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Un visiteur
0,5
Publiée le 2 mai 2007
Un film complètement naze, une daube infame à eviter de toute urgence. On ne rigole jamais, les personnages sont affligeants de nullité, le scénario est bidon ... Bref, si vous cherchez un VRAI film, evitez de regarder cette "chose".
Total ratage. mal écrit, mal réalisé. En supposant que le personnage de Duris soit le double de Klapisch, celui-ci aurait gagné à le faire davantage coller à sa situation personnelle, c'est à dire le retrouver à la trentaine dans une situation confortable et voir ce qu'on y gagne, ce qu'on y perd...Au lieu de ca, c'est complaisant, les personnages sont sans profondeurs, faussement graves. Et la musique de parachever le naufrage.
Avec cette suite, le doute n’est plus permis. Klapisch s’égare définitivement dans son art de caricaturer et de grossir les traits. Surtout, ce film accumule tout les handicaps qui oeuvrait déjà depuis quelques temps : des scènes trop longues et un montage complaisant ; l’omniprésence du blabla à la place des sentiments ; trop plein de personnage… Surtout, les bons sentiments sont livrés avec complaisance et sans aucune pudeur. On est surtout gêné et agacé par le message du film, de la victoire de l’individualisme nombriliste au mode de vie nihiliste et détestable. Outre que Klapisch nous offre des téléfilm à l’eau de rose, il se complait dans une apologie d’un certain mode de vie boboïde qui érige son absence de réflexion en porte drapeau. Klapisch touche ici le fond et l’on peut n’avoir que des doutes sur la suite de sa carrière.
Et la catastrophe se poursuivie. Je rie beaucoup car ce film aura réalisé la synthèse des jeunes intellos cultivés fashionable et du junkie pronant un humanisme de tolérance. Klapish prétend nous exposé le mélange de l'idéologie jeune du mal-être et de la sympathie mutuelle avec la théorie des sentiments humains. Il ne fait que montrer la réalité avec une platitude facile qui passe comme une lettre à la poste qui parvient mêm à me faire sourire. Duris continue dans son horripilante incarnation du jeune "désirable et mélancolique". Une véritable tyrannie de la majorité (j'ai 18 ans et ne suit ni coincé ni rabajoie, j'aime juste l'art) s'exerce à propos des poupées russe et de son horrible antécédant. Et comme son antécédant le vide du plein s'exerce en bonne marche. Le titre voulant suggérer l'empilement de l'être face à ses amours poubelles est le seul atout d'un film qui devient insupportable de facilités scénaristiques très rapidement. Le concept est bon la réalisation et catastophique. La musique aurait pu jouer un rôle intéressant mais elle est limitée à un rôle purement technique et de mise en ambiance. C'est comme si la crise de la jeunesse était une série de désirs sexuels et de problèmes financiers qui fonderait alors un mouvement de sympathie mutuelle dans un complexe existenciel. De là il tombe dans l'arrogance en filmant des scènes répétitives, vides de tout propos artistiques, remplssage d'un message profond par un océan de préjugés et de facilités intellectuelles. L'interrogation perd alors son sens en se banalisant vidée de sa substance. Klapish ne sera jamais un grand réalisateur, juste la carricature d'un cinéma fashionable et sympathique qui plaira sûrement à certains réalisateurs simplificateurs et avident de procédés vident de beauté et de vision créatice.
Pfff... Ça donne le ton, cash, avec un générique façon sitcom française composite qui veut se la péter et ça continu, tambour branlant, par un ""film(?)"" assorti à ce début minable (au moins y'a pas tromperie sur la marchandise). C'est foutraque et dénué du moindre intérêt avec comme message mis en exergue: "C'est de la merde et j'ai pas honte". Vide, chiant, clipesque et convenu comme un épisode de plus belle la vie mélangé, façon "portnawak sous cocaïne", avec un épisode des feux de l'amour et de sex and the city (à moins que ce ne soit Joséphine ange gardien?). A la poubelle les poupées russes... c'est pas un film ce truc, c'est une grosse mouscaille, même pas digne de passer à la télé.
Ni meilleur ni plus mauvais que l'Auberge espagnole Le plus difficile reste à s'intéresser à la suite des tergiversations sentimentales du personnage principal tant tout cela est vain.
Pourquoi Klapisch a-t-il donc fait une suite à sa déjà méprisable Auberge Espagnole? L'idée était stupide et mal lui en a pris de réitéré son coup. Le film est toujours aussi nauséabond dans sa façon d'idéaliser ce que Mai 68 à créé de plus ideux. A savoir une jeunesse gangrenée par la beaufitude, qui parle d'amitié et d'amour sans en connaître la véritable signification - ici, on remplace les sentiments et la passion par un simulacre de discours sur l'amour, d'une banalité affligeante. Duris qui se pose en insupportable philosophe donneur de leçon, alors qu'il n'est que le reflet d'une connerie collective - , une jeunesse qui vit dans la crasse et se complait de sa débauche, un libertinage de pacotille, faussement intellectuel...Bref, ce film contient suffisamment d'immondices spirituelles, de réflexion fainéantes aussi profondes que l'anus de Mère Thérésa, pour vous soutirez un bon litre de vomi avant la fin du massacre. Ormis cela, on regrette avec amertume que Klapisch n'ait pas réussi à se débarrasser de ces tics maladroits de réalisateurs à la noix. Le bonhomme s'obstine avec ces petits effets cache-misères n'apportant strictement rien au récit, si ce n'est de masquer l'incapacité de son réalisateur à rythmer son film. Dommage de voir un tel casting se ridiculiser de la sorte, être aussi mal exploité. La moitié des acteurs que l'on trouvait dans l'Auberge espagnole ne doivent leur brève apparition qu'à une seule raison. Ils apportent la touche de la bien-pensance dégoulinante nécessaire pour clore un pareil amas de platitude. Bref une bouse presque pire que son prédécesseur. Non mais franchement...voir Duris se la jouer génie incompris avec ses "c'est chiant l'amour! Rien ne marche jamais. Il faut toujours que quelque chose aille de travers. Et blabla bla".
On fait difficilement plus racoleur, mais c'est bien l'apanage de Klapisch et de Duris, son acteur teenage movie préféré... La superficialité est portée aux nues, c'est cool, la vie consiste donc à être un tombeur, ou rien.
on continue de suivre la petite équipe de l'auberge espagnole qui doutent, essayent, réussissent ou non enfin qui vivent dans un monde que nous connaissons. PLV : comme d'habitude bande sonore adéquate
Film qu' il faut prendre le temps d'apprécier car durant le visionnage on peut être mitigé par rapport aux longueurs. Avec un peu de recul, il faut saluer la réalisation et surtout la construction lente mais maîtrisée de ce long-métrage qui creuse et questionne la question de l'amour et la tentation, l'engagement et la frivolité. En bref, c'est un film sur le désir et sa place dans une société normée.
Suite toujours aussi agréable, même style de réalisation que dans le premier volet. Les personnages sont encore plus développés, l'intrigue est plus axé sur les amours diverses et variés du personnage joué par Duris (de ce côté là on pense a certains films de Fellini ou Allen). Plusieurs scènes qui sont très inspirées.