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"Starcrash : Le Choc des étoiles", nanard S.F américano-italien réalisé par Luigi Cozzi (sous le pseudonyme de Lewis Coates), sorti en 1978. Une pseudo-suite "Starcrash II" réalisée par Bitto Albertini est sortie en 1981.
Un nanard S.F italien culte pour les amateurs de nanards et plus particulièrement de nanards S.F.
Un film inspiré par " La Guerre des étoiles" sorti un an avant. L'industrie cinématographique italienne des années 70 est très active dans la production de films d'exploitation et de divertissements populaires parodiant les productions américaines.
Ce "Starwars" du pauvre doit être pris pour ce qu'il est, une version petit budget, à la réalisation simple et aux effets spéciaux artisanaux. Une détournement érotique avec l'actrice Nadia Cassini, Caroline Munro en petite tenue et les jeunes bellâtres Marjoe Gortner et David Hasselhoff. Avec aussi Christopher Plummer.
Des maquettes, des robots en image par image, c'est calme et reposant. Vu avec plaisir.
Un nanard S.F italien culte pour les amateurs de nanards et plus particulièrement de nanards S.F.
Un film inspiré par " La Guerre des étoiles" sorti un an avant. L'industrie cinématographique italienne des années 70 est très active dans la production de films d'exploitation et de divertissements populaires parodiant les productions américaines.
Ce "Starwars" du pauvre doit être pris pour ce qu'il est, une version petit budget, à la réalisation simple et aux effets spéciaux artisanaux. Une détournement érotique avec l'actrice Nadia Cassini, Caroline Munro en petite tenue et les jeunes bellâtres Marjoe Gortner et David Hasselhoff. Avec aussi Christopher Plummer.
Des maquettes, des robots en image par image, c'est calme et reposant. Vu avec plaisir.
Il y a deux façons de voir et de juger ce film. On peut bien sûr de gausser de la réalisation paresseuse et du jeu d'acteur approximatif, mais critiquer les effets spéciaux et les maquettes est moins de mise car si ça craint de ce côté-là c'est uniquement en raison du budget. Toujours est-il que ceux qui auront cette démarche, tout contrits de ne pas se trouver devant un Kubrick vont démolir le film. L'autre façon est de prendre et de juger le film pour ce qu'il est, un nanar complètement assumé, et d'ailleurs comment un film que l'on regarde jusqu'au bout pourrait-il être nul ? Alors c'est vrai l'interprétation laisse à désirer, mais regarde-t-on la splendide Caroline Munro pour son interprétation ? Hasselhoff est ridicule mais c'est ce qui fait son charme, quant à Plumer il a une de ce expression, il a dû se prendre vraiment pour l'empereur de la galaxie. Le robot est tordant, et les petits coquins auront reconnu Nadia Cassini dans le rôle de la reine des amazones. On remarquera au passage le clin d'œil à Ray Harryhausen avec les robots samouraïs. La seule ombre au tableau est le final exagérément long, sinon nous avons là du bon cinéma bis. Merci Caroline Munro !
Le réalisateur a beau avoir juré sur tout ce qu’il avait de plus cher que son film n’avait rien à voir avec un certain film de George Lucas sorti l’année précédente, que son projet à lui était antérieur et tout le baratin habituel, on a quand même du mal à lui accorder le moindre crédit. Après tout, on trouve dans ‘Starcrash’ un empereur galactique, un robot à tête de boîte de conserve, des croiseurs galactiques - en polystyrène mais bon - , de l’hyper-espace, des sabre-laser et même un assaut sur la base ennemie qui essaye maladroitement d’imiter ce que tout le monde avait déjà vu dans un petit space-opera oublié de 1977. En plus, on retrouve quelques visages familiers tout au long de cette épopée galactique qui a eu le bon goût d’en rester à un épisode unique, comme Christopher Plummer (qui, de ses propres dires, avait juste envie d’un séjour tout frais payé à Rome), la James Bond-Girl Caroline Munro, aussi sexy que mono-expressive, un improbable héros à tête d’angelot fermenté comme seules les années 70 savaient en dénicher et même un tout jeune David Hasselhoff...mais avec sa galaxie colorée comme pour décorer une chambre d’enfant, son scénario à peine cohérent, ses dialogues ineptes ses robots animés en deux images/secondes qui résistent à n’importe quel arme mais qu’il suffit de pousser d’une bourrade pour qu’ils explosent dans une gerbe d’étincelles et ses effets spéciaux intensément ridicules, ‘Starcrash’ tient plus du Sentaï que du Space-Opera. Paradoxalement, il peut y gagner l’affection que les amateurs de navets cosmiques vouent aux productions aussi incroyablement ringardes que celle-ci. En fait, cette ‘Guerre Stellari’ kitschounette, c’est un peu la manière dont George Lucas, dans ses pires cauchemars, devait appréhender la réception de son film par le public...mais ça, c’est parce qu’il n’avait jamais vu ‘Starcrash’. !
