Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
necrid
21 abonnés
1 211 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 27 mars 2011
T.Hooper aux commandes de cette suite, plus de 10 ans après l'original, pour nous pondre un petit délire bien gore Pour ma part j'ai trouvé ce film plaisant avec certaines scènes délirantes à souhait : notamment celle dans le studio de radio et la scène finale. On est loin du chef d'œuvre initial mais on s'amuse assez malgré les cris inaudibles et vite énervants de l'actrice principale.
Le premier opus a vieilli mais se laisse encore regarder. Cette suite a encore plus vieillie et fait mal aux yeux de par la faiblesse des maquillages, un scénario écrit sur un coin de nappe et une actrice agaçante au possible avec ses cris et son inactivité geignarde face à des situations ou tout le monde prendrait ses jambes à son cou. Rstez sur le 1er
Un film mi figue mi raisin, chaotique, inégal. Je comprends très bien ceux qui n'ont pas aimé cette suite vu l'intensité et la qualité du premier opus, son petit frère se veut être une relecture gonzo pour éviter la répétition du premier. Leatherface est ici un abruti obsédé sexuel qui tombe amoureux, sa famille est encore plus taré que dans le premier opus. L'ambiance glauque et poisseuse laisse sa place à une production design ressemblant à un cirque, ce point est d'ailleurs le plus réussi du film. Mais hélàs la mise en scène n'est pas à la hauteur de l'humour et des ambitions du film, le réalisateur s'autopompe parfois, Denis Hopper n'est pas vraiment marquant non plus. Les points positifs sont cette volonté de vouloir relire le mythe crée 12 ans plus tôt , en soit c'est audacieux, leatherface m'a plu quand même et le côté cirque est très réussi. Hélàs les qualités s'arrête là car si sur papier c'est drôle, la mise en scène ne nous entraine pas plus que ça et scénaristiquement parlant faire à la fois une suite et une relecture est une mauvise idée. Dans le genre je revisite ce quej'ai fait de façon décalé, mieux vaut revoir "Evil Dead 2". Cela dit massacre à la tronçonneuse 2 bien que très moyen peut quand même se laisser regarder.
Une suite totalement honteuse. On dirait que le scénario a été remanié par un enfant de 6 ans dérangé. Seule la scène d’attaque de la station de radio, glauque à souhait, remonte le niveau de ce nanar sidérant.
Mauvais. C'est le meilleur mot trouvé pour qualifier ce film. Où est passé l'athmosphère sombre du premier film ? Le massacre absolue ? Ici, je ne vois que de l'humour noir et rien d'autre. Cette suite aurait pût être évité. Mais la réalisation reste pourtant bonne et Letherface est toujours aussi bien joué (et ce n'est pourtant pas le même acteur que le premier film). Dans ce film on se focalise un peu plus sur la famille de canibales, et on les suit beaucoup plus. Le film est aussi très ennuyeux. Le reste n'est que pour parler. Il y a trop peu de références au premier film.
" Massacre à la tronçonneuse 2 " n'a rien à voir avec le chef-d'oeuvre sortie en 1974. Tobe Hooper décide de changer de cap avec ce film qui est entre une bonne grosse comédie noire et un film d'horreur familial, vous voyez ce que je veux dire ? La seule chose remarquable dans ce long-métrage est LA performance de Bill Johnson, elle est juste irréprochable, d'ailleurs c'est le meilleure Leatherface de tous les temps ! Pour dire la vérité la protagoniste ne sert vraiment à RIEN, après les premières 45 minutes à ne rien faire elle se décide enfin à crier et attention son cri ne finira qu'à la toute fin du film, donc préparez bien vos oreilles. Le scénario est très différent du premier volet mais perd complètement la moitié de ses atouts, pour citer un exemple ; l'ambiance a gravement diminuée et ça reste très gênant pour ceux qui ont apprécier le premier épisode. L'humour de ce " Massacre " est très désagréable et est très mal dosée. La violence, le gore et la perversité ont bien changée depuis 1974, on est passé de jeunes légèrement mutilées aux intestins qui sortent du bide ou une tronçonneuse dans l'entre jambe du fille, sur ce coup là Tobe Hooper a bêtement augmenté ces caractéristiques qui étaient déjà bien là où elles étaient. La mise en scène est plus ou moins ingénieuse, dommage que certains effets ont disparues ; ça diminue l'ambiance. La bande-sonore est vraiment médiocre, du rock, du rock, du rock et toujours du rock, ça commence à devenir typique aux nanars des années 80. Le film comporte quelques petites références qui nous feront justes plaisirs et rien de plus. Pour moi il y'a des scènes insupportables qui gâchent tout, la scène dans laquelle spoiler: l’héroïne tombe dans une trappe " malheureusement " placée ( en extérieurs ) sous ses pieds est juste incroyable ! Bref, ce deuxième volet des " massacres familiales " est plutôt médiocre mais ça reste tout de même " regardable ".
