Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Avec un réalisme quasi documentaire, Joshua Marston donne à ressentir physiquement la crudité de cette mission. (...) Si ce premier long-métrage a la grâce, c'est aussi parce que son héroïne transcende le réalisme de la situation.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Maria pleine de grâce est le premier long métrage de Joshua Marston qui, dans la veine réaliste, offre là tout ce qu'un certain cinéma américain indépendant recèle de force, d'émotion et de sincérité.
Quelques beaux moments d'émotion. Sa modestie éloigne le film du tapage qu'aurait pu causer un sujet "brûlant", le cinéaste privilégiant la dimension humaine de son histoire, que servent à la perfection de jeunes interprètes colombiens, Catalina Sandino Moreno en tête, étonnante Maria, à laquelle il n'est sans doute pas exagéré de promettre une carrière fulgurante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cela pourrait être terriblement ennuyeux, c'est fascinant. (...) La réussite de Maria... doit aussi beaucoup à l'interprétation de Catalina Sandino Moreno. Butée, ne souriant quasiment jamais, elle prête toute sa force et sa détermination à Maria.
Un mélodrame fort et authentique qu'un débutant cinéaste expose avec une vraie maîtrise, et la complicité d'une lumineuse interprète. (...) Un message humaniste porté par la bouleversante présence de Catalina Sandino Moreno.
Un superbe portrait de femme. (...) A chacune des étapes de ce chemin de croix, qui deviendra chemin de grâce, on sent les mois de recherches du réalisateur, la précision du détail et l'honnêteté de la démarche (...).
Une sourde révolte parcourt de bout en bout le déchirant, le dérangeant premier film de Joshua Marston (...) Désormais les mules ont un visage. Et quel visage: celui de Catalina Sandino Moreno, effectivement pleine de grâce. On n'est pas près de l'oublier.
Joshua Marston dépasse (...) le simple argument commercial (un thème choc = un film (...)) pour traiter son sujet à bras le corps. Ainsi le film souffre-t-il d'un début assez académique (...) La suite est assez formidable (...) La sensibilité à fleur de peau du film, qui ressort d'un remarquable travail sur la captation des sons (souffles, halètements, comme une mise en apnée des personnages), témoigne d'une vitalité de mise en scène peu commune.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ce film percutant pourrait n'être qu'une brillante fiction documentaire sans l'interprétation bouleversante de Catalina Sandino Moreno. La comédienne apporte une telle épaisseur et une telle véracité à son personnage que le spectateur ne peut s'empêcher de se faire un sang d'encre pour elle.
Avec un réalisme documentaire glaçant, Joshua Marston décrit l'engrenage fatal qui conduit l'orgueilleuse Maria à choisir la pire des options (...) Honnête et cohérent du premier au dernier plan, ce docu-fiction éprouvant risque de vous retourner l'estomac.
La critique complète est disponible sur le site Première
Un suspense qui monte graduellement, naturellement. Il y a du Ken Loach dans cette modestie mise au service d'une fièvre dénonciatrice. Et aussi un vrai talent pour créer, à partir d'une matière authentique, de purs moments de cinéma. (...) L'intensité finira par décroître dans la partie new-yorkaise, quand le scénario devient un peu trop volontariste (...) Mais cela n'atténue pas l'exemplarité de ce film-vérité (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Inspiré de faits réels, le premier film de Joshua Marston, de facture très classique, est un peu trop appliqué. Mais la grâce de Catalina Sandino Moreno et le sujet audacieux, fort documenté, sont d'une incontestable authenticité (...).
Joshua Marston donne à voir sans la moindre ombre ostentatoire un parcours chaotique dont la construction tout en suspens et en halètements répétés s'apparente à celle d'un thriller. La conclusion n'est peut-être pas à la hauteur du reste mais ce contrepoint artificiel ne gâche en rien la puissance d'un drame éprouvant qui émeut sans appuyer le trait. Sobriété, efficacité.
La forme est désormais familière, censée être un gage de sérieux sur ce type de sujet social qui en appelle à l'indignation du spectateur contre la cruauté de la société moderne. Si Marston échappe de justesse à ce programme trop prévisible, c'est que sa Maria est effectivement pleine de grâce. Catalina Sandino Moreno l'interprète avec une vraie liberté(...). Grâce à elle, le film dépasse les limites de l'exercice de style convenu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Volontairement démonstratif, le film pèche par un côté témoignage à charge, qui occulte la moindre zone d'ombre et (...) surligne son postulat métaphorique autour du parallèle religieux avec une quête salvatrice qui draine le récit. Toutefois, il faut aussi reconnaître à Maria une fonction documentaire pour le coup édifiante. (...) Ce faisant, Maria pleine de grâce a le réflexe de survie élémentaire de ne pas chavirer dans le pathos.
Honnête production HBO à petit budget et à grande ambition sociologique (...) La première oeuvre de Joshua Marston, ex-reporter globe-trotter, est conçue pour un public de télé qui n'a pas besoin de trop de subtilités, mais au contraire est avide de clichés rassurants. Oeuvre tellement "pleine de grâce" qu'elle n'arrive à dénoncer absolument rien (...).
Ce film social à la Ken Loach semble authentique, mais utilise toutes les ficelles dramatiques édictées par les manuels de scénario hollywoodiens (...) Facile, trop facile.
Aden
Avec un réalisme quasi documentaire, Joshua Marston donne à ressentir physiquement la crudité de cette mission. (...) Si ce premier long-métrage a la grâce, c'est aussi parce que son héroïne transcende le réalisme de la situation.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Pleine de grâce, Maria nous bouleverse.