Entrons dans l'hyper espace avec ce nanar kitsch de la S.F à la distribution très èclectique : Caroline Munro, David Hasselhoff, Joe Spinell et Christopher Plummer dans le rôle de l'empereur du premier cercle de l'univers sidèral! Rien que ça! Alors prêt pour le grand saut ? La galaxie est partagèe entre deux forces opposèes! Le mèchant s'appelle Zarth Arn, un prince des tènèbres qui a crèè une nouvelle arme! Entre une galaxie sauvage et inhospitalière, un barrage ènergètique, une bataille finale du pauvre qui rappelle "Star Wars: Episode IV – A New Hope" et la tenue sexy de Munro, l'aficionado a de quoi faire! Cette space-opèrette italo-amèricaine s'avère au final très drôle grâce au robot, Elle, fidèle compagnon de Stella Star qui a non seulement le même humour que Z-6PO mais aussi la même voix française que Dark Vador! Volons maintenant vers la galaxie des ètoiles hostiles avec des maquettes, du carton pâte, des F / X à gogo et la musique composèe par John Barry! Culte...
Ce film pour moi représente une partie difficile de ma vie ! Effectivement, mon père, à l'époque, devait n’emmener voir star wars mais malheureusement, le film n'était plus à l'affiche ! mais malin comme un Porg que fut mon daron, il n’emmena voir Star Crash ! à 7 ans on ne fait pas la différence et pendant toute une partie de ma vie j'ai cru que David hasseloff avait joué en string cosmique dans Star wars !! encore aujourd'hui, j'ai du mal à m'en remettre ... sinon un très bon film de l'espace inter sidérant ! le seul film au monde ou les vaisseaux spatiaux tirent de missiles de la deuxième guerre mondiale de l'espace
Un nanard intergalactique à faire d'urgence.Infâme copie de la guerre des étoiles en cartons pâte et décors ultra kitch.
Ce quasi-plagiat de Star Wars est un véritable chef-d'oeuvre du nanar. C'est à la fois kitsch et cheap à mort, on n'y croit pas un seul instant à tout ce joyeux délire, et pourtant, qu'est-ce que c'est jouissif ! Divertissant et charmant, et puis il y a la divine Caroline Munro, sexy au possible qui va jusqu'à nous faire oublier Jane Fonda de Barbarella. Bref, un grand moment de jouissance !
Gros nanard made in Italie mais celui-ci fait plus mal aux yeux et aux oreilles que sourire ou rire.
Les combats spatiaux sont incompréhensibles, à base de maquettes grossières et de séquences copier-coller, des explosions qui n'en finissent pas...
Les coupes de cheveux et les costumes sont très très... surprenants.
Un gentil robot dont l'humour est... décapant pour l'audition. C'est le fameux side-kick censé être drôle (genre jar jar binks).
Les dialogues sont une succession d'invraisemblances, pseudo scientifique, philosophique à l'image du scénario.
La résolution final a été taloché comme des sagouins.
1h32 qui semble 3h32. Si vous n'avez pas compris la théorie de la relativité alors STARCRASH va vous la faire ressentir.
Les combats spatiaux sont incompréhensibles, à base de maquettes grossières et de séquences copier-coller, des explosions qui n'en finissent pas...
Les coupes de cheveux et les costumes sont très très... surprenants.
Un gentil robot dont l'humour est... décapant pour l'audition. C'est le fameux side-kick censé être drôle (genre jar jar binks).
Les dialogues sont une succession d'invraisemblances, pseudo scientifique, philosophique à l'image du scénario.
La résolution final a été taloché comme des sagouins.
1h32 qui semble 3h32. Si vous n'avez pas compris la théorie de la relativité alors STARCRASH va vous la faire ressentir.
Thibault F.