Les images ont très mal vieillies, il reste quelques passages assez tendus et saignants, mais l'ensemble ne fait plus vraiment d'effets, ni peur ni choquant ...
‘Massacre à la tronçonneuse’ fut l’histoire d’une méprise. Considéré durant des années, spécialement par les gens qui ne l’avaient pas vu, comme un sommet de bestialité décadente et une oeuvre immorale dont il fallait préserver la jeunesse qui avait de toute façon mieux à faire au Vietnam au lieu de s’abrutir devant des films de sauvages, le film de Tobe Hooper était en réalité d’une oeuvre-pionnière, qui allait lancer un genre à elle seule, mais dans laquelle on voyait paradoxalement très peu de violence frontale et très peu de sang, même si son atmosphère globale dégageait des effluves malsaines à un degré inédit pour l’époque. En fait, la plupart des gens confondent peut-être ce sordide chef d’oeuvre grindhouse, parfaitement représentatif du climat désenchanté et contestataire du milieu des années 70, avec sa suite qui, dans un certain sens, fut également un pur produit de son époque. La manie d’exhumer de vieilles franchises pour en tirer encore un peu de jus ne datant pas d’hier, c’est la Cannon, et le duo Golan et Globus, qui convainquit Tobe Hooper de donner une suite à ce film-culte, déjà considéré comme un midnight-movie culte.. La carrière de Hooper n’était pas au mieux à l’époque, et il était alors pratiquement devenu un salarié de la compagnie, aussi s’exécuta-il sans barguigner. Dans le respect de la logique économique de la Cannon, l’investissement financier fut faible...mais considérablement plus élevé que pour le premier film. Hooper tenta bien de faire transparaître quelque chose de la vision qu’il nourrissait des années 80, en présentant par exemple un des antagonistes comme un prospère businessman de la viande en public et un boucher cannibale en privé, mais ce n’était pas vraiment ce qu’attendaient de lui les pontes de la Cannon. Il fut impossible pour Hooper de ménager ses effets ou de concocter une atmosphère digne de ce nom : c’est qu’il fallait en donner au public pour son argent ! Du sang, des boyaux, de la rate et du cerveau, ‘Massacre à la tronçonneuse 2’ n’en manque pas, même si le faible budget du film et son âge respectable rendent tout cela assez inoffensif pour un spectateur d’aujourd’hui. Ajoutez-y une affiche qui parodie ‘Breakfast club’, une actrice à qui on a surtout demandé de crier très fort et Gunnar Hansen qui n’a même pas rempilé pour jouer Leatherface en raison du cachet de misère dont il allait écoper et il devient tout de suite plus simple de comprendre pourquoi la suite de ‘Massacre à la tronçonneuse’ se vautre à ce point dans le ridicule : c’était l’objectif de la Cannon, tourner une pochade décérébrée et complaisante pour amateurs de sensations fortes un peu cheap : même la famille Sawyer devenue plus outrancière et dégénérée que réellement terrifiante, et le personnage de Chop Top, qui n’arrête pas une minute de bavasser est réellement insupportable. A plus de trois décennies de distance, il ne reste plus grand chose à sauver de ce navet, qui a sûrement eu le mérite de servir la soupe aux amateurs de gore en son temps mais dont les effets kitsch et l’humour démodé ne produisent plus le moindre effet aujourd’hui.
