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Gonnard
246 abonnés
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5,0
Publiée le 24 février 2008
Très agréable à regarder car de nombreuses petites histoires s'enchaînent, les dialogues ne sont pas là pour combler le vide sonore, la réalisation est originale, c'est très réaliste, les moments comiques sont délicieux. Pourtant je n'avais pas accroché plus que cela "L'auberge espagnole". Seul petit bémol, le film tire un peu en longueur, un quart d'heure en moins et il aurait été parfait.
Un peu classique en fin de compte. Très bonne réalisation. Des fois ça tire en longueur un tout petit peu trop à mon goût. On aime le personnage et sa façon de penser... un film comme un autre pour les plus de 20 ans sur des reflexions banales sur l'Amour, sujet du film et à la loupe. Sympas sans plus.
Pas de déception pour cette suite honorable, qui ne cède pas à la facilité de la répétitivité. On y perd un peu de chaleur humaine colocataire, on y gagne de la profondeur et davantage de subtilité. Pas de quoi se plaindre.
Pfff... Ça donne le ton, cash, avec un générique façon sitcom française composite qui veut se la péter et ça continu, tambour branlant, par un ""film(?)"" assorti à ce début minable (au moins y'a pas tromperie sur la marchandise). C'est foutraque et dénué du moindre intérêt avec comme message mis en exergue: "C'est de la merde et j'ai pas honte". Vide, chiant, clipesque et convenu comme un épisode de plus belle la vie mélangé, façon "portnawak sous cocaïne", avec un épisode des feux de l'amour et de sex and the city (à moins que ce ne soit Joséphine ange gardien?). A la poubelle les poupées russes... c'est pas un film ce truc, c'est une grosse mouscaille, même pas digne de passer à la télé.
Avec cette suite, le doute n’est plus permis. Klapisch s’égare définitivement dans son art de caricaturer et de grossir les traits. Surtout, ce film accumule tout les handicaps qui oeuvrait déjà depuis quelques temps : des scènes trop longues et un montage complaisant ; l’omniprésence du blabla à la place des sentiments ; trop plein de personnage… Surtout, les bons sentiments sont livrés avec complaisance et sans aucune pudeur. On est surtout gêné et agacé par le message du film, de la victoire de l’individualisme nombriliste au mode de vie nihiliste et détestable. Outre que Klapisch nous offre des téléfilm à l’eau de rose, il se complait dans une apologie d’un certain mode de vie boboïde qui érige son absence de réflexion en porte drapeau. Klapisch touche ici le fond et l’on peut n’avoir que des doutes sur la suite de sa carrière.
Trois années après L'Auberge Espagnole, Klapisch revient avec une suite pour le moins inattendue. [...] Maintenant, Xavier est écrivain. Il est sur le scénario d'un téléfilm à l'eau de rose pour le programme de l'été d'une chaîne de télévision. Lorsqu'on lui dit que le script doit finalement être écrit en anglais, il se voit contraint de partir à Londres pour terminer cette sitcom médiocre. Là-bas, il retrouve Wendy pour qu'ils bossent ensemble sur le projet. Finalement, une fois qu'il a quitté sa vie à Paris où il enchaînait les petites expériences amoureuses sans suites et les problèmes avec sa banquière, il se rend compte qu'il est heureux avec la belle anglaise. Il sera aussi amené à partir à Saint-Pétersbourg pour le mariage de l'un de ses amis de Barcelone. Pour Xavier, il est temps d'arrêter de rêver et de faire des choix. Attendu au tournant, Klapisch n'a pas déçu. Le film possède la même énergie, la même créativité narrative, le même humour toujours aussi efficace et la même fraicheur que le premier volet. Mais ces Poupées Russes ont cependant un petit quelque chose en plus. Quelque chose qui fait qu'il regorge de scènes d'anthologie ; les passages avec Monsieur Tout-le-Monde dans la sitcom ridicule, ceux où Romain Duris joue du pipeau, la scène dans la rue aux proportions idéales ou encore celle du faux dîner hétéro sont absolument