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mx13
242 abonnés
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4,0
Publiée le 18 septembre 2024
Très beaux dialogues, très belle histoire, très belles interprétations, très belles séquences, très beau scénario, tout m'a plu dans ce classique (plus ou moins) franco, anglo, russe de Klapisch. C'était vraiment à voir au moins une fois. Le parcours amoureux de Romain Duris ne réserve pas de surprises, de grosses émotions ou de sensations fortes mais captive les spectateurs par la diversité de ses histoires passionantes. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 4/5
Sincérement, un énorme bol d'air frais dans ma vie. Toute personne situé entre les 18 et les 30 ans doivent voir ce film. "Les Poupées Russes" est une ligne de conduite vers "qu'est-ce que l'amour ?" et "qu'est-ce qu'aimer ?". On s'identifie parfaitement à Xavier grâce au jeu naturaliste et parfaitement crédible de Romain Duris. Le film m'a réconcilié avec l'acteur. Jusque là je le trouvé un peu hautain mais son intérprétation dans "Les Poupées Russes" m'a convaincu de la grandeur de l'acteur. D'ailleurs tout les acteurs sont géniaux dans le film ( surtout Duris, Tautou et Cécile de France ). On a vraiment à faire à une playade de futur grands acteurs. Je n'avais pas beaucoup aimé "L'Auberge espagnole" que j'avais trouvé trop psycho-branché, mais ces "Poupées Russes" m'ont énormément plus. En partie grâce à l'ésthétique visuelle et narrative ( les images et les relations qui s'emboitent comme des poupées russes ) mais aussi grâce au cheminement sur la réponse de l'amour. C'est la quête de Xavier vers l'amour véritable qui donne au film tout son charme et son attirance. L'utilisation de la musique est parfaite. Russe, anglaise, classique, etc... tout les genres de musiques y passent, donnant au film un côté hétéroclite. Car ce film en plus de traiter de l'amour continue de traiter la mutliplicité des nations, là où en était resté "L'Auberge...". En conclusion, le film est à voir grâce à la préstation de Romain Duris, à la patte bien spécifique de Klapisch qui fait là un de ses meilleurs films et grâce aussi au prémisse de la réponse sur "qu'est-ce qu'aimer ?". Un bien beau film sur l'amour jeune.
Xavier Rousseau entre dans la trentaine et par la même occasion dans un océan de grisaille amoureux. C'est bien ce qui le chagrine. Tout le monde ou presque autour de lui trouve l'amour et la récompense du bonheur à deux, lui patauge dans un célibat culpabilisateur. Après s'être affranchit du parcours étudiant que ses parents lui avait prédit, il essaie ici d'en faire tout autant avec les conventions sociales liées au couple. Le mariage et la paternité comme source de bonheur, il voit cela comme spectateur de la vie qu'il n'a pas, pas pour l'instant en tout cas. Cédric Klapisch continue sa lutte contre le conventionnel, et dépeint un désarroi et des moments de vie d'un trentenaire lambda avec brio. Sa mise en scène déconstruite permet de structurer le récit de façon ludique. Il casse l'idéalisme et promeut la complexité. Wendy était pourtant dans le coup depuis le premier regard échangé dans la collocation barcelonaise, mais le temps a du passer et les aventures éphémères aussi, pour que l'histoire prenne enfin vie.
Au début, on retrouve avec plaisir Xavier avec son aspiration à devenir écrivain.Sauf que pour gagner sa vie, il fait le nègre ou écrit des scénarios de téléfilm romantique. En parallèle, il enchaîne les conquêtes féminines. Au fur et à mesure que le film avance, cela devient un peu exaspérant de voir ce trentenaire qui continue à butiner sans vraiment se soucier des femmes avec qui il partage un moment d'intimité. J'ai préféré le premier opus, l'auberge espagnole, plus léger et varié. .
cedric kaplish nous pose ses doutes existentiel a travers son personnage de romain duris 5 ans apres l'auberge espagnole.on le suit, dans ses conquêtes ( professionnelles et amoureuses ), et dans ses doutes et ses choix. il n'y a pas vraiment d'histoire comme la plupart des films car les poupées russes se vzut réaliste et parle de la vie. il n'y a pas véritablement de fin mais le personnage principal est intéressant de réalisme. tantôt attachant, tantôt agaçant. ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais le film a au moins cette honnêteté de parler des problèmes existentialistes de cette génération de trentenaire dans notre société.
Une très bonne suite de "L'auberge espagnole", où on retrouve le mêmegenre de réalisation virevoltante, et la plupart des protagonistes du premier, même si la plupart des anciens colocataires de Xavier ne font que des apparitions. L'histoire ne tourne plus qu'autour de Xavier, ce qui est un poeu dommage et ne donne donc plus cet effet chorale, qui était vraiment des plus rafraîchissant. L'histoire est très agréable à suivre et l'on ne s'ennuie pas,ce qui est le principal. Ce deuxième volet me donne envie de voir le troisème.
