Les Poupées russes
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670 critiques spectateurs

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xavierch
xavierch

50 abonnés 1 167 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 25 janvier 2014
Une très bonne suite de "L'auberge espagnole", où on retrouve le mêmegenre de réalisation virevoltante, et la plupart des protagonistes du premier, même si la plupart des anciens colocataires de Xavier ne font que des apparitions.
L'histoire ne tourne plus qu'autour de Xavier, ce qui est un poeu dommage et ne donne donc plus cet effet chorale, qui était vraiment des plus rafraîchissant.
L'histoire est très agréable à suivre et l'on ne s'ennuie pas,ce qui est le principal.
Ce deuxième volet me donne envie de voir le troisème.
AMANO JAKU
AMANO JAKU

336 abonnés 797 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 21 janvier 2014
Étonnant de voir que Klapish est décidé de faire une suite à "L’ Auberge Espagnole" alors que lui-même avait dit qu’il ne voyait pas l’utilité de le faire. Et bien il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis et merci Mr Klapish d’avoir revu votre opinion ! Nous retrouvons donc notre héros Xavier qui a la trentaine mais donc la vie n’est toujours pas au beau fixe : son livre écrit depuis trois ans n’intéresse aucun éditeur et il survit en écrivant des scénarios de feuilletons sirupeux pour la télévision ; et côté cœur, il cumule les aventures sans lendemain et commence à ne plus croire du tout en l’amour. Bref bilan plutôt sombre et crise de la trentaine en vue ! Et oui, nous reprenons notre odyssée de la vie commencée trois ans auparavant avec le séjour en Espagne ; mais cette fois-ci le film est, comme ses protagonistes, plus mûr : le ton est moins léger comme dans le précédent film, la folie de la jeunesse et son insouciance appartenant désormais au passé. On aborde les sujets et les problèmes des adultes, aboutissant à la sempiternelle remise en question de soi-même. Autant dans le premier film, l’obsession de Xavier était de savoir ce qu’il ferait de sa vie professionnellement, autant ici c’est la recherche de l’amour qui l’obnubile : n’ayant connu que des aventures foireuses et étant obligé de parler d’amour pour son job, Xavier se sent paumé car il doit écrire sur quelque chose qu’il ne connaît finalement pas. Et comme c’est souvent le cas dans la vie, c’est grâce à un évènement anodin (ici le passage à Paris de David, le frère déjanté de Wendy, l’anglaise qu’il a connu à Barcelone) qui va l’interpeller et finalement reprendre confiance en ses croyances et, par conséquent, en lui-même. Toujours aussi juste et réaliste, Klapish nous offre une seconde ode à la vie où l’amour est représenté comme le Saint Graal à obtenir, en nous proposant toujours des effets de style agréables et parfois bien trouvé pour soutenir le récit (ralentis, split-screens, timelapses). Romain Duris est une nouvelle fois parfait en jeune homme presque désespéré, Audrey Tautou arrive à être encore plus insupportable que dans "L’ Auberge Espagnole" (en même temps elle joue à la perfection la femme moderne : chiante, jamais contente et ne voyant jamais plus loin que le bout de son nez !!) mais la belle surprise revient à Kelly Reilly : l’anglaise assez discrète du premier film nous revient plus rayonnante que jamais malgré son personnage de romantique paumée et meurtrie. Cédric Klapish a parfaitement réussi son comeback avec Les Poupées Russes, suite logique et complémentaire de "L’ Auberge Espagnole" : toujours aussi réaliste, touchant et rafraîchissant, on se laisse entraîner dans la continuité de l’apprentissage de Xavier, nous rappelant ce que fut la notre. Après deux essais aussi bon, et si Klapish se laissait tenter par un troisième volet qui pourrait se concentrer sur la suite logique : la vie en couple et les joies d’être parent…je crois qu’il y a vraiment quelque chose à tenter !!
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 18 janvier 2014
Après l'auberge espagnole Cédric Klapisch signe la deuxième partie de sa trilogie appelée les poupées russes. Cette fois-ci Xavier a grandi, il a 30 ans, est écrivain mais semble perdu et a des problèmes pour ses aventures amoureuses. Même si le scénario n'est pas le meilleur possible le film nous embarque dans son histoire, ses problèmes, la vie de Xavier. Pas d'ennui, que des moments drôles et très agréable a passer.
anonyme
Un visiteur
3,5
Publiée le 15 janvier 2014
5 ans après l’auberge espagnole, nous retrouvons Xavier en plein crise de la trentaine et surtout en pleine réflexion sur le bonheur amoureux. Cette suite reprend les mêmes schémas que le premier film avec tout autant d’efficacité et on la dévore avec plaisir grâce au style Klapisch. Néanmoins, si le premier opus était fort d’un esprit juvénile et frais via le mélange multiculturel que représentait l’expérience estudiantine Erasmus. «Les poupées russes » se concentre sur les amourettes de son personnage principal et tourne globalement un peu trop autour du vaudeville. Certaines scènes sont tout de mêmes très réussies notamment celle de la déclaration d’amour de Wendy sur le quai de la gare et aussi et surtout celle ou Xavier compare les dimensions de la rue idéale de Saint Petersbourg avec les courbes de la femme parfaite. Dommage donc que ce sujet, même s’il est tout de même bien amené et travaillé, soit le seul fil rouge de cette nouvelle tranche de vie. Le casting reste égal à lui-même et la découverte de la Russie est plaisante. Avec l’arrivée du 3eopus, on doute cependant fortement que Xavier est ouvert sa dernière poupée…
Lili8163
Lili8163

