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Un visiteur
2,5
Publiée le 1 janvier 2007
bon petit western brillament interpreté par les deux grands acteurs que sont robert redford et paul newman.cependant n'etant pas fan de western je l'ai tout de meme trouver un peu long meme si il est très loin des 2h45 d'il etait une fois dans l'ouest.
Un western très particulier misant surtout sur les relations d'amitié entre deux hommes et une femme constituant une équipe de trois malfrats sympathiques. Le film bénéficie d'une bonne réalisation de Hill, d'un jeu satisfaisant des comédiens et d'un très célèbre générique...mais il manque quelque chose, du rythme peut-être car j'ai personnellement trouvé le temps un peu long. C'est pour cette raison que je n'accorde que deux étoiles. Dommage! Des mêmes réalisateur et comédiens, j'ai nettement préféré l'Arnaque de 1973.
Un duo d'acteurs au sommet de leur sex appeal cinématographique, des paysages superbes et surtout une dose salvatrice de dérision et d'humour amenant des scènes mémorables. Car par ailleurs on essaie de rendre sympathiques deux escrocs pas si malins que cela et aux motivations simplement fainéantes et amorales. Dommage que la parodie n'ait pas été pleinement assumée; l'émotion et le suspense ne sauraient être présents. Divertissant et plaisant esthétiquement.
Un bon western sur l'épopée de Kid et Cassidy et les banques et trains dévalisés. On a fait mieux depuis, mais l'action finale est magnifique. Le reste du film se traduit essentiellement par une longue chevauchée visant à semer les autorités. C'est un peu lent à mon goût et il n'y a pas de justification à cela. Pas de baston de regard ou d'effet visuel ni même de beaux paysages ou d'ambiance à la Sergio Leone. Un manque non négligeable malgré le bon duo d'acteur qui en résulte.
Grand succès public et critique de la fin des années 60, ce western narre une partie de la vie romancée de deux malfrats de la fin du XIXème siècle aux États-Unis, spécialisés dans le vol de bétail, l’attaque de trains et le braquage de banques. S’il manque un peu de radicalité dans sa mise en scène, ce film qui ne se prive pas de quelques incursions du côté de la comédie se laisse suivre avec plaisir. On en retiendra surtout trois aspects : la chanson originale de Burt Bacharach Raindrops keep fallin’ on my head et sa mélodie entêtante, le premier grand rôle de Robert Redford à l’âge de 33 ans et à titre plus anecdotique, le festival du film indépendant de Sundance, fondé par le même Redford, et qui tire son nom de ce long-métrage dont le titre original est Butch Cassidy and the Sundance Kid.
Un western qui tient surtout par les deux acteurs, Paul Newmann et Robert Redford qui incarnent avec brio deux gangsters sympathiques, un rien désabusés, un peu loosers,incapables de faire autre chose dans leur vie que des braquages et ne percevant pas que l'époque de la conquête de l'Ouest (voire celle d'autres contrées supposéess mirifiques comme la Bolivie ou l'Australie) se termine, qu'on entre dans l'ère industrielle et citadine (chose que montrent bien les images sépais qui marquent les différentes parties du film). Le fim recèle quelques joiles plans, comme celui du tour en bicyclette de Butch seul ou avec la maitresse d'école), quelques jolies images du grand ouest ou des villages boliviens. Il distille une frome de nostalgie et de résignantion. La dernière image est superbe. Malgré cela, j'ai trouvé que c'était un peu long, parfois répétitif et qu'à part une ou deux scènes (le plongeon et la descente en rivière, ou la scène finale de combat), il manquait un peu de peps.
Considéré par beaucoup comme l'un des plus grands westerns modernes, Butch Cassidy et Le Kid reste un classique indémodable, entre autre pour sa belle mise en scène, le charisme dégagé par son duo Newman / Redford ou l'astucieux mélange entre humour et drame. Bien qu'on puisse regretter le temps trop long accordé à la fuite des bandits dans les collines, le métrage nous offre de splendides scènes, dont celles de la bicylette ou des cours de braquage en espagnol. Etant au western ce que Bonnie and Clyde est au gangster, le film de George Roy Hill restera encore longtemps gravé dans les mémoires.