Un nanar au sommet de son art ! Le Choc des étoiles que je préfère nommer "StarCrash" est un film italien qui souhaite surfer sur de nombreuses références cinématographiques que ce soit Dune, Star Trek ou encore Star Wars. Un mélange de ces 3 œuvres ponctués de dialogues ridicules, d'acteurs sans expressions et d'une réalisation ainsi que des effets spéciaux au plus bas font de StarCrash un nanar aux petits oignons. Comment Plummer ou encore Hasselhoff ont pu accepter de jouer dans ce film à petit budget sans prétention? J'ai ma petite idée sur la question... Un nanar qui ne fait pas rire et qui à se prendre trop au sérieux devient risible et ennuyeux. Fuyez !
Comment ne pas être sous le charme de ce film? Le premier Star Wars vient d'ouvrir une nouvelle ère dans la science fiction, et ces mecs, des producteurs italiens, se disent que c'est pas mal, et que ça n'a pas l'air bien compliqué à faire. Du coup, Starcrash donne tout : des sabres lasers, des effets "hyperspace", des robots escrimeurs, mais également des bonnes idées piquées ailleurs, une planète d'amazones, une planète préhistorique, un méchant au rire diabolique, une super musique de John Barry, une ancienne James Bond girl aux airs de Barbarella et David Hasselhoff. Oui, tout ça en un film.
On a donc le droit de juger ce film sur des critères objectifs, le jeu des acteurs, la vraisemblance du scénario ou l'espérance de vie des effets spéciaux, et là, la note est lamentable. Mais on peut aussi se demander si on a vraiment pris du plaisir devant ce film, et la réponse est oui, sans hésiter.
On a donc le droit de juger ce film sur des critères objectifs, le jeu des acteurs, la vraisemblance du scénario ou l'espérance de vie des effets spéciaux, et là, la note est lamentable. Mais on peut aussi se demander si on a vraiment pris du plaisir devant ce film, et la réponse est oui, sans hésiter.
Napoléon
Décors, dialogues, acteurs d'une nullité sans nom et je peut continuer; ce film est passé dans nanarland, voilà voilà...
🎬 RENGER 📼
Si on devait résumer en quelques mots Star Crash - Le Choc des étoiles (1978), il suffirait de dire que nous avons affaire à un "Star Wars du pauvre". Luigi Cozzi n’a visiblement pas eu peur du ridicule en réalisant (ou plagiant ?) son film au budget dérisoire et ce, seulement un an après la sortie du célèbre film de George Lucas : La Guerre des étoiles (1977). En résulte au final, une pâle copie, un "space opera" incompréhensible où il est question d’une guerre des étoiles (comme c’est original), entre le diabolique Comte Zarth Arn qui s’oppose à l'Empereur des étoiles. Le fils de ce dernier ayant disparu, l’Empereur fait appel à deux contrebandiers de renom, à savoir Stella Star & Akton, tous deux seront aidé par un policier spatial et un robot (doté d’un humour consternant).
Le faible budget alloué au film oblige le réalisateur italien a rogner sur tout ce qu’il peut, le tournage se résume donc à des maquettes colorées, à réutiliser un maximum de fois le même plan (de vaisseaux spatiaux) afin de faire croire aux spectateurs qu’il a véritablement affaire à une flotte spatiale, excessivement kitch tant au niveau des SFX qu’au niveau des décors, costumes et autres accessoires, sans parler des séquences en stop-motion nous rappelant l’une des plus célèbres séquences de Jason et les Argonautes (1963), à croire que les techniques de trucages n’aurait pas évolué entre-temps. Quant aux interprétations, là aussi c’est catastrophique, entre Marjoe Gortner (mémorable capillairement parlant !) et sa coéquipière Caroline Munro (affublé d’un bikini pseudo-futuriste, elle passe son temps à ne jouer que sur une seule et même expression du visage, autant vous dire que sur 90 minutes, on est pas près de l’oublier). Ajoutez à cela Joe Spinell qui nous aura bien fait rire avec sa prestation du soit disant diabolique Zarth Arn, on en vient même à se demander ce que vient faire ici Christopher Plummer qui incarne L'Empereur (il donne clairement l’impression de s’ennuyer ferme, ce qui à le don d’être hilarant), enfin, n’oublions pas l’un des meilleurs du film, David Hasselhoff (25 ans lors du tournage) qui démarrait alors sa carrière d’acteur et qui ici, se limitera à quelques expressions faciales et à de rares lignes de dialogues, mais sa seule présence à l’écran suffit pour déclencher quelques fous-rires dans l’assemblée.
Pour la petite anecdote Star Crash - Le Choc des étoiles (1978) a été produit par des français, dont Patrick Wachsberger (fondateur de Summit Entertainment à qui on doit notamment la franchise à succès "Twilight") ! Un nanar qui a bien mérité son statut d’œuvre culte, par tant de naïvetés et autres idioties interstellaires.
