Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
France Soir
par Richard Gianorio
Le film, léger, dynamique et plein de fantaisie, fragmenté et ludique, constitue un divertissement estival emballant.
Rolling Stone
par Mathilde Lorit
L'émotion est au rendez-vous, la bande originale aussi, et l'on se dit que Klapisch n'est jamais aussi bon que quand il parle de ce qui le touche. Coup de coeur au duo formé par Romain Duris et Kelly Reilly.
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Au fil d'un scénario puzzle, tous les acteurs sont mis en lumière par une mise en scène constamment inspirée, des dialogues affûtés, un humour exquis. Conteur de talent, Klapisch se joue des clichés et cisèle, au coeur de cette savoureuse chronique générationnelle inscrite dans l'air du temps, un petit bijou de comédie romantique.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Tout sonne incroyablement juste dans ce film tant il est traversé par un voile de mélancolie subtil (...) Donc suite très réussie d'un film de potes ? Oui, assurément, mais qui ne rime pas avec lourd opportunisme et qui ne cherche pas à cligner ostensiblement à l'oeil du spectateur. L'ambition de Klapisch est plus noble, celle de faire du cinéma fédérateur et universel qui donne envie de danser la grande farandole de la vie.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Il y a là, souvent, beaucoup d'invention, pas mal de malice, de l'humour et une tendance plaisante au coq-à-l'âne, il y a surtout une grande liberté de manière et de ton. Cette liberté a son prix, que le film paie par sa longueur excessive, la plupart des scènes seraient plus fortes, plus drôles, plus vives si plus courtes, l'ensemble aurait pu sans doute être amélioré grandement par un montage plus serré, moins complaisant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Emmanuelle Frois
Klapisch retrouve ses thèmes de prédilection : la place de l'individu dans le monde d'aujourd'hui, la recherche de l'amour et le sentiment du temps qui passe. Il excelle ici, surtout, dans le romanesque, avec un accent légèrement mélancolique et beaucoup d'émotion.
Libération
par Bayon
Mariolle et inspiré, sur l'assez juste milieu du boulevard et du marivaudage, entre Scapin et Watteau, les Poupées russes est un bon divertissement printanier, agréablement pipeau et décousu. Flanchant dans sa deuxième moitié, le film offre pour l'essentiel, spécialement son début, un meilleur du cinéma bonne franquette. Meilleur filmage (quoi que pense l'élite de ce genre filmosociologique facile), bon esprit, et meilleur acteur.
Ouest France
Cédric Klapisch se promène dans cet arc-en-ciel d'atmosphères avec la liberté et l'efficacité que lui donne une mise en scène inventive. Il se fait plaisir à multiplier les trouvailles et les effets, et si ses manies ralentissent parfois inutilement le rythme de son récit, elles apportent toujours du cachet à une comédie attachante.
Paris Match
par Christine Haas
Le rire nous tient, même si le questionnement de ces "adulescents" sur l'amour et le couple est parfois lesté de gravité. Plus complices que jamais, auteur et comédiens déploient un beau savoir-faire.
Positif
par Fabien Baumann
Cédric Klapisch ose surprendre le public qui avait si plaisamment ri à l'Auberge espagnole. (...) Cette énergie dispersante donne aussi son étonnant dynamisme au film.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par X.L.
Le ton est toujours à la rigolade mais il est n'est pas rare que celle-ci se double d'une certaine mélancolie. De Londres à St-Pétersbourg, il dessine une carte du tendre moderne où, en dépit de quelques clichés, les espoirs et les doutes des trentenaires d'aujourd'hui se reflètent avec justesse.
Télérama
par Frédéric Strauss
Klapisch ne change pas. Il retrouve l'élan intact de L'Auberge espagnole, sa meilleure veine, et réussit à faire de ces Poupées russes mieux qu'une suite, au strict sens commercial : une poursuite. A l'image de Xavier, il donne même l'impression de rejeter le professionnalisme pour le plaisir de rester amateur : sa caméra semble ici se balader et improviser au gré de ses humeurs. D'où le côté bordélique charmant de ce film qui suit son héros, qui lui-même suit son coeur, ses pulsions de dragueur et, parfois, cherche simplement un lit pour dormir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Yasmine Youssi
Malgré quelques longueurs et une accumulation de personnages et de situations, le réalisateur réussit une suite intelligente, plus profonde qu'il n'y paraît.