Comment Tobe Hooper peut-il à la fois signer un chef-d'oeuvre du cinéma d'horreur et rater à ce point sa suite ? Où est passé l'horreur viscérale et insoutenable du premier opus ? Ici, on a juste droit à une sorte de mauvaise parodie du film original à l'humour aussi douteux que ridicule, avec des répliques débiles et un scénario et des acteurs ne tenant absolument pas la route. Sincèrement, Massacre à la tronçonneuse aurait dû rester film unique.
ENORMISSIME!!! J'ai vraiment adoré cte suite qui est tout simplement géniale! Tobe Hooper a placé la barre vraiment haut! Beaucoup plus gore que le premier avec des maquillages hallucinants made in Tom Savini! Beaucoup plus drôle avec le père dix fois plus grossier que dans le premier et carrément plus con. Même si parfois Tobe Hooper en fait beaucoup trop, on adhère complètement à cette suite complètement décalé et pour être décalé ça elle l'est! Une séquence que j'ai adoré c'est lorsque la demoiselle rencontre le frère dans la statio Radio. Cette séquence est complètement géniale, Tobe joue avec les nerfs du spectateur tant j'ai trouvé cte scène malsaine et pleine de tension. Après dans l'ensemble, le film reste très malsain d'ailleurs Tobe nous recycle la scène de Papy l'assomeur et l'effet de malaise est multiplié par 10. Vraiment hallucinant et met mal à l'aise! Niveau décors c'est vraiment léché, on a l'impression d'avoir atteri dans un autre monde, dans l'univers de Leatherface et sa famille. Fin bref j'ai trouvé cte suite carrément jouissive au max! J'AI ADORE!!! Chef d'oeuvre du gore.
Pour ce qui est de l'originalité, de l'interpretation, de la crédibilité, de la mise en scéne, des personnages, des scénes d'horreur, de la narration, de l'histoire, du scénario, on repassera. Pour un "massacre", c'est un sacré massacre. Envolées les bases solides du premier, cette suite sans texture et dénaturée de toute envergure se voit attribuée sans peine le statut de scandaleuse. Autant dans le premier opus l'on pouvait s'étonner de voir le personnage de Leatherface trop en retrait, autant dans celui là il apparait comme un parfait abruti sentimental. Exit donc ses transes furieuses, son appat de la mort, du découpage. Restent les coups successifs de marteau. Le dénouement, ne nous y méprenons pas, est le même que dans le premier. A ceci prés qu'ici c'est un cataclysme cinématographique. L'humour, par contre, on peut s'étaler sur le sujet. D'une part parce qu'Hooper s'obstine à créer une atmosphére dérangeante qui, pour le coup, ne l'est absolument pas. D'autre part parce que les rebondissements, aussi incohérents soient-ils (le retour du frére censé être mort etc...) sont plus que risibles. Ce film bourré de défauts, insulte son prédécesseur et catalogue le genre de la pire des maniére.
Grosse déception. Dès la scène d'ouverture, ça part mal : acteurs mauvais, ambiance nulle, incohérences... Cette désagréable impression se confirme tout au long du film. L'ambiance est vraiment très mauvaise (où est passé le talent de Hooper pour retranscrire une époque et un lieu ?), l'histoire complètement nulle (on se demande si elle a tenu sur plus de trois pages de scénario tant tout est con), les décors sont peu recherchés... On peut aussi parler de la profondeur du film : Hooper essaie à plusieurs reprises de trouver un fond (la guerre du viet-nam, la course à l'argent) sans jamais réussir à se rendre à l'évidence : il n'a rien à raconter. Et en ce qui concerne l'horreur, elle est terriblement peu excitante et à aucun moment on ne ressent de la peur. Le gore aura également réussi à dégager de l'horreur toute la folie dont était imprégnée celle de l'original où rien n'était montré. Au final, on regarde un film visiblement peu inspiré, peu réfléchi et bâclé. The Texas Chain Saw Massacre II est une bien belle déception. Finalement la seule consolation du spectateur est que le film est regardable... une fois. Le second volet aura au moins réussi à mettre en valeur l'original, bijou du 7ème art, alors que son boulot était de mettre en valeur le talent de son réalisateur. Raté.
Entre une héroïne hystérique et un personnage inutile de shériff (joué par Dennis Hopper), le film semble tourner en rond à force de répétitions. Tobe Hooper ira même jusqu'à une retourner l'une des scènes majeures du premier opus pour combler le vide du scénario. Désastreux!