Derniers Avis : Les Poupées russes - Page 16

N'apporte pas grand chose à L'Auberge Esapgnole, mais satisfait notre curiosité.

une tres bonne suite , on prend plaisir à retrouver nos amis de l'auberge espagnole, et à voir evoluer les personnages.

Je n'ai pas peur de le dire : Cédric Klapisch est un auteur !
Certes il n'a pas le talent d'un Truffaut, Xavier n'est pas Antoine Doinel et "Les poupées russes" aurait du mal à se mesurer au génial "Baisers volés"...
Cela n'est pas une raison pour accepter la volée de bois vert qu'il subit systématiquement dans quasiment toute la presse à chaque sortie de film ! "Les poupées russes" est en effet une excellente comédie, comme l'étaient "Chacun cherche son chat", "L'auberge espagnole" ou "Peut-être", ou comme "Ni pour, ni contre" était un excellent polar...

Les obsessions de Klapisch sont toujours les mêmes : un personnage face à des choix, à son incapacité à faire ces choix ou à faire LE bon choix et les conséquences de ces errances sur sa vie... De film en film, le réalisateur creuse le sillon de cette obsession avec une persévérance qui, pour moi, force le respect !
Alors on me dira encore que Klapisch aligne les clichés... Et alors ? Ces clichés sont si justes ! Admettons donc que nos vies sont régies par tant de clichés, ne serait-il pas temps de les assumer et d'admettre qu'au fond, ces clichés, nous y sommes attachés...
Alors, oui, le cinéma de Klapisch est léger et parfois un peu racoleur dans sa volonté d'être "djeun's"...
Non, ce n'est pas un "grand" cinéaste...
Oui, son cinéma est un cinéma populaire, mais non, je suis désolé, il n'est jamais ni crétin, ni populiste et n'a - en tous cas - jamais pété plus haut que son cul !
Merci, Cédric Klapisch, de m'avoir fait passer ces deux heures délicieuses en compagnie de vos personnages tellement attachants, j'espère d'ailleurs les retrouver dans quelques années et voir ce qu'ils sont devenus...
Merci, Romain Duris d'être cet acteur/danseur toujours si surprenant et merci, Cécile De France, d'être si hilarante dans ce rôle de super-lesbienne qui, décidément, vous va comme un gant...Et La Tautou en super-chieuse, etc...
Et tous les autres comédiens, formidables pour le plaisir que vous m'avez donné !

Excellent film. Ce n'est pas toujours evident de faire un deuxieme volet d'un film reussi. Mais la c'est aussi reussi que l'auberge espagnole. Bravo.

Film pas mauvais en soi, les tribulations amoureuses (d'une tête-à-claques certes..., pourquoi pas.......
Sauf que je m'estime "trompé sur la marchandise". La bande annonce en a fait une suite logique de l'Auberge Espagnole (que j'ai adoré) en reprenant ce que j'avais aimé ds ce dernier : ce fameux groupe hétéroclyte et ses aventures.. Hors le seul et unique sujet de ce film est: XAVIER et c'est TOUT. Ts les autres personnages ne st là que pr servir ce dernier, rajoutons à ça des clins d'oeil à la fameuse "bande espagnole"... Bref je suis mitigé et me suis un peu ennuyé.... Mais bon, pas désagréable à regarder tt de même.

J'ai été captivé par ce film du début à la fin. Emouvant, drôle et dépeignant
avec justesse les rapports amoureux de la jeunesse actuelle. Je l'ai trouvé
meilleur que l'Auberge Espagnole, réalisé avec plus de maturité et plus abouti.
On en redemande!

Mauvais dans l'ensemble, mais excelllent par moments. Comme bien souvent avec Klapisch, on retrouve toujours les mêmes défauts : trop de personnages, absence de scénario au profit d'une multitude de scènes dont une ou deux seulement retiennent l'attention (le début de la relation entre Neus et Xavier, Xavier qui suit et danse derrière la femme idéale dans la rue idéale), et une certaine tendance à ne parler que de soi ... Ainsi, les "Poupées russes" se résume une succession d'un nombre incalculable d'histoire d'amours sans le moindre fil conducteur.

Complètement surfait, ce film n'a pas le charme de "L'auberge espagnole". Il s'agit seulement des pérégrinations sentimentales de Romain Duris, qui se rend compte que c'est très compliqué l'amour... Le texte est parfois bon mais ça ne va pas plus loin.

La suite du "cultissime" Auberge espagnole, avec ses mêmes acteurs tantôts bons, tantôts mauvais, et son histoire assez bizzare...bien aucun changement mais un film juste sympathique!

Une suite plus amère mais toujours aussi joyeusement bordélique et pleine d'humour et de tendresse avec ses personnages, plus axée aussi sur les amours du héros incarné à merveille par Romain Duris.

Après l'Auberge espagnole, Klapisch nous ressert les états d'âmes de son personnage fétiche, Xavier (incarné par le prétentieux Romain Duris), le gentil parigot de service, qui cette fois nous fait sa crise de la trentaine, avec ses choix de vie compliqués, ses conquêtes, ses emmerdes de boulot...
Un énième film pompeux sur les trentenaires bobos qui se posent des questions existentialistes. A fuir.

Je gardais un très bon souvenir de l'Auberge Espagnole et j'attendais le meilleur de ces Poupées Russes. C'est bien par moments, mais ce n'est pas totalement convaincant. Il y a trop de temps morts, c'est un peu gentillet, et ça tourne pas mal en rond. Pour illustration, les allers-retours multiples du héros entre la France et Londres. On a l'impression que c'est là pour combler du vide. Dommage, parce qu'il y a encore quelques très bonnes scènes pleines de fraicheur et d'imagination.

Pseudo-brachouille, cette suite de la déja poussive "Auberge Espagnole" ne possède ni la fraîcheur (relative) de son modèle ni l'effet de surprise. Ce n'est finalement qu'un film de plus sur la crise de la trentaine, prétentieusement filmé par Klapisch qui se prend pour Sautet. Du calme...

J'avais tellement aimé l'Auberge Espagnole que j'avoue avoir eu peur d'être déçue par cette suite... Et en fait... ce fût tout le contraire ! J'ai encore plus apprécié Les Poupées Russes ! D'ailleurs, c'est dans cette suite que je suis tombée sous le charme de Kelly Reilly, une femme magnifique qui me paraissait pourtant insignifiante dans le premier film... C'est fou ce que peut faire une coupe de cheveux ! Bref, un film encore plus magnifique que le précédent !!!!

la suite de l'Auberge Espagnole. Dans ce second volet on s'interesse beaucoup plus aux histoires d'amour tumultueuse et douteuse de Xavier (Romain Duris). 2h de film extra, on sourit, on est ému, on rêve aussi de ce "pour la vie". On est bien pendant 2h. Très bon film!