Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Sébastien Tong
Tourné entièrement caméra à l'épaule, Le fils d'Elias peut laisser croire à un film amateur par ses incessants mouvements mais il n'en est rien, c'est du grand cinéma minutieusement mis en scène et brillamment interprété (mention spéciale à Daniel Hendler).
L'Obs
par Bijan Anquetil
Filmé caméra à l'épaule, remarquablement interprété par Daniel Hendler (...), "Le Fils d'Elias" réussit, non sans humour, le touchant prtrait d'un jeune homme en crise identitaire dans l'Argentine d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Brigitte Baudin
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Déclinaison argentine de la traditionnelle névrose juive, cette comédie douce-amère révèle un cousin méridional de Woody Allen.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Olivier De Bruyn
Sorte de cousin argentin de Woody Allen, Daniel Burman filme drôlement des choses pas toujours drôles. Talent peu fréquent.
Télérama
par Pierre Murat
Après Le Fils de la mariée, de Juan José Campanella, sorti il y a quelques semaines (...), voici la deuxième bonne surprise 2004. Visiblement, Daniel Burman aime un cinéma tout de douceur et de liberté. Il se faufile avec agilité dans les états d'âme de ses personnages et rend attachantes leur perpétuelle joie de vivre et leur incessante mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Une esthétique de l'esbrouffe. Laquelle est heureusement atténuée par la présence énergique et intense de l'acteur principal: Daniel Hendler a d'ailleurs reçu le prix d'interprétation pour son rôle au dernier festival de Berlin. Le film doit beaucoup à son impatience et à sa rage retenue.
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Du réalisme psychologique sans grande originalité.
Libération
par Didier Péron
Indéniablement, c'est la présence détachée et morose de l'acteur principal, Daniel Hendler, acteur fétiche du cinéaste (...), qui sauve le film de ses nombreuses maladresses stylistiques et d'un scénario guère passionnant.
MCinéma.com
par Hugo de Saint-Phalles
La quête identitaire d'Ariel constitue le coeur du film mais le réalisateur évite soigneusement le drame pur en injectant de nombreuses séquences légères très réussies.
aVoir-aLire.com
Tourné entièrement caméra à l'épaule, Le fils d'Elias peut laisser croire à un film amateur par ses incessants mouvements mais il n'en est rien, c'est du grand cinéma minutieusement mis en scène et brillamment interprété (mention spéciale à Daniel Hendler).
L'Obs
Filmé caméra à l'épaule, remarquablement interprété par Daniel Hendler (...), "Le Fils d'Elias" réussit, non sans humour, le touchant prtrait d'un jeune homme en crise identitaire dans l'Argentine d'aujourd'hui.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Déclinaison argentine de la traditionnelle névrose juive, cette comédie douce-amère révèle un cousin méridional de Woody Allen.
Première
Sorte de cousin argentin de Woody Allen, Daniel Burman filme drôlement des choses pas toujours drôles. Talent peu fréquent.
Télérama
Après Le Fils de la mariée, de Juan José Campanella, sorti il y a quelques semaines (...), voici la deuxième bonne surprise 2004. Visiblement, Daniel Burman aime un cinéma tout de douceur et de liberté. Il se faufile avec agilité dans les états d'âme de ses personnages et rend attachantes leur perpétuelle joie de vivre et leur incessante mélancolie.
Aden
Une esthétique de l'esbrouffe. Laquelle est heureusement atténuée par la présence énergique et intense de l'acteur principal: Daniel Hendler a d'ailleurs reçu le prix d'interprétation pour son rôle au dernier festival de Berlin. Le film doit beaucoup à son impatience et à sa rage retenue.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Du réalisme psychologique sans grande originalité.
Libération
Indéniablement, c'est la présence détachée et morose de l'acteur principal, Daniel Hendler, acteur fétiche du cinéaste (...), qui sauve le film de ses nombreuses maladresses stylistiques et d'un scénario guère passionnant.
MCinéma.com
La quête identitaire d'Ariel constitue le coeur du film mais le réalisateur évite soigneusement le drame pur en injectant de nombreuses séquences légères très réussies.