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Un visiteur
4,0
Publiée le 27 juin 2008
Klapish réussit avec la virtuosité qu'on lui connait ce film générationnel.Le trop-plein de personnages n'est pas un problème : on passe de l'un à l'autre avec fluidité,d'autant qu'ils bénéficient tous d'un traitement soigné.Le scénario réserve des déviations, des digressions, des surprises, des impasses aussi...mais la richesse du film est bien là.Tout s'emboîte parfaitement même si certains passages plaisent moins que d'autres.L'inventivité formelle qui s'en dégage est trop rare pour ne pas en profiter !
Superbe suite de l'auberge Espagnole. Un grand plaisir de retrouver tout ces excellents acteurs (entre autres Romain Duris et la splendide Kelly Reilly). Félicitations à Cédric Klapish qui a su faire évoluer ses personnages d'une belle manière. Cette suite est plus subtile et profonde, mais aussi très marrante! Quelques (petites) longueurs cependant, et une fin peut-être un peu trop facile.
Pas mal du tout ! Radicalement différent de l'Auberge Espagnole, mais on retrouve quand même l'ambiance, l'humour et les situations cocasses. Romain Duris est comme d'habitude, parfait !
on retrouve avec plaisir les personnages de "l'auberge espagnole", l'histoire est un peu trop longue, on s'attend à plus de rythme. Dommage qu'il soit moins bien reussi que le premier
[...] Attendu au tournant, Klapisch ne déçoit pas. Le film possède la même énergie, la même créativité narrative, le même humour toujours aussi efficace et la même fraicheur que le premier volet. Mais ces Poupées Russes ont cependant un petit quelque chose en plus : elles regorgent de scènes d'anthologie. Les passages avec Monsieur Tout-le-Monde dans la sitcom ridicule, ceux où Romain Duris joue du pipeau, la rue aux proportions idéales ou le faux dîner hétéro sont absolument irrésistibles. Le cinéaste tient donc ses promesses au niveau du rythme et de l'humour. Il réussit également à renouveler ses personnages et à les rendre toujours plus attachants. C'est donc avec un énorme plaisir que l'on retrouve une Kelly Reilly encore plus belle, un Romain Duris encore plus paumé, une Audrey Tautou encore plus séduisante et une Cécile de France encore plus drôle. En reprenant les mêmes codes que ceux de L'Auberge Espagnole, Klapisch nous pond une œuvre toujours aussi attachante. Un film qui fait du bien ! [...] Cédric Klapisch est l'un des rares réalisateurs à savoir filmer les gens. Dans la peine comme dans la joie, il sait faire ressortir leur simplicité et leur spontanéité. Ses personnages sont toujours plein de profondeur, aussi drôles qu'émouvants. De ce film émane une vraie sincérité. On sent un réel désir de mise en scène derrière. Avec Les Poupées Russes, il signe une œuvre qui donne tout simplement envie de profiter de la vie comme elle vient. [Ma critique complète sur http://redross.skyblog.com]
Trop trop long. Cédric Klapisch se tire une balle dans le pied en nous affligeant 2h05 d'un film qui ne devrait pas dépasser les 1h30 pour garder un semblant de rythme. Au delà de çà je ne trouve pas que l'on retrouve l'ambiance de l'Auberge espagnole et son côté "étudiants sympas". Là on a plus l'histoire d'un trentenaire prétentieux et narcissique qui nous raconte ses plans "cul" et sa philo de bazar. Reste quelques scènes sympas ... A réserver aux promos DVD à 5 euros ;)
Le bonheur de retrouver cette bande de trentenaires est total.
Cette suite suit avec un plus grand intérêt le personnage de Romain Duris qui découvre le monde impitoyable de la télévision tout en cherchant éternellement l'âme soeur. De scènes cultes en scènes cultes(le pipeau, la course tout-nu dans la rue, le dîner hilarant chez le père de Romain Duris,...), le réalisateur nous retrace avec humour et sincérité les retrouvailles entre Romain Duris et Audrey Tautou, les histoires d'amour qui finissent vite et celles qui naissent et qui, malgré les aléas, subsistent.
Tourné entre Paris, Londres et Moscou, ce film constitue un bel hymne à l'amour et à l'amitié.
Avec en prime des acteurs au top de leur forme à l'image de l'excellent Romain Duris, de la sublime Keiley Reilly ou bien de l'enquiquinante Audrey Tautou et de l'hilarante Cécile de France, ce film va plus loin et est plus convaincant que l'Auberge Espagnole.
Oula! Une suite des aventures de Xavier, le frenchy parisien, maître ès narcissisme, qui part dispenser ses réflexions sur la vie à travers toute l'Europe. Mais c'est bien, enfin moins pire, il a un peu plus l'air d'un looser ici, du moins au début, ce qui est somme toute mérité. Pourtant, Klapisch a voulu battre un record : 2h05, oui, deux heures et cinq minutes, pour un scénario qui aurait gagné en épaisseur s'il s'agissait d'épeler le mot "rien". Au moins, l'avantage, c'est qu'on trouve le temps d'esquisser un sourire ou deux... Bref, en toute objectivité, ça lui permet d'atteindre la note de Fast and Furious 3 : (2/10)
Changement d'âge, changement d'ambiance. Les acteurs ont évolués, mûris, grandis à l'image du film. On est bien loin de la fraîcheur de "L'auberge espagnole". Klapisch nous montre ses personnages de façon sobre et adulte. Finit les préoccupations infantiles, les soirées endiablées, les fêtes dans les rues de Barcelone. Place à la réalité du travail, au grand amour, aux crises. Cette suite n'a donc pas la même saveur que le premier volet. A noter quelques longueurs dommageables.
Encore mieux que l'auberge espagnole!!je le revois volontiers, les acteurs (et surtout romain duris) jouent très bien, l'histoire est émouvante et on ne voit pas le temps passer.là aussi, encore un film qui reproduit bien notre vie à 20-30 ans.J'adore!
Une histoire d'amour(s) pas commune. Tout se passe dans la tête d'un trentenaire en quête du genre féminin. Un puzzle, sur un mode quasi-abstrait, attrayant, qui surprend par quelques rebondissements, casse la nuque à certains clichés sur l'amour et ne manque pas d'humour. A quelques longueurs près, un très bon film.
On retrouve avec plaisir cette joyeuse troupe d'acteurs pour cette suite assez plaisante de l'auberge espagnole. A la fois mieux réussie que son aîné avec un rythme plus soutenu et des personnages encore plus nombreux, il pêche néanmoins par son excessivité. A vouloir en faire un peu trop, Cédric Klapisch s'égare et dérape quelques fois, cassant cette intrigue qui a le mérite d'être très travaillée. Toutefois, l'ensemble se regarde avec distraction et sans souçis de second degré, et l'on suis avec entrain et bonne humeur ces mésaventures de Xavier, incarnant un (anti)héros "malgré" lui très contemporain. Un bon petit moment de cinéma.