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    A History of Violence
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    3,9
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    1 076 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 2 juin 2012
    Pas franchement terrible...
    Est-ce que j'aime les films avec de l'action ? Oui...
    Est-ce que j'aime les films où ça tire de partout ? Oui...
    Est-ce que j'aime les films à ambiance mafieuse ? Oui...
    Est-ce que j'aime les films avec des love stories ? Oui...

    Et pourtant, je n'aime pas ce film ! Mais alors pas du tout ! Viggo Mortensen est d'un mou !
    Je ne sais pas pourquoi, mais j'n'accroche pas !!!
    C'est un film qui, à mon goût, a été tout à fait surclassé et trop promu !

    Je ne peux lui mettre 0 étoiles, dans le sens où il est bien réalisé et que les acteurs sont bons... Et si je lui mets deux étoiles, c'est pour la seule scène justifiant le visionnage de tout le film : celle de l'escalier...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 26 juillet 2014
    Le spitch est alléchant : chaque homme a son passé, glorieux ou sanglant.
    Mais le réalisateur cède à la facilité, au lieu de construire un background riche, il se contente d'aligner à la chaîne des scènes d'actions, certes bien filmés mais d'un basique ! Il en découle que là où on aurait aimé être surpris, dépassé par un passé qu'on n'aurait pu imaginer; on se surprend a deviner les scènes futures.
    C'est dommage, il y avait du potentiel.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 mai 2012
    C'est le premier film de David Cronenberg que je look ! Et bien ! Je crois que je me suis pris d'affection pour le réalisateur canadien dès la première scène de ce film. En effet, A History of Violence est avant tout un thriller que j'admire car il est étonnamment contemplatif et subtil. Ce film explore le drame domestique tout autant qu'il se fonde sur l'action. On peut d'ailleurs le lire comme une critique de la société américaine, pour laquelle il va de soi qu'un individu a le droit de défendre sa famille, par la force s'il le faut. Mais, au delà de cette supposée critique, le film de David Cronenberg nous fascine aussi de par l'évolution de ses personnages dont les relations changent sans cesse. Nous assistons sans cesse et avec surprise à de nombreux rebondissements aussi intéressants les uns que les autres. Tout ça pour dire que le scénario de A History of Violence n'est pas à critiquer le moins du monde. Et c'est sans compter sur l'interprétation sans faille de Viggo Mortensen, Maria Bello et de bien d'autres acteurs. Entre autres, l’atmosphère ainsi que la mise en scène du film sont tous bonnement excellent ! Et que dire de la musique qui accompagne si bien l'ensemble ! De mon point de vue, A History of Violence est un film unique et d'une intelligence rare qui nous confronte sans cesse à nos propres réactions face à la violence. Chef d'oeuvre sans hésiter !
    Maxime M.
    Maxime M.

