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(...) impressionante maestria du film (...) Tout ici (...) est diaboliquement parfait, vérouillé, échoué sur les bords d'une démonstration si calibrée qu'on en vient à hésiter au final sur sa matière.
Rares sont les films qui atteignent un point de perfection aussi éclatant que celui du dernier Cronenberg. A History of violence advient, comme toujours avec le maître canadien, à la fois comme une surprise et une confirmation.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(critique cannoise) Etat des lieux traité davantage comme une ballade perverse où l'ironie compte autant, voire davantage que la teinte du thriller, plus attendue. Performance d'autant plus forte que le film conserve une rigueur absolue dans sa structure et sa mise en forme, très apaisées et classiques (...) Grand film.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) Maîtrise de l'écriture, sûreté du jugement : c'est la grande forme. Et ce film qui s'ouvrait sur une tranquillité dont on n'allait pas tarder à savoir qu'elle n'était qu'un leurre...
"A History of Violence" est un chef-d'oeuvre méconnu par le jury du Festival de Cannes, mais qui n'en élève pas moins Cronenberg à une hauteur que peu de ses confrères parviennent à atteindre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(critique cannoise) (...) un style classique d'une élégance rare (...) Film de commande, film hollywoodien, A History of Violence est aussi l'une des oeuvres les plus ambitieuses de son auteur, et une des plus belles de toute sa carrière.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
David Cronenberg frappe fort. On est ébloui par la performance de Viggo Mortensen et celle de William Hurt, ahurissant dans une scène clé qui fera date.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
"a History of violence" est donc un éblouissant exercice de relecture critique du cinéma américain, d'autant plus retors et subversif que sa facture paraît linéaire et classique.
Cronenberg réinvestit à neuf le champ de ces questions testant chez le spectateur sa capacité à se laisser surprendre par la vitesse du récit et des permutations qu'il autorise. Un film bourré de scènes stupéfiantes qui redonnent force et pertinence aux capacités d'investigation philosophique de la pure fiction.
Formidablement servi par des interprètes engagés sans retenue avec leurs personnages stéréotypés (...) [Cronenberg] joue avec des idées et des schémas pour secouer le confort de nos certitudes sur les notions de bien et de mal. Le piment de la provocation active un polar de belle facture classique.
Réunissant tous les ingrédients d'un thriller classique, le film doit beaucoup aux comédiens qui apportent charisme, intensité et parfois même un humour délirant (...) à leur personnage. Il confirme le talent atypique d'un maître de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'homme jout-il autant lorsqu'il tue que lorsqu'il baise ? Et le spectateur prend-il du plaisir à le voir faire ? Dans ce dernier cas, la réponse est oui. Sans remords ni culpabilité.
La critique complète est disponible sur le site Première
(critique cannoise)(...) Cronenberg livre un film d'une insolence réjouissante. Le récit est direct, mais le scénariste John Olson ne cesse de multiplier les fausses pistes et injecte une bonne dose d'humour très raffiné à cette violente histoire.
(...) un remarquable Cronenberg. Remarquable, cela veut dire intelligent, complexe et maîtrisé, comme on peut s'y attendre de la part du cinéaste de Toronto, mais aussi méchamment accrocheur de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) on pensait que Cronenberg avait libré son chef-d'oeuvre. Mais "a History of violence" dejoue ces prévisions avec une maestria d'autant plus bluffante qu'elle s'avance masquée derrière un apparent classicisme.
(...) un uppercut quasiment parfait et méchamment heureux : audacieux, hilarant, inquiétant, triste, singulier, fiévreux. Il importe d'aller le voir à répétition pour savourer toutes les subtilités de cet objet ténébreux mais, en l'état, une première lecture suffit pour se rendre compte à quel point ce nouveau Cronenberg est immense et sublime.
(critique cannoise) (...) Viggo Mortensen ne laisse pas d'impressionner par la manière dont, sans que rien ne le laisse prévoir, il abandonne le lissé de son personnage au profit d'une sauvagerie ressurgissant des tréfonds de soi, par le seul jeu du regard.
(critique cannoise) (...) la grande habileté du film repose d'abord sur ce va-et-vient entre le récit circonstanciel d'une famille américaine moyenne brutalement soumise à l'épreuve de la violence et le récit presque mythologique, primitif, jalonné de balises connues (...)
