AlloCiné
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Votre avis sur Une grande année ?
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74 critiques
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28 critiques
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70 critiques
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Ca fait du bien. J'ai beaucoup aimé l'humour utilisé par cet auteur qui semble suffisamment attaché à la France pour avoir su en rire sans être bête et méchant.Plusieurs scènes sont franchement drôles même si le but poursuivit n'est pas de faire hurler de rire. Russel Crowe, pourtant pas mon genre d'homme, m'a vraiment séduite durant les 3/4 du film (la fin étant un peu trop abrupte à mon goût et donc un peu trop gnangnan). Je n'ai pas décroché de l'histoire, happée par la douceur et la nostalgie nullement ennuyeuses de cette romance au casting excellent. Allez-y c'est un film de grande classe pour peu qu'on veuille lui prêter attention.
La bonne petite comédie romantique américaine dont on sait la fin dès la première image, mais celle-ci se regarde très bien! Le français sera une fois de plus ravi de voir que les bons vieux clichés courent toujours à son compte, mais bon c'est ce qui fait aussi le charme du film! Et il y a Marion Cotillard...
La star du film c'est le domaine "Chateau Siroque" avec des images sublimes de ses vignes, de sa terre fertile, de son soleil èclatant au coeur de la douceur de vivre provençale! Ridley Scott signe une comèdie romantique et lègère, une pause dans son oeuvre riche en chef d'oeuvre! Le casting est excellent avec un Russel Crowe paumè avec son GPS sur les routes françaises! On le voit tourner dix fois autour d'un même rond-point du même village de Provence, ne sachant quelle direction prendre, en mauvaise posture au fond d'une piscine vide, où en train de faire une partie de tennis improvisèe sur un terrain dèsastreux avec Didier Bourdon! Marion Cotillard est lumineuse et le couple Didier Bourdon-Isabelle Candelier sont attachants dans le registre paysan mèridional bourru et mèditerranèenne volubile! Quelques sèquences sont amusantes (rèfèrence à Lance Amstrong sur un groupe de cyclistes) et le film est accompagnè d'une B.O suprenante (Alizèe "Moi Lolita", Richard Anthony "Itsy bitsy petit bikini"...) et sèduisante (Joséphine Baker, Harry Nilson , Patti Page...)! Malgrè les nombreux clichès sur l'art de vivre des français, "A Good Year" est au final une belle et agrèable surprise, à l’atmosphère doucereuse et mèlancolique...
Après Kingdom of Heaven et avant d'entamer American Gangster, Ridley Scott s'accordait une petite pause en tournant Une grande Année, petite comédie romantique inoffensive, où il retrouvait accessoirement Russell Crowe oscarisé pour Gladiator. Ce dernier joue le rôle de Max Skinner un trader, c'est d'actualité, qui ne vit uniquement pour l'argent. Un beau jour, il apprend la mort de son oncle qui l'avait élevé en Provence et devra donc se rendre sur les lieux avec pour principal but vendre la maison. Déjà première faute de goût à mon sens, son arrivée en France est annoncée sous fond de Lolita chantée par Alizée. En règle général, les choix musicaux tout au long du film sont pour le moins curieux, bref...Aucun des clichés sur la France et son mode de vie nous sont épargnés même s'il est marrant de voir Max se taper 20 fois le rond-point ou galérer au fond de sa piscine vide. Autour de lui, un casting Burtonien avec la belle Marion Cotillard, Freddie Highmore et Albert Finney et surtout l'improbable Didier Bourdon qui lui tient tête sans complexe. Le voir se dépêtrer dans son nouvel élément était donc la partie comique du film. La partie romance, on ne peut plus classique mais toujours efficace quand on apprécie le genre, est assurée par la conquête de Fanny Chenal qui s'avère être une de ses amies d'enfance. Un Ridley Scott mineur qui filme bien la Provence où il a une résidence d'ailleurs, qui se laisse regarder, avec une partie romantique vue et revue mais qui fonctionne. Reste que tout ceci est plombé par des gags pas vraiment drôles, des clichés en veux-tu en voilà, une morale archi-rebattue sur le transfert des valeurs, la mémoire et un manque singulier d'ambition. Deux étoiles pour son trio de comédiens Bourdon, Marion et Crowe.