    46 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 mai 2012
    Il est difficile d'expliquer ce que l'on ressent lorsqu'on regarde "A History of violence" à part de la stupéfaction tant on est subjugué par les prises de vues du cinéaste David Cronenberg. On arrive à croire en Viggo Mortensen jusqu'au bout malgré ce que l'on comprend lors du film. Des scènes chocs mais une réalisation de maître pour un chef d'oeuvre contemporain. Il faudra très certainement un temps d'adaptation aux puristes pour se faire totalement à la réalisation de Cronenberg, certains pouvant être gênés par la violence des scènes, mais le film ne pourrait être sans cela. C'est une réalisation simple, efficace, et incroyablement réaliste.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 septembre 2012
    Ce névrosé psychotique de Cronenberg nous livre un film encore une fois à son image. La différence avec "History of Violence", c'est que Monsieur le marchand d'horreurs a enfin décidé d'ouvrir l'accessibilité de ses films à un très large public... Quelques frustré de "Crash" ou autres "Festin nu" seront certainement ravis puisque le réalisateur saura se rapprocher de la norme Hollywoodienne sans pour autant oublier les thèmes essentiels de son cinéma, comme son obsession pour les corps mutilés, l'approche des névroses secouant nos sociétés occidentales, les doubles personnalités, la psychanalyse freudienne dont il se fait disciple jungien et bien d'autres joyeusetés qui nous rend ce réalisateur si cher à nos cœurs...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 4 mai 2012
    C’est en prenant ses distances avec les repères peut-être trop rassurants (paradoxe avec leur nature hors normes) du cinéma fantastique qu’on lui connaît, que David Cronenberg redonne à des thèmes récurrents – l’identité humaine, son immuabilité discutable... – une vigueur et une pertinence renouvelées. Le regard du cinéaste sur la violence, sa faculté de filmer le changement sur un visage ou un corps, injectent dans une banale intrigue de thriller de série B une forte dose de trouble et de questionnements qui font d’ " A History of Violence " un film à la déviance salutaire.
    Ce qui interpelle dans le film, ce sont tout autant les accès de violence qui perturbent le tranquille tableau initial que le processus imperceptible qui les amène : les deux aspects s’avèrent également effrayants. Comme souvent chez Cronenberg, c’est une violence sèche qui flirte parfois avec le grotesque dans ce qu’elle fait subir à l’intégrité physique de ses sujets : qu’on pense à " Scanners " et cette tête qui explose comme une citrouille, excepté qu’ici les sévices faits à la chair restent d’un glaçant réalisme. La complaisance risquée à chaque scène n’a pas le loisir de s’installer, toute tentation d’en jouir ou même d’en sourire complaisamment reste figée dans la gorge du spectateur. Ces scènes dévoilent pour le coup une sensibilité inattendue, car ce sont de rares occasions, dans le cinéma récent, où la violence est représentée au plus près de sa douloureuse réalité, sans qu’on cherche à en atténuer ou à en outrer l’impact. Mais c’est surtout le contexte où elle éclate qui génère le trouble et alimente la réflexion du cinéaste sur la nature humaine : le fait qu’un même personnage passe en cinq secondes, sans transition ni signe avant-coureur évident, d’une relative inertie à une puissance physique meurtrière, avant de reprendre sa position initiale. La sobriété de la mise en scène de ces changements d’état, qui ne ressent pas le besoin de les annoncer ou d’en justifier l’ampleur, amène de façon naturelle le doute sur la nature du héros et de la force qui l’habite : capable de caresser d’une main et de broyer de l’autre, quel genre d’homme est-ce là ? Ce n’est pas le moindre des mérites de Cronenberg que d’avoir fait de cette idée même – l’appartenance au genre humain de cette dualité de comportement – une matière de cinéma.

    C’est avec la même maîtrise mesurée que le cinéaste nous attache au cheminement de ce personnage à l’identité incertaine et aux contours de moins en moins discernables, corps en marche dont on ne suit finalement rien d’autre que la mutation vers un résultat indéfinissable que la dernière scène ne suffira pas à éclaircir. Car les deux apparences qu’il présente ne cohabitent pas paisiblement. Elle sont d’abord soumises à la diversité de leurs origines possibles qu’on évoque, flirtant parfois avec le fantastique : vie secrète ? dédoublement de personnalité ? substitution ? Surtout, au fil de la quête du héros pour sauver à la fois sa famille et son identité – quelle qu’elle puisse être –, la dichotomie entre ses deux personnalités devient moins en moins évidente, chacun de ses agissements, aussi mesuré soit-il, étant désormais entaché d’ambiguïté. Au point qu’au moment de la résolution de ce conflit, on ne sait trop qui, du paisible citoyen ou du tueur glacial, est assis dans ce fauteuil, le visage empreint d’une neutralité menaçante. À propos de visage, il faut dire un mot sur l’apport de celui qui se révèle ici un précieux complice du metteur en scène : Viggo Mortensen. Cet acteur, dont le physique évoque un charme rugueux entamé par un traumatisme profond, a toujours été plus à l’aise dans les rôles de personnages en marge, dans le cinéma indépendant ou les blockbusters (Witness, The Indian Runner) que dans la raide solennité où certains, comme Peter Jackson, ont tenté récemment de le mouler. Il est ici parfait, prêtant son jeu discret et son visage anguleux à une remarquable double interprétation de l’apaisement policé et de la brutalité la plus froide, composant une nouvelle occurrence du héros cronenbergien déchiré entre normalité fuyante et aberration fascinante.
    FaRem
    FaRem

    8 613 abonnés 9 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 avril 2012
    Ce film est vraiment pas mal surtout la 1ere moitié du film car la seconde partie est je trouve assez ennuyeuse. Le scénario est simple mais efficace. Viggo Mortensen est vraiment excellent.
    rooky
    rooky