L'Humanité
Maria pleine de grâce est le premier long métrage de Joshua Marston qui, dans la veine réaliste, offre là tout ce qu'un certain cinéma américain indépendant recèle de force, d'émotion et de sincérité.
L'Obs
Quelques beaux moments d'émotion. Sa modestie éloigne le film du tapage qu'aurait pu causer un sujet "brûlant", le cinéaste privilégiant la dimension humaine de son histoire, que servent à la perfection de jeunes interprètes colombiens, Catalina Sandino Moreno en tête, étonnante Maria, à laquelle il n'est sans doute pas exagéré de promettre une carrière fulgurante.
Le Figaroscope
Un récit maîtrisé, bouleversant, profondément humain.
MCinéma.com
Cela pourrait être terriblement ennuyeux, c'est fascinant. (...) La réussite de Maria... doit aussi beaucoup à l'interprétation de Catalina Sandino Moreno. Butée, ne souriant quasiment jamais, elle prête toute sa force et sa détermination à Maria.
Ouest France
Un mélodrame fort et authentique qu'un débutant cinéaste expose avec une vraie maîtrise, et la complicité d'une lumineuse interprète. (...) Un message humaniste porté par la bouleversante présence de Catalina Sandino Moreno.
Rolling Stone
Un superbe portrait de femme. (...) A chacune des étapes de ce chemin de croix, qui deviendra chemin de grâce, on sent les mois de recherches du réalisateur, la précision du détail et l'honnêteté de la démarche (...).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Une sourde révolte parcourt de bout en bout le déchirant, le dérangeant premier film de Joshua Marston (...) Désormais les mules ont un visage. Et quel visage: celui de Catalina Sandino Moreno, effectivement pleine de grâce. On n'est pas près de l'oublier.
Chronic'art.com
Joshua Marston dépasse (...) le simple argument commercial (un thème choc = un film (...)) pour traiter son sujet à bras le corps. Ainsi le film souffre-t-il d'un début assez académique (...) La suite est assez formidable (...) La sensibilité à fleur de peau du film, qui ressort d'un remarquable travail sur la captation des sons (souffles, halètements, comme une mise en apnée des personnages), témoigne d'une vitalité de mise en scène peu commune.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Paris Match
Ce film percutant pourrait n'être qu'une brillante fiction documentaire sans l'interprétation bouleversante de Catalina Sandino Moreno. La comédienne apporte une telle épaisseur et une telle véracité à son personnage que le spectateur ne peut s'empêcher de se faire un sang d'encre pour elle.
Première
Avec un réalisme documentaire glaçant, Joshua Marston décrit l'engrenage fatal qui conduit l'orgueilleuse Maria à choisir la pire des options (...) Honnête et cohérent du premier au dernier plan, ce docu-fiction éprouvant risque de vous retourner l'estomac.
Télérama
Un suspense qui monte graduellement, naturellement. Il y a du Ken Loach dans cette modestie mise au service d'une fièvre dénonciatrice. Et aussi un vrai talent pour créer, à partir d'une matière authentique, de purs moments de cinéma. (...) L'intensité finira par décroître dans la partie new-yorkaise, quand le scénario devient un peu trop volontariste (...) Mais cela n'atténue pas l'exemplarité de ce film-vérité (...).
Zurban
Inspiré de faits réels, le premier film de Joshua Marston, de facture très classique, est un peu trop appliqué. Mais la grâce de Catalina Sandino Moreno et le sujet audacieux, fort documenté, sont d'une incontestable authenticité (...).
aVoir-aLire.com
Joshua Marston donne à voir sans la moindre ombre ostentatoire un parcours chaotique dont la construction tout en suspens et en halètements répétés s'apparente à celle d'un thriller. La conclusion n'est peut-être pas à la hauteur du reste mais ce contrepoint artificiel ne gâche en rien la puissance d'un drame éprouvant qui émeut sans appuyer le trait. Sobriété, efficacité.
Cahiers du Cinéma
Ce premier film de Joshua Marston se divise en trois parties, dont seul le centre est fort. (...) L'actrice Catalina Moreno est parfaite (...).
Le Monde
La forme est désormais familière, censée être un gage de sérieux sur ce type de sujet social qui en appelle à l'indignation du spectateur contre la cruauté de la société moderne. Si Marston échappe de justesse à ce programme trop prévisible, c'est que sa Maria est effectivement pleine de grâce. Catalina Sandino Moreno l'interprète avec une vraie liberté(...). Grâce à elle, le film dépasse les limites de l'exercice de style convenu.
Libération
Volontairement démonstratif, le film pèche par un côté témoignage à charge, qui occulte la moindre zone d'ombre et (...) surligne son postulat métaphorique autour du parallèle religieux avec une quête salvatrice qui draine le récit. Toutefois, il faut aussi reconnaître à Maria une fonction documentaire pour le coup édifiante. (...) Ce faisant, Maria pleine de grâce a le réflexe de survie élémentaire de ne pas chavirer dans le pathos.
Positif
Honnête production HBO à petit budget et à grande ambition sociologique (...) La première oeuvre de Joshua Marston, ex-reporter globe-trotter, est conçue pour un public de télé qui n'a pas besoin de trop de subtilités, mais au contraire est avide de clichés rassurants. Oeuvre tellement "pleine de grâce" qu'elle n'arrive à dénoncer absolument rien (...).
Les Inrockuptibles
Ce film social à la Ken Loach semble authentique, mais utilise toutes les ficelles dramatiques édictées par les manuels de scénario hollywoodiens (...) Facile, trop facile.