Une grande réussite. De belles images, de bons acteurs, un bon humour. Ce film regorge de saveur, il est fruité, frais. Délicieux. Alors c'est vrai il y a des clichés mais sous l'oeil de Ridley Scott, ils sont magnifiques, on les aime, on les défend. Voici un film à ne pas manquer.
ce film est une blague ?! il est bourré de clichés (pas toujours très gratifiants ), les personnages et dialogues sonnent faux, la romance entre les deux personnages est bidon et la musique n'en parlons pas (alizée - moi lolita ?!). Les deux seules choses appréciables sont l'acteur Freddie Highmore (max jeune) et la luminosité des paysages. Je ne sais pas ce que vaut le livre mais alors le film n'est pas recommandable ! heureusement que Ridley Scott s'est rattrapé avec mensonges d'état !
Cest une grande année pour les américains, ils vont enfin découvrir le charme de la France à travers cette histoire mettant en scène Russel Crowe, Didier Bourdon et Marion cotillard. Un vrai film sur la France avec ses grenouilles et bien entendu LOLITA !! Lhymne français bien sûr. Quest-il arrivé à Ridley Scott, pour nous faire un film aussi plat avec des clichés des plus décevant les uns que les autres ? Néanmoins ce petit film nest pas si inintéressant que ça, certes il manque de profondeur mais un peu de légèreté ne fait pas de mal et la musique est très agréable (quand ce ne sont pas des mièvreries françaises). Mais ne vous attendez pas à un grand cru, ce film est gentillet, on sennui parfois, on sourit parfois, on en ressort reposé mais peu touché. Trop de défauts pour un film qui paraissait bien original.
Et bien moi, j'ai été très surprise par ce film qui m'a bien détendue et amusée. J'avoue avoir bien rigolé à certaines situations cocasses, et de m'être laissée bercée par une certaine douceur de vivre qui tranche avec le rythme de vie qu'on s'impose parfois alors qu'il est si bon de laisser filer ! C'est vrai que le couple Didier Bourdon et sa bobonne nunuche est complètement raté. Mais que dire de la pirouette géniale du duo Scott / Crowe, qui après Gladiator, font un film un peu potache où on roule en smart et où on se balade en short vacances. Après Maximus, voici donc Max, pas le même registre dirons-nous. Mais toujours Russell Crowe, extra, et qui semble s'être beaucoup amusé à faire ce film, aussi bien de par son sujet que pour le contre-pied proposé.
On n'en voudra pas à Ridley Scott de s'essayer de se diversifier, mais force est de constater qu'il est aussi doué pour la comédie que moi pour les claquettes (encore qu'Hannibal était assez rigolo !). Une grande année souffre d'un certain nombre de tares, à commencer par l'interprétation de Russell Crowe qui nous fait du grand n'importe quoi et n'a vraiment pas le physique de l'emploi, il faut le dire pas vraiment mis en valeur par une garde robe proprement immonde et un look d'abruti fini. Le thème brassé est archi-rabattu (la découverte des vraies valeurs et tout le tintouin), à ceci près que, l'action se déroulant en France, nous autres grenouilles pouvons profiter, outre le regard que portent sur nous nos cousins d'outre-manche, de petites friandises comme cette arrivée du héros dans le sud de la France sur fond d'une chanson d'Alizée (si c'était pour se foutre de notre gueule, c'est un coup bas, messieurs les Anglais !). On découvre donc en même temps que le public mondial une France de carte postale véhiculant tous les clichés de rigueur : nous sommes crados, ne pensons qu'à boire et bouffer, etc... Quelques grandes nouveautés aussi : les français sont tous fluent english, et le sud du pays est infesté de scorpions ! Peut-être Une grande année, mais un film pas bien important. On oublie ça vite fait.
Santu2b
Une fois encore la presse a fait sa bulle. Un homme réputé sans coeur revient dans sa Provence ou il passait son été et là des millions de souvenirs lui réapparaissent. Il va alors devoir choisir entre deux types de vies et remettre en question la vraie nature de l'homme qui sommeille en lui. Meme si on aurait pas esperé tant de clichés, Ridley Scott confirme son talent de touche à tout. On consome un cru honorable qui aurait pu (si le scénario s'était laissé bonifier) avoir un gout plus fruité.
Une seule étoile , pour les paysages . Car ce film est sans interet et ennuyeux à mourir . On se demande comment Ridley Scott qui a réalisé le formidable Gladiator , à mon avis le meilleur film des 10 dernières années , a pu réalisé un film aussi terne . Les acteurs sont peu convaincants et la soi-disant histoire d'amour entre Marion Cotillard et Russell Crowe est tout aussi insipide que le film .
Il y a mieux à voir en ce moment dans les salles .
Il y a mieux à voir en ce moment dans les salles .
Je ne comprend pas ces critiques. Les gens ont de la merde dans les yeux ou quoi. Ce film est très bon,excellent. Une comédie simple,sans prise de tête. Russel Crowe nous fait bien rire. Marion Cotillard est très bien et Didier Bourdon aussi. Une musique très agréable et des décors magnifique.