Brazil
par Alex Masson
Il sera difficile de faire le coup du "film de la maturité" avec Les Poupées russes, souvent nunuche dans son propos. (...) Toto, 30 ans, rien que du malheur. Ca colle assez avec un film foncièrement plaisant, mais qui laisse entrevoir un péril vieux dans les horizons du cinéma de Klapisch.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Elle
par Elisabeth Quin
C'est en tout cas le gentil feuilleton de l'été. (...) Plus inventif dans la mise en scène, toujours aussi générationnel. Cette génération vue par Klapisch est-elle passionnante ? A vous de voir.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Autant dire qu'on n'a toujours pas quitté l'univers de la post-adolescence, dans l'éternité bénie de laquelle Cédric Klapisch, sous couvert de vraisemblance sociologique, trouve l'essentiel des quelques vieux ressorts typologiques, psychologiques et dramatiques qui caractérisent son film. (...) La scène finale constituera l'apothéose attendue de cette comédie euro-sentimentale, dont il est loisible de refuser, sous ses oripeaux de modernité, le modèle rassis qu'elle propose de l'union.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Dans ce joyeux foutoir, tout est savamment pensé. Mais comme un film choral qui n'aurait pas fini de grandir, Les Poupées russes pêche parfois par excès. Trop de revirements de situations, trop de bla-bla et surtout, trop de personnages pour que tous puissent vraiment exister. Difficile dans ces conditions pour Cécile de France et Audrey Tautou de dépasser le stade de la sympathique apparition.
Score
par Iris Steensma
(...) si le jeu haut de gamme ou la direction ne sont pas à remettre en cause, l'esthétique est vraiment le point faible. Les choix artistiques sont très discutables et in fine parasitent une histoire déjà un peu... un peu... gentille.
La critique complète est disponible sur le site Score
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
L'art de Klapisch, on le connaît, c'est celui d'un Soderbergh hexagonal : art qui roule n'amassant nulle mousse, roublardement heureux de son vide. Sympa. Et pourtant il vous abandonne avec sur les bras une question non dénuée de force : ai-je une vie ?
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Trois ans après le carton de L'Auberge espagnole, Klapisch donne une suite aux aventures sentimentales de Xavier, tout aussi convenue et encore plus roublarde. (...) Tout un art de l'emboîtement, qui nécessite bien une indéniable habileté, mais dont la vacuité donne le vertige.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
France Soir
Le film, léger, dynamique et plein de fantaisie, fragmenté et ludique, constitue un divertissement estival emballant.
Rolling Stone
L'émotion est au rendez-vous, la bande originale aussi, et l'on se dit que Klapisch n'est jamais aussi bon que quand il parle de ce qui le touche. Coup de coeur au duo formé par Romain Duris et Kelly Reilly.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Au fil d'un scénario puzzle, tous les acteurs sont mis en lumière par une mise en scène constamment inspirée, des dialogues affûtés, un humour exquis. Conteur de talent, Klapisch se joue des clichés et cisèle, au coeur de cette savoureuse chronique générationnelle inscrite dans l'air du temps, un petit bijou de comédie romantique.
aVoir-aLire.com
Tout sonne incroyablement juste dans ce film tant il est traversé par un voile de mélancolie subtil (...) Donc suite très réussie d'un film de potes ? Oui, assurément, mais qui ne rime pas avec lourd opportunisme et qui ne cherche pas à cligner ostensiblement à l'oeil du spectateur. L'ambition de Klapisch est plus noble, celle de faire du cinéma fédérateur et universel qui donne envie de danser la grande farandole de la vie.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Il y a là, souvent, beaucoup d'invention, pas mal de malice, de l'humour et une tendance plaisante au coq-à-l'âne, il y a surtout une grande liberté de manière et de ton. Cette liberté a son prix, que le film paie par sa longueur excessive, la plupart des scènes seraient plus fortes, plus drôles, plus vives si plus courtes, l'ensemble aurait pu sans doute être amélioré grandement par un montage plus serré, moins complaisant.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Klapisch retrouve ses thèmes de prédilection : la place de l'individu dans le monde d'aujourd'hui, la recherche de l'amour et le sentiment du temps qui passe. Il excelle ici, surtout, dans le romanesque, avec un accent légèrement mélancolique et beaucoup d'émotion.