(critique cannoise) Dès la scène d'ouverture (...) le projet de David Cronenberg devient évident : démonter les clichés de l'american way of life en utilisant lui-même des clichés. Procédé dangereux, certes dont il se sort avec sa maestria coutumière.
(critique cannoise) De mémoire de cinéphile, jamais on n'aura autant ri devant un film de Cronenberg (...) Porté par un casting label rouge irréprochable, le film divertit aussi efficacement qu'élégamment. Les fans seront certes déroutés. Mais auraient tort de bouder leur plaisir...
(...) David Cronenberg ne semble pas croire un instant à ce qu'il raconte. Certes, on a vu des cinéastes rire de la violence. Rien de tout cela ici. Certaines scènes sont carrément ridicules et penchent plus vers le grand guignol. L'auteur de La Mouche ou de Crash est-il allé jusqu'à le faire exprès ?
Une fois passées les fulgurances du début (...) commence une dissert' de philo de séminaire. Sujet : "la violence, cause ou conséquence ?" (...) on peut tout rejeter d'un bloc, tout en sâchant qu'il amènera forcément un débat. Et c'est sans doute tout ça qui compte.
Cronenberg a fait de la violence le sujet (...) d'une satire très noire qui, à force d'osciller entre la reflexion philosophique et le polar déjanté à la sauce Tarantino, finit par parraître un brin bancale.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
(critique cannoise) Si on ignorait le nom du réalisateur, on dirait que c'est de la belle ouvrage (...) Mais on attendait davantage de Cronenberg. Ce film ne raconte pas grand-chose, et ce qu'il raconte (sur le couple, sur les gangsters) est assez ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Brazil
A History of Violence met le coeur en fête et les nerfs en pelote ! (...) Du bonheur on vous dit !
Cahiers du Cinéma
(...) impressionante maestria du film (...) Tout ici (...) est diaboliquement parfait, vérouillé, échoué sur les bords d'une démonstration si calibrée qu'on en vient à hésiter au final sur sa matière.
Chronic'art.com
Rares sont les films qui atteignent un point de perfection aussi éclatant que celui du dernier Cronenberg. A History of violence advient, comme toujours avec le maître canadien, à la fois comme une surprise et une confirmation.
Chronic'art.com
(critique cannoise) Etat des lieux traité davantage comme une ballade perverse où l'ironie compte autant, voire davantage que la teinte du thriller, plus attendue. Performance d'autant plus forte que le film conserve une rigueur absolue dans sa structure et sa mise en forme, très apaisées et classiques (...) Grand film.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...) Maîtrise de l'écriture, sûreté du jugement : c'est la grande forme. Et ce film qui s'ouvrait sur une tranquillité dont on n'allait pas tarder à savoir qu'elle n'était qu'un leurre...
Le Monde
"A History of Violence" est un chef-d'oeuvre méconnu par le jury du Festival de Cannes, mais qui n'en élève pas moins Cronenberg à une hauteur que peu de ses confrères parviennent à atteindre.
Le Monde
(critique cannoise) (...) un style classique d'une élégance rare (...) Film de commande, film hollywoodien, A History of Violence est aussi l'une des oeuvres les plus ambitieuses de son auteur, et une des plus belles de toute sa carrière.
Le Parisien
David Cronenberg frappe fort. On est ébloui par la performance de Viggo Mortensen et celle de William Hurt, ahurissant dans une scène clé qui fera date.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
"a History of violence" est donc un éblouissant exercice de relecture critique du cinéma américain, d'autant plus retors et subversif que sa facture paraît linéaire et classique.
Libération
Cronenberg réinvestit à neuf le champ de ces questions testant chez le spectateur sa capacité à se laisser surprendre par la vitesse du récit et des permutations qu'il autorise. Un film bourré de scènes stupéfiantes qui redonnent force et pertinence aux capacités d'investigation philosophique de la pure fiction.
Ouest France
Formidablement servi par des interprètes engagés sans retenue avec leurs personnages stéréotypés (...) [Cronenberg] joue avec des idées et des schémas pour secouer le confort de nos certitudes sur les notions de bien et de mal. Le piment de la provocation active un polar de belle facture classique.