Excellent moment
Excellent moment
Contrairement aux critiques, je fus vite séduit par l'ambiance de ce film à la fois très romantique et très culturel. En plus de pouvoir contempler de très beaux paysages de la Provence et d'apprécier les différents des anglais pour la France, j'ai pris un certain plaisir à voir ces flash back sur le passé de Max, cela donna une certaine touche de magie au film.
Les rôles sont plutôt bien distribués: R.Crowe à l'aise en richissime étranger très inhabitué à ces contrées lointaines, M.Cotillard très douce et belle en femme-passion pour Max et bien-sur D.Bourdon en bon français très ataché à ses vignes.
Le rythme très crescendo, par rapport aux pensées de Max, est très plaisant...
Certes, nous sommes loin des meilleurs films de Scott, mais iln'eut pas tort de se lancer dans un autre genre afin de ne pas toujours être focalisé sur les mêmes thèmes.
Les rôles sont plutôt bien distribués: R.Crowe à l'aise en richissime étranger très inhabitué à ces contrées lointaines, M.Cotillard très douce et belle en femme-passion pour Max et bien-sur D.Bourdon en bon français très ataché à ses vignes.
Le rythme très crescendo, par rapport aux pensées de Max, est très plaisant...
Certes, nous sommes loin des meilleurs films de Scott, mais iln'eut pas tort de se lancer dans un autre genre afin de ne pas toujours être focalisé sur les mêmes thèmes.
Avec une distribution pareille, Ridley Scott aurait du nous sortir le millesime du siecle. Là, à force de clichés sur la Provence, terre de noble culture (même les noms des personnages sont une caricature à ma Provence natale!!), opposé à celle où le fric se fait vite à la City londonienne, on regarde un petit Côte du Rhône, voire un vin de table tout à fait insipide.
C'est dommage. Je retiens la photo, toujours superbe chez Scott, et un gout pour les belles personnes correctement filmées. C'est peu, oui, c'est vrai. Mais on ne rigole pas beaucoup aux tentatives comiques de Russell Crowe (pas vraiment connu d'ailleurs pour son côté rigolo...) et on se contente de la belle plastique de Mlle Cotillard. C'est beau, mais c'est tout. "Un peu court, jeune homme, on aurait pu en faire bien des choses, en somme" pour paraphraser une tirade célèbre...
C'est dommage. Je retiens la photo, toujours superbe chez Scott, et un gout pour les belles personnes correctement filmées. C'est peu, oui, c'est vrai. Mais on ne rigole pas beaucoup aux tentatives comiques de Russell Crowe (pas vraiment connu d'ailleurs pour son côté rigolo...) et on se contente de la belle plastique de Mlle Cotillard. C'est beau, mais c'est tout. "Un peu court, jeune homme, on aurait pu en faire bien des choses, en somme" pour paraphraser une tirade célèbre...
L'histoire d'un sacré enculé dans un monde d'enculés, qui va retrouver des souvenirs de "quand il était encore un homme dans un monde d'homme" (c'est-à-dire en France, hé hé).
Rarement un film aura autant été méprisé par la critique. Au point que je me pose des questions sur ma propre intelligence, sinon finesse d'analyse. Est-ce parce que tout va bien pour moi ou presque que je deviens doux comme un agneau face à une comédie ? Suis-je subjugué par la (totale absence de) « touch of » Ridley Scott, ou enfin suis-je impressionné par la simplicité et le naturel d'un australien que l'on n'imaginait pas dans ce rôle ? A moins que le choix esthétique des actrices ne m'ait scotché à mon siège ?
La question mérite d'être posée car dans ce film, j'ai retrouvé tout ce que j'adore. Les poncifs qui n'en sont pas sur l'hédonisme français et la soif d'argent des britanniques. Les femmes intelligentes et exigeantes (et belles). La facilité à rire de tout parce que le plaisir dépend de l'humour qui ne peut être limité par quoique ce soit, tout en évitant le cynisme si possible. En aimant la bonne chère aussi bien physique que stomacale. En supportant le soleil quand il fait dans la bonne mesure, ni trop chaud pour ne pas tout cramer, ni trop froid pour ne pas se croire en Angleterre, hé hé. Bref, la France quoi.
Le scénario est en béton, n'en déplaise à certains. En plus d'une histoire sympa, on a la merveilleuse petite morale des années 30 et la Dolce Vita du Sud de la France non méditerranéenne.