27 abonnés 271 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 28 décembre 2013
Aucune différence notable avec le précédent opus.
"Les Poupées Russes" est une suite convenue des aventures sentimentales, amicales et professionnelles du jeune Xavier, que l'on retrouve ici, cinq ans plus tard.
Skipper Mike
Skipper Mike

94 abonnés 650 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 23 décembre 2013
On constate très vite que Cédric Klapisch est parvenu à retrouver l’énergie incroyable qui animait "L’Auberge espagnole", alternant saynètes malicieuses et échappées introspectives sur un rythme effréné. C’est avec ravissement qu’on retrouve le groupe d’étudiants auquel on s’était si facilement attaché et qu’on remarque que la magie est intacte et le personnage de Xavier toujours aussi passionnant. Malheureusement, le film commence à peiner au bout d’une heure : la partie française est en effet excellente, mais la suite est hélas plus terne. Sans que le spectateur s’ennuie, les débuts de la relation avec Wendy sont tout de même moins intéressants, "Les Poupées russes" perdant sa dimension chorale. Les découvertes culturelles sont toujours là, mais on s’aperçoit que les autres colocataires du film précédent sont devenus des faire-valoir. Au fur et à mesure que le film se concentre sur Xavier, on a le sentiment que la conclusion de "L’Auberge espagnole" est ici réfutée : il n’est pas le produit d’une multitude de personnalités provenant de nations diverses mais bien un individu particulier et détaché des autres. Cette nouvelle conception – qui n’est qu’une interprétation – s’accompagne de la transformation relative du caractère de Xavier : il n’est plus l’étudiant enjoué d’auparavant mais un infidèle notoire et instable – même s’il était déjà loin d’être parfait au niveau des relation amoureuses à l’époque. Une métamorphose qui apparaît presque nécessaire dans l’évolution du personnage : âge différent, mentalité nouvelle. Cela provoque bien sûr une certaine amertume mais participe aussi à la beauté de la fin, avec un générique très réussi.
Loskof
Loskof

400 abonnés 688 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 11 février 2019
Après un premiers épisode centrée sur la jeunesse de Xavier, avec des thèmes comme les études, les premiers amours, la figure paternelle, etc, celui se concentre quasi exclusivement sur la recherche du véritable amour. Ce qui est assez fort c'est qu'on ne tombe pratiquement jamais dans le cliché des histoires d'amour, celle-ci est juste belle et sincère. Encore une fois l'écriture et le jeu des acteurs contribuent grandement à s'immiscer dans le film. C'est au moins aussi drôle que le 1er, manque juste la fraicheur de l'auberge espagnole pour arriver à la même note. Mais pour mois il comporte ce qu'il faut d'évolution, de situations cocasses et d'émotions pour s'en approcher très fortement. Et puis bon, Kelly Reilly est tellement chou dans le film avec son accent anglais qu'on ne peut pas passer à côté !
cylon86
cylon86

2 605 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 20 décembre 2013
Trois ans après "L'auberge espagnole", Cédric Klapisch retrouve Xavier, devenu écrivain mais toujours en proie à ses doutes, notamment et surtout par rapport aux femmes et à l'amour. De Londres à Paris en passant par Saint-Pétersbourg, Xavier en découvre un peu plus sur lui-même et apprend à arrêter de rêver ce qui n'est pas une chose facile. Si c'est un plaisir de revoir Xavier avec sa maladresse et ses soucis (grâce à Romain Duris qui l'interprète avec une certaine candeur qui fait plaisir à voir), ce deuxième opus est plus lent et moins rythmé que le précédent ce qui le rend tout de même un peu moins agréable à voir. Le scénario parle très bien des choses de la vie sans trop tomber dans le cliché mais la mise en scène souffre toujours d'une photographie relativement laide. Mais Klapisch, loin de s'intéresser à l'image se concentre plus sur ses personnages et réussit de très bonnes scènes.
Julien D
Julien D

1 236 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 16 décembre 2013
Quasiment tous les personnages de L’auberge espagnol, au moins ceux auxquels on s’était le plus attachés, se retrouve dans cette comédie romantique se situant cinq ans après leur cohabitation à Barcelone. Avec un scénario moins convenu et une mise en scène plus fantaisiste que le premier épisode, cette suite trouve, dans sa première moitié, un nouveau souffle romanesque des plus rafraichissants. Après ça, tout s’effondre, le rythme devient mou, en particulier lorsque le marivaudage londonien commence à s’étirer dans de longs dialogues sans panache. C’est à croire que Cédric Klapisch semble décidemment bien moins inspiré et audacieux dès lors que sa caméra quitte le sol français. Dans la peau de Xavier, Romain Duris reste extrêmement convaincant, au point qu’il en devient difficilement envisageable qu’il retrouve un jour un rôle qui lui aille aussi bien.
Raphaël O
Raphaël O