Libération
Mariolle et inspiré, sur l'assez juste milieu du boulevard et du marivaudage, entre Scapin et Watteau, les Poupées russes est un bon divertissement printanier, agréablement pipeau et décousu. Flanchant dans sa deuxième moitié, le film offre pour l'essentiel, spécialement son début, un meilleur du cinéma bonne franquette. Meilleur filmage (quoi que pense l'élite de ce genre filmosociologique facile), bon esprit, et meilleur acteur.
Ouest France
Cédric Klapisch se promène dans cet arc-en-ciel d'atmosphères avec la liberté et l'efficacité que lui donne une mise en scène inventive. Il se fait plaisir à multiplier les trouvailles et les effets, et si ses manies ralentissent parfois inutilement le rythme de son récit, elles apportent toujours du cachet à une comédie attachante.
Paris Match
Le rire nous tient, même si le questionnement de ces "adulescents" sur l'amour et le couple est parfois lesté de gravité. Plus complices que jamais, auteur et comédiens déploient un beau savoir-faire.
Positif
Cédric Klapisch ose surprendre le public qui avait si plaisamment ri à l'Auberge espagnole. (...) Cette énergie dispersante donne aussi son étonnant dynamisme au film.
TéléCinéObs
Le ton est toujours à la rigolade mais il est n'est pas rare que celle-ci se double d'une certaine mélancolie. De Londres à St-Pétersbourg, il dessine une carte du tendre moderne où, en dépit de quelques clichés, les espoirs et les doutes des trentenaires d'aujourd'hui se reflètent avec justesse.
Télérama
Klapisch ne change pas. Il retrouve l'élan intact de L'Auberge espagnole, sa meilleure veine, et réussit à faire de ces Poupées russes mieux qu'une suite, au strict sens commercial : une poursuite. A l'image de Xavier, il donne même l'impression de rejeter le professionnalisme pour le plaisir de rester amateur : sa caméra semble ici se balader et improviser au gré de ses humeurs. D'où le côté bordélique charmant de ce film qui suit son héros, qui lui-même suit son coeur, ses pulsions de dragueur et, parfois, cherche simplement un lit pour dormir.
Zurban
Malgré quelques longueurs et une accumulation de personnages et de situations, le réalisateur réussit une suite intelligente, plus profonde qu'il n'y paraît.
Brazil
Il sera difficile de faire le coup du "film de la maturité" avec Les Poupées russes, souvent nunuche dans son propos. (...) Toto, 30 ans, rien que du malheur. Ca colle assez avec un film foncièrement plaisant, mais qui laisse entrevoir un péril vieux dans les horizons du cinéma de Klapisch.
Elle
C'est en tout cas le gentil feuilleton de l'été. (...) Plus inventif dans la mise en scène, toujours aussi générationnel. Cette génération vue par Klapisch est-elle passionnante ? A vous de voir.
Le Monde
Autant dire qu'on n'a toujours pas quitté l'univers de la post-adolescence, dans l'éternité bénie de laquelle Cédric Klapisch, sous couvert de vraisemblance sociologique, trouve l'essentiel des quelques vieux ressorts typologiques, psychologiques et dramatiques qui caractérisent son film. (...) La scène finale constituera l'apothéose attendue de cette comédie euro-sentimentale, dont il est loisible de refuser, sous ses oripeaux de modernité, le modèle rassis qu'elle propose de l'union.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Dans ce joyeux foutoir, tout est savamment pensé. Mais comme un film choral qui n'aurait pas fini de grandir, Les Poupées russes pêche parfois par excès. Trop de revirements de situations, trop de bla-bla et surtout, trop de personnages pour que tous puissent vraiment exister. Difficile dans ces conditions pour Cécile de France et Audrey Tautou de dépasser le stade de la sympathique apparition.
Score
(...) si le jeu haut de gamme ou la direction ne sont pas à remettre en cause, l'esthétique est vraiment le point faible. Les choix artistiques sont très discutables et in fine parasitent une histoire déjà un peu... un peu... gentille.
Cahiers du Cinéma
L'art de Klapisch, on le connaît, c'est celui d'un Soderbergh hexagonal : art qui roule n'amassant nulle mousse, roublardement heureux de son vide. Sympa. Et pourtant il vous abandonne avec sur les bras une question non dénuée de force : ai-je une vie ?
Les Inrockuptibles
Trois ans après le carton de L'Auberge espagnole, Klapisch donne une suite aux aventures sentimentales de Xavier, tout aussi convenue et encore plus roublarde. (...) Tout un art de l'emboîtement, qui nécessite bien une indéniable habileté, mais dont la vacuité donne le vertige.