irrésistibles. Le cinéaste tient donc ses promesses au niveau du rythme et de l'humour. Il réussit également à renouveler ses personnages et à les rendre toujours plus attachants. C'est donc avec un énorme plaisir que l'on retrouve une Kelly Reilly encore plus belle, un Romain Duris encore plus paumé, une Audrey Tautou encore plus séduisante et une Cécile de France encore plus drôle. En reprenant les mêmes codes que L'Auberge Espagnole, Klapisch nous pond une œuvre encore plus drôle et toujours aussi attachante. Un film qui fait du bien ! [ma critique complète sur mon blog de critiques ciné : http://redross.skyblog.com]
Une excellente suite de L'auberge Espagnole, où l'on change totalement de critère; Là on tombe dans le romantique, et c'est pas pour nous déplaire. Un excellent Romain Duris, et une très bonne Kelly Reilly. Super
"j'ai grandi, Xavier aussi, nous avons le même âge, 30 ans, aouch, j'ai l'impression de me voir à l'écran, les premiers bilans, la vie en attente, les questions qui font mal, les remises en question, ce que j'ai râté et ce que j'ai réussi ! bon sang... Xavier c'est moi !". Je ne m'attendais pas à ça, pas à une telle introspection, ce film est une claque et une grande réussite. Un regard tellement juste sur les nouveaux trentenaires. Merci Cédric Klapisch, merci Romain Duris. Petite ombre au tableau, le fait que nous n'ayons pas pu voir un peu plus les anciens de l'auberge espagnole.
Le film est légèrement moins bon car il est plus centré sur Romain. Le film perd donc de son charme car on ne voit plus cette vie en communauté qu'il avait vécu et qui rendait le film si bon. Mais on prend beaucoup de plaisir à regarder le parcours sentimental de Romain où il fait les mêmes erreurs qu'un individu normal
Ou l'on retrouve avec plaisir les protagonistes du trés inspiré l'auberge espagnole (meme réalisateur en 2002 ) a savoir Xavier (Romain Duris et ses questions existentielles ) Isabelle (pétulante Cécile de France ) Martine (Audrey Tautou ici un peu en retrait) William (Kevin Bishop ) et autre Wendy (Kelly Reilly) .
Si cette suite est un ton en dessous du premier volet ,elle est néammoins agréable a regarder car le réalisateur a su insuffler une dimension nouvelle a ses personnages si on regrette que le film s'essouffle un peu dans la seconde partie ( le mariage a St Petersbourg) on prend toutefois beaucoup de plaisir a suivre les déboires de chacun ,Un scénario inventif agrémenté de quelques trouvailles amusantes de mise en scène , une interprétation de qualité,une bande son quasi irréprochable font de ces 'Poupées russes ' un film sympathique et moderne qui colle a une réalité evidente Romain Duris y est excellent et se pose une fois encore comme l'un des acteurs les plus intéréssants du circuit . Klapisch quant a lui poursuit son bonhomme de chemin ; il est depuis quelques années l'une des valeurs sures du cinéma français et il en apporte encore la preuve avec ce film réussi dont le seul défaut serait peut etre de souffrir d'un petit excès de parisianisme
Klapish reussi la suite parfaite même meilleur que l'Auberge Espagnole Ce film sonne vrai et ne prétends rien Il nous compte juste la vie d'un personnage qui ressemble étrangement à la notre Avec nos choix et nos erreurs, c'est une lecon de cinéma que nous fait Klapish par une mise en scène astucieuse et originale Les idées fourmillent et une mélancolie anivrante nous emporte au fil du film Kelly Reilly est sublime dans ce film absolument sublime C'est un véritable bijou que Duris, Tautou And co nous livre Merci .. Merci Beaucoup
Certes, on retrouve avec plaisir la mise en scène originale et parfois surprenante du premier opus, ainsi que les sympathiques personnages de "l'auberge espagnole". Cela dit, il est bien difficile de s'identifier à eux et de compatir à leurs déboires sentimentaux tant l'histoire est alambiquée et traîne en longueur. On attendait un peu plus d'originalité et d'action pour cette suite. C'est plaisant, mais bien long...