D'habitude je n'aime pas les comédies romantiques là c'est vraiment pas mal du tout.
Avec des thématiques universelles comme passer à l'âge adulte, l'amour, le désir, la réussite, le mensonge Les poupées russes s'en sort avec brio il faut le dire !
L'humour est efficace, les acteurs excellents, la réalisation superbe...
La suite est moins réussie que le premier. La réalisation reprend les effets de L'auberge espagnole, mais en l'accentuant : cela alourdit le propos et le rend plus confus. C'est surtout vrai au début quand les images s'entrechoquent dans un kaléidoscope qui rend le film déplaisant à regarder. On a alors du mal à s'intéresser aux personnages, et aux histoires navrantes qui leur arrivent. Trop de scènes inutiles, d'historiettes et de portraits tout juste esquissés dans la première partie du film en font un patchwork superficiel dont l'immoralité rivalise avec l'égotisme du personnage joué par Romain Duris. Franchement, on a du mal à partager la conception très "prise de tête" de l'amour qui tourmente notre jeune trentenaire : pas très adulte tout ça. Le scénario semble hésiter pour finir par trouver son rythme dans la seconde partie : l'entrée en scène de Kelly Reilly et la partie russe. Romain Duris , Kelly Reilly(sublime et mimi comme tout ) et Cecile de France (génial son numéro en robe à fleur et sac à main)sont d'excellents acteurs qui donnent à ce film tout son attrait . Dommage que l'histoire ne soit pas tout à fait à la hauteur de ces acteurs.
On retrouve avec plaisir Romain Duris et certains protagonistes dans cette suite de l’Auberge Espagnole. 5 ans se sont écoulés et les voila de vieux célibataires un peu pommés. C’est toujours aussi bon : Les dialogues et certaines scènes qu’on a tous vécu sont fendards (et d’autres tristounettes !). Bref, 4 étoiles aussi pour cette suite plus sentimentale que le premier mais avec les mêmes qualités.
Moins bon que l'auberge espagnole, mais cette fois je n'ai rien à reprocher sur la réalisation parfois trop TVfilm lorsque Klapish voulait expérimenter (surtout chez le neurologue). Mais ici, rien que le fait que ce film existe il nuit à la fin fin de l'auberge espagnole que je trouvais très belle… Mais on a un certain plaisir à retrouver les personnages, même si beaucoup passent à la trappe. On ne s'ennuie pas, c'est très sympa, mais ça manque d'une touche de sincérité, sincérité qu'il y avait dans le premier volet…
Trois ans après "L'auberge espagnole", Cédric Klapisch retrouve Xavier, devenu écrivain mais toujours en proie à ses doutes, notamment et surtout par rapport aux femmes et à l'amour. De Londres à Paris en passant par Saint-Pétersbourg, Xavier en découvre un peu plus sur lui-même et apprend à arrêter de rêver ce qui n'est pas une chose facile. Si c'est un plaisir de revoir Xavier avec sa maladresse et ses soucis (grâce à Romain Duris qui l'interprète avec une certaine candeur qui fait plaisir à voir), ce deuxième opus est plus lent et moins rythmé que le précédent ce qui le rend tout de même un peu moins agréable à voir. Le scénario parle très bien des choses de la vie sans trop tomber dans le cliché mais la mise en scène souffre toujours d'une photographie relativement laide. Mais Klapisch, loin de s'intéresser à l'image se concentre plus sur ses personnages et réussit de très bonnes scènes.
Quasiment tous les personnages de L’auberge espagnol, au moins ceux auxquels on s’était le plus attachés, se retrouve dans cette comédie romantique se situant cinq ans après leur cohabitation à Barcelone. Avec un scénario moins convenu et une mise en scène plus fantaisiste que le premier épisode, cette suite trouve, dans sa première moitié, un nouveau souffle romanesque des plus rafraichissants. Après ça, tout s’effondre, le rythme devient mou, en particulier lorsque le marivaudage londonien commence à s’étirer dans de longs dialogues sans panache. C’est à croire que Cédric Klapisch semble décidemment bien moins inspiré et audacieux dès lors que sa caméra quitte le sol français. Dans la peau de Xavier, Romain Duris reste extrêmement convaincant, au point qu’il en devient difficilement envisageable qu’il retrouve un jour un rôle qui lui aille aussi bien.
Un 2e opus un peu triste et palichon. Beaucoup de bavardages , des personnages pas très bien cadrés. Le personnage de Duris ne sait vraiment plus ce qu'il veut , c'est un peu "too much" . Même le personnage de Cécile de France est un peu caricatural, trop "lesbienne sauvage" , peu crédible. C'est souvent très long , avec du verbiage inutile qui n'apporte rien . On a complétement perdu la fraîcheur de Barcelone .Poussif.