155 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 3 décembre 2013
La suite espagnole de l'auberge espagnole avec un Romain Duris toujours aussi épatant.
Une réussite !
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 2 décembre 2013
Ce film est une daube, j’aurai aimé m'endormir devant mais je n'ai même pas réussi tellement c'est agacent comme c'est MOU !
Hotinhere
Hotinhere

607 abonnés 5 089 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 9 décembre 2020
Une suite réussie et toujours aussi divertissante, à l'humour contagieux grâce à une interprétation excellente.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 24 novembre 2013
J'aime Klapish, c'est mon petit côté bobo. Pour tout vous dire, j'ai préféré les Poupées russes à l'Auberge espagnole. Ces vies entremêlées et toutes ces petites nénettes (Kelly Reilly en tête), tournent la tête de Xavier (Duris), auquel -mon dieu, je suis vraiment un bobo, c'est triste de s'en rendre compte- je m'identifie absolument. Au milieu de toutes ces pépés, de toutes ces histoires d'amour classiques mais émouvantes, tous ces ratages, Xavier et moi-même sommes transportés, tranquilles. Le point d'orgue : Ces jambes qui marchent dans la rue aux proportions idéales. On ose rarement des plans de ce genre, et c'est triste. Voilà, Klapish m'a séduit (enfin surtout Kelly Reilly), et j'attends avec enthousiasme la suite des aventures de Xavier, comme j'attends avec enthousiasme (heureusement), la suite de ma propre vie.
Supernono74
Supernono74

15 abonnés 472 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 31 décembre 2013
Alors que le troisième volet ne va tarder à sortir il était temps de voir le second opus, suite du très bon "L'auberge espagnol".
Comme beaucoup de suite l'attente est souvent suivie par la déception. Mais ici le bilan n'est pas si catastrophique.
S'il reste en dessous du premier volet il sait malgré tout tout d'abord avoir son identité et c'est toujours un plaisir de voir comment les personnages ont su évoluer au fil du temps, même si la moitié à peine est vraiment traitée ici, ce qu'on pourrait d'ailleurs un peu reprocher, j'aurais pour ma part aimé un peu plus qu'une simple réplique.

La réalisation est toujours aussi soignée, avec des petites idées originales qui dynamise le film. Et c'est tant mieux car le plus gros reproche c'est peut-être une histoire qu'on a du mal à appréhender. On est limite plus dans une tranche de vie, comme si les doutes du personnage qui ne sait quoi faire rendait la lisibilité du film brouillonne.
De plus, le personnage de Romain Duris est un peu plus antipathique que dans l'auberge espagnole, c'est donc bien plus difficile de ressentir de l'empathie pour lui. C'est peut-être ce qui empêche aussi de rentrer dans le film.

Mais le film possède ses moments surprenants, ses histoires de coeur originales, une bande son qui sans être au niveau de L'auberge espagnol est agréable à écouter.

Bref une suite inférieure, mais agréable à suivre.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 13 octobre 2013
« Les poupée Russes » : le pilote bobo de «Plus belle La Vie »
J’avais apprécié la fraicheur de « L’auberge Espagnole », mais là franchement quel daube insipide. Aucune compassion pour ce dandy paumé qui traîne son mal de vivre dans l’Eurostar à essayé d’écrire des conneries entre son portable et son sac Easpak ( bonjour les clichés au passage et il y en a des tonnes….). « Les Poupées Russes » ne sont finalement que la chronique prétentieuse et inutile de ces petits bobos parisiens qui traînent leur désoeuvrement dans les lofts de 400m2 du vingtième : il est impossible de ressentir la moindre émotion, voire la moindre empathie pour ces personnages dont le champ de vision s’arrête à leur strict nombril.
Les déboires amoureux et autres déconvenues de ces fils à papa trentenaires et immatures, engourdis dans leur confortable spleen sont totalement inintéressants. Leur complainte ainsi que leur périple européen, ont vite fait de tourner en rond et d’être exaspérants : on en n’a finalement rien à foutre.
J’ose espérer que le personnage principale, ainsi que les secondaires d’ailleurs, ne sont pas représentatifs de ces jeunes qu’ils incarnent, parce que si leurs problèmes se limitent à ces aventures anecdotiques, la vie risque de leur réserver des surprises et pas forcément des meilleures… En effet, il arrive un moment dans la vie où le passage à l’âge adulte exige qu’il est temps de comprendre qu’il faut se sortir les doigts du….. un film vain et prétentieux : le remake bobo du pilote de Plus belle la vie.
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