Il y a aussi le parcours intellectuel d'un homme qui a tout réussi mais qui n'est pas devenu paresseux pour autant. Un homme qui peut se permettre de critiquer les riches, surtout quand leur fortune ne dépend plus que de la tromperie et du bluff. LE Ridley Scott quoi.
Bref c'est une parfaite petite comédie, jouée avec excellence et plaisir non dissimulé, remplie de clins d'oeil aux films des années 40/60 français, qui nous plonge en plus dans l'émotion de bonne facture, loin des bluettes pour vieilles filles. Le plus amusant étant sans doute la composition de Bourdon, inattendue et superbe.
Alors, autant pour la critique de Télérama, je comprends son point de vue si elle n'aime pas qu'on crache sur le business, encore faudrait-il qu'elle s'interroge sur ses fréquentations par affinités, et de l'intérêt de faire de la critique de film avec autant de bagage culturel dans son sac Vuitton ! Autant pour les autres, je ne sais plus que penser. Suis-je le plus bête, ou sont-ils blasés à ce point de ne plus discerner un petit bijou.
De toute façon, dans la carrière de Scott, il fera date, l'homme est mûr, et il n'a plus peur de le montrer. Il nous fait en plus profiter de la virtuosité de sa filmique, sans pour autant imposer un style. Une leçon que son frère et d'autres comme Woo ou Tarentino devraient méditer.
Finalement, la seule chose qui manque à Ridley, c'est d'avoir une héroïne positive dans un film, pour concurrencer Soderbherg. J'entends par là que les deux copines de « Thelma et Louise » n'étaient pas représentatives de la positive attitude sans rien enlever à la qualité dudit film.
Rarement un film aura autant été méprisé par la critique. Au point que je me pose des questions sur ma propre intelligence, sinon finesse d'analyse. Est-ce parce que tout va bien pour moi ou presque que je deviens doux comme un agneau face à une comédie ? Suis-je subjugué par la (totale absence de) « touch of » Ridley Scott, ou enfin suis-je impressionné par la simplicité et le naturel d'un australien que l'on n'imaginait pas dans ce rôle ? A moins que le choix esthétique des actrices ne m'ait scotché à mon siège ?
La question mérite d'être posée car dans ce film, j'ai retrouvé tout ce que j'adore. Les poncifs qui n'en sont pas sur l'hédonisme français et la soif d'argent des britanniques. Les femmes intelligentes et exigeantes (et belles). La facilité à rire de tout parce que le plaisir dépend de l'humour qui ne peut être limité par quoique ce soit, tout en évitant le cynisme si possible. En aimant la bonne chère aussi bien physique que stomacale. En supportant le soleil quand il fait dans la bonne mesure, ni trop chaud pour ne pas tout cramer, ni trop froid pour ne pas se croire en Angleterre, hé hé. Bref, la France quoi.
Le scénario est en béton, n'en déplaise à certains. En plus d'une histoire sympa, on a la merveilleuse petite morale des années 30 et la Dolce Vita du Sud de la France non méditerranéenne.
Il y a aussi le parcours intellectuel d'un homme qui a tout réussi mais qui n'est pas devenu paresseux pour autant. Un homme qui peut se permettre de critiquer les riches, surtout quand leur fortune ne dépend plus que de la tromperie et du bluff. LE Ridley Scott quoi.
Bref c'est une parfaite petite comédie, jouée avec excellence et plaisir non dissimulé, remplie de clins d'oeil aux films des années 40/60 français, qui nous plonge en plus dans l'émotion de bonne facture, loin des bluettes pour vieilles filles. Le plus amusant étant sans doute la composition de Bourdon, inattendue et superbe.
Alors, autant pour la critique de Télérama, je comprends son point de vue si elle n'aime pas qu'on crache sur le business, encore faudrait-il qu'elle s'interroge sur ses fréquentations par affinités, et de l'intérêt de faire de la critique de film avec autant de bagage culturel dans son sac Vuitton ! Autant pour les autres, je ne sais plus que penser. Suis-je le plus bête, ou sont-ils blasés à ce point de ne plus discerner un petit bijou.
De toute façon, dans la carrière de Scott, il fera date, l'homme est mûr, et il n'a plus peur de le montrer. Il nous fait en plus profiter de la virtuosité de sa filmique, sans pour autant imposer un style. Une leçon que son frère et d'autres comme Woo ou Tarentino devraient méditer.
Finalement, la seule chose qui manque à Ridley, c'est d'avoir une héroïne positive dans un film, pour concurrencer Soderbherg. J'entends par là que les deux copines de « Thelma et Louise » n'étaient pas représentatives de la positive attitude sans rien enlever à la qualité dudit film.
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