Le faible budget alloué au film oblige le réalisateur italien a rogner sur tout ce qu’il peut, le tournage se résume donc à des maquettes colorées, à réutiliser un maximum de fois le même plan (de vaisseaux spatiaux) afin de faire croire aux spectateurs qu’il a véritablement affaire à une flotte spatiale, excessivement kitch tant au niveau des SFX qu’au niveau des décors, costumes et autres accessoires, sans parler des séquences en stop-motion nous rappelant l’une des plus célèbres séquences de Jason et les Argonautes (1963), à croire que les techniques de trucages n’aurait pas évolué entre-temps. Quant aux interprétations, là aussi c’est catastrophique, entre Marjoe Gortner (mémorable capillairement parlant !) et sa coéquipière Caroline Munro (affublé d’un bikini pseudo-futuriste, elle passe son temps à ne jouer que sur une seule et même expression du visage, autant vous dire que sur 90 minutes, on est pas près de l’oublier). Ajoutez à cela Joe Spinell qui nous aura bien fait rire avec sa prestation du soit disant diabolique Zarth Arn, on en vient même à se demander ce que vient faire ici Christopher Plummer qui incarne L'Empereur (il donne clairement l’impression de s’ennuyer ferme, ce qui à le don d’être hilarant), enfin, n’oublions pas l’un des meilleurs du film, David Hasselhoff (25 ans lors du tournage) qui démarrait alors sa carrière d’acteur et qui ici, se limitera à quelques expressions faciales et à de rares lignes de dialogues, mais sa seule présence à l’écran suffit pour déclencher quelques fous-rires dans l’assemblée.
Pour la petite anecdote Star Crash - Le Choc des étoiles (1978) a été produit par des français, dont Patrick Wachsberger (fondateur de Summit Entertainment à qui on doit notamment la franchise à succès "Twilight") ! Un nanar qui a bien mérité son statut d’œuvre culte, par tant de naïvetés et autres idioties interstellaires.
Les créateurs de "Starcrash" auraient voulu faire volontairement un détournement comique de "Star Wars" qu’ils ne s’en seraient pas pris autrement. La chose est bien plus drôle que "La folle histoire de l’espace"… Mais sans doute tel n’était pas le but, et le résultat final n’est que la somme du travail grotesque de tacherons du cinéma, le tout couronné par le jeu d’acteurs soit dénués de tout talent, soit privés de toute motivation (ce qu'on comprend). Tout ici semble avoir été fait pour atteindre le pire. Jamais décors, design et costumes n’auront-été aussi risibles, et pour les effets spéciaux, il faut remonter au moins trente ans en arrière pour trouver aussi nul. Quant au scénario et aux dialogues, ils sont tellement mauvais qu’ils atteignent même une dimension surréaliste totalement réjouissante. Et au final "Starcrash" devient miraculeusement sympathique et franchement marrant.
Du lourd, du très très lourd que ce Choc des étoiles, le choc est valable aussi pour le courageux spectateur qui ce lance dans l'aventure cinématique Starcrash, personnellement j'en suis ressorti épuisé... les effets spéciaux sont d'une rare nullité, scénario écrit à la truelle de maçon et le jeu d'acteur... bon ok j'arrête les pauvres acteurs n'y sont pour rien ! ils ont du regreter amèrement leurs implications dans ce nanar intergalactique de premier choix (même John Barry, c'est fait avoir, en signant la compostion musicale). Mention spéciale pour Marjoe Gortner et Joe Spinell qui sont à fond du début à la fin. Bref si vous voulez rigoler 90 min et voir un vrai navet digne de ce nom alors regarder STARCRASH "Le choc des étoiles"
Ce film n'est pas un film! C'est la 8ème merveille du monde!!!
Certainement l'un des plus grand nanar que la Terre ait porté.Des acteurs prodigieusement inspirés, des batailles spatiales faites en carton pâte, des incrustations d'un réalisme fou, un univers totalement original et absolument pas pompé tout cela agrémenté d'effets spéciaux pour le moins réussis
Bref à Voir 12 à 25 fois dans une vie
Merci
Certainement l'un des plus grand nanar que la Terre ait porté.Des acteurs prodigieusement inspirés, des batailles spatiales faites en carton pâte, des incrustations d'un réalisme fou, un univers totalement original et absolument pas pompé tout cela agrémenté d'effets spéciaux pour le moins réussis
Bref à Voir 12 à 25 fois dans une vie
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