Butch Cassidy et le Kid est un très beau western qui sort du lot en relatant la fin de vie de deux des plus grands gangsters de l'histoire de l'Amérique. On suit dans ce film deux personnages qui marquent les esprits par leur envie de vivre face à une menace omniprésente. La première partie du film est palpitante avec ces trackers, qui, tels la Mort semblent impossibles à semer (au moins à retarder), malgré tous les efforts de Butch Cassidy et le Sundance Kid. Le triangle amical / amoureux entre les deux bandits et Etta marche parfaitement bien. Les acteurs sont très bons. Robert Redford est particulièrement charismatique en hors-la-loi austère et viseur hors-pair et tient remarquement tête face à un Paul Newman au sommet de sa notoriété. Katharine Ross est très bien également. La scène de fusillade finale est particulièrement réussie, à la hauteur des meilleurs westernsspoiler: (deux hommes contre toute une armée, leur combat est d'autant plus beau qu'il est vain).
Un western extrêmement séduisant et qui même aujourd'hui est toujours aussi palpitant.
Hors-la-loi mythiques de l'Ouest américain, "Butch Cassidy" et "Sundance Kid" auront à jamais les traits de Paul Newman et de Robert Redford grâce à ce film. Leur traque, servie par une mise en scène quelque peu atypique de George Roy Hill, teintée d’humour et de musique «seventies» légèrement désuète mais pas inintéressante, les amèneront de la double attaque de l' "Union Pacific" à une fatale confrontation avec l'armée bolivienne. Un classique que je ne classerais toutefois pas parmi les chefs d’oeuvres du genre.
Robert Redford et Paul Newman sont tous les deux excellents dans ce western inoubliable. l'humour, fil conducteur nous porte dans ce périple aux travers des contrées lointaines. on suit avec intérêt l'histoire de ces deux "cowboys". magistral !!
« Butch Cassidy et le Kid » n’est pas forcément le type de western que je préfère, mais il faut reconnaître que George Roy Hill est un réalisateur extrêmement intéressant et audacieux qui réalise l’un de ses meilleurs films. Son scénario et sa mise en scène sont bourrés d’idées originales. « Butch Cassidy et le Kid » est un western en forme de balade douce-amère qui concerne deux pilleurs de trains et de banque « adulescents » joués par Paul Newman et Robert Redford. Entre les deux, la formidable Katharine Ross pas loin d’être une adepte du polyamour. « Butch Cassidy et le Kid » est un film d’action et d’aventure avec pas mal d’humour et de dérision, voire de la poésie (la scène de la bicyclette avec l’inoubliable chanson qui l’accompagne). Outre la mise en scène, la force du film réside sur la complicité entre Butch et Sundance. Effectivement, par moment, le film traîne en longueur, mais les bavardages ont généralement savoureux. Un film (presque) incontournable.
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Paul Newman et Robert Redford endossent les rôles de Butch Cassidy et Sundance Kid, pour un très bon western terriblement efficace. C'est un western qui frôle parfois le second degré, avec des touches d'humour souvent réussi (et qui se moque gentiment des légendes de l'ouest). On les suit au début aux Usa puis en Bolivie où la légende voudrait que ce soit le lieu de mort du vrai Butch Cassidy. Le scénario est vraiment bien fait, malin et original, à l'image des dialogues. Visuellement c'est vraiment bien fait et le charme et la classe des deux stars feront le reste. En effet, les deux personnages sont vraiment attachants. Une réussite, très sympathique, charmant et captivant.
" Butch Cassidy et le Kid " appartient au crépuscule du western, et renoue pourtant avec la jeunesse du genre. Hésitant sans cesse entre la reconstitution historique des derniers jours des hors-lal-oi et la pochade pour étudiants en mal de campus (les gamineries à trois sur la bicyclette... et ailleurs), le metteur en scène - à un moment où la confusion des valeurs tenaille l'Amérique - prend le parti de la bonne humeur et de l'humour, omniprésent (cf. scène du braquage d'une banque en Bolivie, où Butch et Sundance peine à se faire comprendre; arrivée en Bolivie...), servi par le tandem Newman-Redford (qu'on retrouvera dans " L'Arnaque ", du même auteur).