    44 abonnés 519 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 avril 2012
    Mais qu'est ce qu'on lui trouve à ce film ?! Un scénario digne des pires navets de JCVD, une mise en scène certes soignée mais plombante et une intrigue absente ! à part une scène de cul d'anthologie entre Viggo et Maria, qui illustre bien le titre, pas grand chose de transcendant !
    Une belle perte de temps !
    à oublier !!!
    TheWaaalkingDead
    TheWaaalkingDead

    75 abonnés 980 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 décembre 2013
    Adapté d'une bande dessinée, le film n'en reprend au final que la trame, un homme fait table rase de son passé, reconstruit une vie loin de ses origines. Alors que tout semble aller, un évènement va précipiter le retour de ses dé suite, Cronenberg se la réapproprie pour placer ses thèmes de la schizophrénie, de la transmission héréditaire de la violence avec un personnage central qui n'a strictement rien à voir dans le film et la BD. Le film lui donne une dimension bestiale, à travers sa violence, ses mensonges et sa sexualité.Mortensen est brillant, nous faisant douter jusqu'au bout, Ed Harris est effrayant avec son visage scarifié.
    J-c T.
    J-c T.

    34 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 août 2013
    Un thriller noir, violent basé sur un graphic novel servi par un casting 4 étoiles dirigés par le ténébreux David Cronenberg
    7eme critique
    7eme critique

    529 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2013
    Un de mes préférés de Cronenberg. "A history of violence" est un thriller palpitant qui nous fige au fauteuil pour savourer chaque évolution de cette histoire. Viggo Mortensen et Ed Harris sont au top, la réalisation et le scénario sont entraînants, au point de semer le doute dans notre tête au sujet de cet homme mystérieux. Du Cronenberg parfaitement maîtrisé qui restera dans les bons souvenirs du thriller.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 novembre 2012
    Excellent film, certainement le meilleur cronenberg (le plus grand public aussi). Aragorn et ed Harris sont au top et le film monte bien petit a petit. Aurait bien mériter une récompense a cannes. culte!!!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 avril 2012
    Un chef d’œuvre remarquable ! Une efficacité sobre et simple, un scénario béton qui identifie de façon presque sadique le spectateur à la famille principale. Une juxtaposition de symboles philosophique sur la condition humaine et les relations entre les hommes. Un suspens haletant qui ne cherche pas à surenchérir. Viggo Mortensen : superbement magistrale. Mais William Hurt ne méritait peut être pas une nomination aux oscars pour à peine 10 minutes d'apparition. Mais vraiment, un chef d’œuvre, un film incontournable.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 avril 2012
    Au top. On voit la patte du réalisateur : Une situation de départ très banale, une famille stéréotypée, une mère sexy, un bon père de famille, un fils qui fait du base-ball, une petite fille blonde toute mimi qui fait des cauchemars mais ne sert à rien, tout ça dans un petit village pittoresque du fin fond de la cambrousse américaine. Et petit à petit, le voile tombe, les gens, et surtout Mortensen dans le rôle clé, montrent petit à petit qu'ils ne sont pas ce qu'ils essayaient de faire croire qu'ils étaient. Et ça c'est Cronenberg, un "illusioniste morbide". Très fidèle à lui même dans ce film. J'adhère et je conseille.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 mars 2012
    On m'avait conseillé ce film, mais j'éprouvais quelque réticence, étant sensible au gore et à la violence.
    Rien de trop méchant cependant dans A history of violence, une voire deux scènes un peu trash, mais parfaitement supportables.
    Le film ne plaira pas aux amateurs d'action et de sensations fortes ; c'est un long-métrage au fond simple, peu prétentieux, servi par d'excellents acteurs et surtout une réflexion passionnante.
    spoiler: Tout au long du film, la question de savoir si Tom est ou n'est pas Joey maintient le suspense et la réponse nous déroute, tout en permettant de poser les questions essentielles. Peut-on réellement changer même en y mettant des années ? Tom est-il skyzophrène ou réussira-t-il à ensevelir définitivement Joey ? La violence est-elle héréditaire ? Peut-on aimer quelqu'un jusqu'au bout et l'accepter avec sa folie ? Jusqu'où iraient les gens pour ne pas changer leur quotidien et continuer leur vie coûte que coûte en fermant les yeux ?

    Il est dommage de ne pas pouvoir vanter les mérites du film sans en révéler l'essence, mais vraiment regardez-le, il donne à réfléchir, et la fin est vraiment saisissante.
    A ne pas rater.
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