Paris Match
Réunissant tous les ingrédients d'un thriller classique, le film doit beaucoup aux comédiens qui apportent charisme, intensité et parfois même un humour délirant (...) à leur personnage. Il confirme le talent atypique d'un maître de la mise en scène.
Première
L'homme jout-il autant lorsqu'il tue que lorsqu'il baise ? Et le spectateur prend-il du plaisir à le voir faire ? Dans ce dernier cas, la réponse est oui. Sans remords ni culpabilité.
Score
Cronenberg compose une série B d'une superbe facture classique (...) où il subvertit ce que l'on pouvait attendre du genre et du thème apparents (...)
The Hollywood Reporter
(critique cannoise)(...) Cronenberg livre un film d'une insolence réjouissante. Le récit est direct, mais le scénariste John Olson ne cesse de multiplier les fausses pistes et injecte une bonne dose d'humour très raffiné à cette violente histoire.
TéléCinéObs
Grand film.
Télérama
(...) un remarquable Cronenberg. Remarquable, cela veut dire intelligent, complexe et maîtrisé, comme on peut s'y attendre de la part du cinéaste de Toronto, mais aussi méchamment accrocheur de bout en bout.
Zurban
(...) on pensait que Cronenberg avait libré son chef-d'oeuvre. Mais "a History of violence" dejoue ces prévisions avec une maestria d'autant plus bluffante qu'elle s'avance masquée derrière un apparent classicisme.
aVoir-aLire.com
(...) un uppercut quasiment parfait et méchamment heureux : audacieux, hilarant, inquiétant, triste, singulier, fiévreux. Il importe d'aller le voir à répétition pour savourer toutes les subtilités de cet objet ténébreux mais, en l'état, une première lecture suffit pour se rendre compte à quel point ce nouveau Cronenberg est immense et sublime.
L'Humanité
(critique cannoise) (...) Viggo Mortensen ne laisse pas d'impressionner par la manière dont, sans que rien ne le laisse prévoir, il abandonne le lissé de son personnage au profit d'une sauvagerie ressurgissant des tréfonds de soi, par le seul jeu du regard.
Libération
(critique cannoise) (...) la grande habileté du film repose d'abord sur ce va-et-vient entre le récit circonstanciel d'une famille américaine moyenne brutalement soumise à l'épreuve de la violence et le récit presque mythologique, primitif, jalonné de balises connues (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(critique cannoise) Dès la scène d'ouverture (...) le projet de David Cronenberg devient évident : démonter les clichés de l'american way of life en utilisant lui-même des clichés. Procédé dangereux, certes dont il se sort avec sa maestria coutumière.
Zurban
(critique cannoise) De mémoire de cinéphile, jamais on n'aura autant ri devant un film de Cronenberg (...) Porté par un casting label rouge irréprochable, le film divertit aussi efficacement qu'élégamment. Les fans seront certes déroutés. Mais auraient tort de bouder leur plaisir...
Le Figaroscope
(...) David Cronenberg ne semble pas croire un instant à ce qu'il raconte. Certes, on a vu des cinéastes rire de la violence. Rien de tout cela ici. Certaines scènes sont carrément ridicules et penchent plus vers le grand guignol. L'auteur de La Mouche ou de Crash est-il allé jusqu'à le faire exprès ?
Rolling Stone
Une fois passées les fulgurances du début (...) commence une dissert' de philo de séminaire. Sujet : "la violence, cause ou conséquence ?" (...) on peut tout rejeter d'un bloc, tout en sâchant qu'il amènera forcément un débat. Et c'est sans doute tout ça qui compte.
Télé 7 Jours
Cronenberg a fait de la violence le sujet (...) d'une satire très noire qui, à force d'osciller entre la reflexion philosophique et le polar déjanté à la sauce Tarantino, finit par parraître un brin bancale.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
(critique cannoise) Le récit est d'une linéarité affligeante et d'une simplicité frôlant la vacuité (...)
Variety
(critique cannoise) Si on ignorait le nom du réalisateur, on dirait que c'est de la belle ouvrage (...) Mais on attendait davantage de Cronenberg. Ce film ne raconte pas grand-chose, et ce qu'il raconte (sur le couple, sur les gangsters) est assez ordinaire.