonnés 5 080 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 29 janvier 2018
Dommage que le film ait très mal vieilli quand à l’action, la photo et que sa mise en scène soit vraiment très plate; parce que du point de vu du scénario c’est vraiment très bon. Avec sa critique de la société du divertissement ou l’argent achète tout Chrichton annonce ce qu’il fera plus tard avec Jurassic Park, il fait aussi penser à ce qu’ Eli Roth fera plus tard avec Hostel de manière plus extrême. Le film bénéficie d’un Yul Brynner hyper charismatique et peut être même sous exploité. Si d’une manière générale le cinéma américain de grand spectacle propose trop de remake, pour le coup en faire un de celui ci serait une bonne idée car il y a de la matière.
videoman29
videoman29

260 abonnés 1 852 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 27 avril 2019
« Mondwest » est un « petit » film de science-fiction des années 70, diablement intelligent et qui est légitimement devenu culte au fil des années. Il faut dire que l'idée de base était parfaitement géniale et qu'on y croit encore malgré l'évidente évolution de la technologie et des effets spéciaux. Le mélange western – fantastique fonctionne très bien et le thème des parcs d'attraction n'a pas pris une ride, ce qui prouve le côté visionnaire de son réalisateur, Michael Crichton (grand romancier à qui l'on doit un autre parc d'attraction plein de célèbres dinosaures). Si la première partie du scénario donne clairement la part belle à la détente et à l'insouciance, la seconde moitié place les personnages devant leurs responsabilités et pousse le spectateur à la réflexion... sur la robotique bien sûr, mais également sur la façon dont nous traitons les « êtres dit inférieurs ». Enfin, c'est l'occasion rêvée de revoir Yul Brynner, super acteur qui se révèle parfaitement crédible en robot vengeur. Je me suis laissé dire qu'une adaptation télévisée avait été réalisée, il y a peu de temps, sous la forme d'une mini-série... c'est sans doute l'occasion de voir ce que la technique moderne a fait de cette belle expérience.
Max Rss
Max Rss

214 abonnés 1 963 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 22 mars 2019
Ça faisait une paye que je voulais voir ce film, tout en procrastinant car de nature je ne suis vraiment pas un adepte du western, et le côté western du futur me branchait encore moins, même venant de Michael Crichton. Puis un jour je me suis dit : bon arrête d'être borné 5 minutes et lance toi, tu verras bien ! Et bien, autant vous dire que j'ai été totalement conquis par ce que j'ai vu. Dire que j'adore relèverait de l'euphémisme. Car c'est bien plus que ça. J'ai été intéressé de la première à la dernière minute. Chrichton sait ce qu'il veut faire et comment il veut le faire. Résultat, son « Mondwest » dégage une véritable puissance et damne le pion très tranquillement à de nombreux films postérieurs basés sur la même idée. Ici, nous allons droit à l'essentiel, ce qui signifie que l'on ne tombe pas dans l'exploitation d'idées et dans la surenchère. Chrichton se contente d'aborder et d'approfondir uniquement les sujets nécessaires au bon déroulement de l'histoire. « Mondwest », c'est aussi des effets spéciaux réussis (bien qu'un peu désuets mais jamais hystériques), utilisés à très bon escient. C'est aussi une véritable démonstration de ce qu'est la maîtrise cinématographique. On passe d'une époque à une autre avec une facilité qui en deviendrait presque insolente. L'une des dernières scènes (se situant dans un souterrain) est également une preuve de cette maîtrise. Aucun dialogue, toute l'essence du suspense est contenue dans l'exploitation des bruits, des ombres et des lumières. Et « Mondwest », en plus d'une histoire solide et d'une réalisation sans faille, c'est aussi un acteur, et pas n'importe lequel : Yul Brynner reconverti ici en robot détraqué dégage un charisme phénoménal, son entêtement et sa violence en font un personnage terrifiant. Je ne mets vraiment pas facilement la note maximale, mais dans le cas présent, il est impossible pour moi d'en attribuer une autre.
Attigus R. Rosh
Attigus R. Rosh

216 abonnés 2 551 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 2 mai 2021
Mondwest (ou Westworld) est un film de SF plutôt pas mal.
Michael Crichton (l'auteur de génie derrière Jurassic Park), signe ici son premier long-métrage et le film marque par son univers (ou plutôt ses univers) fascinant.
L'idée de base est très originale (un parc d'attraction permettant de vivre dans un Moyen-Âge, une Rome Antique ou un Far West fantasmés avec des robots servant de décoration).
Le film marque aussi par la terrifiante présence de Yul Brinner, qui semble être une menace inarrêtable.
Même si la série télévisée Westworld a réussi à sublimer cette idée, ce premier film original est franchement convaincant.
CH1218
CH1218

224 abonnés 2 944 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 29 mars 2020
C’est vrai qu’il a vieilli ce film écrit et réalisé par Michael Crichton, il n’empêche, « Mondwest » reste un classique du cinéma d’anticipation des années 70. En prime, la présence de Yul Brynner est un bonus appréciable.
GéDéon
GéDéon

101 abonnés 551 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 20 septembre 2024
En 1973, l’écrivain Michael Crichton réalise son premier long-métrage. Grâce à un scénario inventif pour l’époque, ce film mélange les thèmes du western et de la science-fiction dans une vision dystopique de notre société. Au sein d’un parc d’attractions recréant des univers anciens, les robots d’apparence humaine se détraquent et viennent perturber les fantasmes des visiteurs. Certes, le manque de rythme et la mise en scène laborieuse empêchent de consacrer ce film au rang d’un chef-d’œuvre. Néanmoins, il dégage un parfum novateur et troublant à l’image de Yul Brynner, dans un rôle précurseur de Terminator aussi taiseux qu’Arnold Schwarzenegger. Bref, une œuvre étonnante dont la trame scénaristique inspirera la série télévisée « Westworld ».
Les meilleurs films de tous les temps
  • Meilleurs films
  • Meilleurs films selon la presse