Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Brazil
par Eric Coubart
Le film de Laurent Dussaus est plutôt réussi. Il varie bien les émotions, des rires aux pleures, de la comédie au tragique. Les interprétations sont impeccables avec mention très bien à Emilie Dequenne et Elodie Navarre.
Première
par Mathieu Carratier
Avant qu'il ne soit trop tard sonde les vraies angoisses liées à un age où tout se précise, où tout bascule. [...] Emmené par un casting aussi convaincant qu'hétéroclite, le film subit parfois les aléas du huis clos [...] mais oublie rarement d'être pertinent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
On pense bien sûr aux Copains d'abord, de Lawrence Kasdan. [...] Ce film signé Laurent Dussaux en réunit un maximum (un peu trop?) dans un minimum de temps. Autour de Frédéric Diefentahl et Emilie Dequenne, un bouquet de jeunes comédiens se dépense sans compter.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Zurban
par Eric Quéméré
Mêlant comédie et mélo, le film se tire fort honorablement de l'exercice périlleux que constitue le "portrait générationnel". On aimerait souvent que la caméra cesse de virolter pour se posser plus longuement sur les protagonistes, mais l'ensemble séduit au final par la justesse de ce portrait de groupe, et la fraîcheur de son interprétation.
aVoir-aLire.com
par Rania Hoballah
Plongée, donc, au coeur de cette soirée de règlements de compte où la caméra virevolte autour d'une dizaine de personnages (et autant d'histoires) qu'elle suit d'une pièce à l'autre dans de longs plans séquences qui donnent son identité visuelle au film. Sur un scénario un peu bateau il est vrai (la vie c'est dur, mais ça vaut le coup de la vivre), Laurent Dussaux nous livre une comédie douce-amère sur le passage à l'âge dit adulte.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Florence Colombani
Entre deux danses (très belles chansons de Syd Matters), chacun y va de sa petite maxime sur la vie, l'amour et la mort. Malgré quelques bons mots, le scénario n'échappe pas aux clichés sur ces grands sujets éternels et peine à donner corps à des personnages tout aussi stéréo typés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gilles Renault
Epaulé par une distribution homogène où pointent plusieurs outsiders (Emilie Dequenne, Elodie Navarre, Edouard Montoute...), Laurent Dussaux signe une comédie aigre-douce, peinture sociale au souffle court (de la difficulté d'étirer une chanson en scénario) et à la conclusion mièvre, autour d'un microcosme qui rumine ses illusions perdues.
MCinéma.com
par Franz Miceli
Deux caractéristiques qui font ici cruellement défaut. Les personnages, multipliés à l'envie, apparaissent fades voire insipides. Le réalisateur, Laurent Dussaux, enchaîne les situations avec une extrême rapidité et chacune d'entre elles apparaît vide de sens.
Ouest France
par La rédaction
Dans la série des portraits de groupe très en vogue par les temps qui courent, celui-ci décline sur le mode désenchanté un catalogue de clichés et de lieux communs pathétiques sur la vie, l'amour, la maladie, l'amitié.
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
Laurent Dussaux et son scénariste n'auraient pas dû pomper les copains d'abord de Lawrence Kasdan [...] parce qu'un bon remake inavoué, ça n'existe pas.
Score
par V. McKey
Dommage qu'un scénario et une réalisation souvent insistants laissent le casting choral - surtout les filles - se dépatouiller plus ou moins bien avec les phrases toutes faites et quelques poncifs.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télérama
par Pierre Murat
Encore un film de potes, réunis à la suite du décès d'un des leurs. S'ils avaient quelque chose à dire, au moins ! Mais non : soi-disant fragiles et douloureux, ces potes sont débiles au-delà du supportable. C'est un véritable concours : à qui sera le plus vain et geignard, à qui alignera le plus de platitudes dans un minimum de temps. Seule à s'en tirer - et c'est un petit miracle -, Emilie Dequenne. (...) Elle est aussi lumineuse que d'habitude dans ce film glauque au moralisme tristouille.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
Le film de Laurent Dussaus est plutôt réussi. Il varie bien les émotions, des rires aux pleures, de la comédie au tragique. Les interprétations sont impeccables avec mention très bien à Emilie Dequenne et Elodie Navarre.
Première
Avant qu'il ne soit trop tard sonde les vraies angoisses liées à un age où tout se précise, où tout bascule. [...] Emmené par un casting aussi convaincant qu'hétéroclite, le film subit parfois les aléas du huis clos [...] mais oublie rarement d'être pertinent.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
On pense bien sûr aux Copains d'abord, de Lawrence Kasdan. [...] Ce film signé Laurent Dussaux en réunit un maximum (un peu trop?) dans un minimum de temps. Autour de Frédéric Diefentahl et Emilie Dequenne, un bouquet de jeunes comédiens se dépense sans compter.
Zurban
Mêlant comédie et mélo, le film se tire fort honorablement de l'exercice périlleux que constitue le "portrait générationnel". On aimerait souvent que la caméra cesse de virolter pour se posser plus longuement sur les protagonistes, mais l'ensemble séduit au final par la justesse de ce portrait de groupe, et la fraîcheur de son interprétation.
aVoir-aLire.com
Plongée, donc, au coeur de cette soirée de règlements de compte où la caméra virevolte autour d'une dizaine de personnages (et autant d'histoires) qu'elle suit d'une pièce à l'autre dans de longs plans séquences qui donnent son identité visuelle au film. Sur un scénario un peu bateau il est vrai (la vie c'est dur, mais ça vaut le coup de la vivre), Laurent Dussaux nous livre une comédie douce-amère sur le passage à l'âge dit adulte.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Entre deux danses (très belles chansons de Syd Matters), chacun y va de sa petite maxime sur la vie, l'amour et la mort. Malgré quelques bons mots, le scénario n'échappe pas aux clichés sur ces grands sujets éternels et peine à donner corps à des personnages tout aussi stéréo typés.
Libération
Epaulé par une distribution homogène où pointent plusieurs outsiders (Emilie Dequenne, Elodie Navarre, Edouard Montoute...), Laurent Dussaux signe une comédie aigre-douce, peinture sociale au souffle court (de la difficulté d'étirer une chanson en scénario) et à la conclusion mièvre, autour d'un microcosme qui rumine ses illusions perdues.
MCinéma.com
Deux caractéristiques qui font ici cruellement défaut. Les personnages, multipliés à l'envie, apparaissent fades voire insipides. Le réalisateur, Laurent Dussaux, enchaîne les situations avec une extrême rapidité et chacune d'entre elles apparaît vide de sens.
Ouest France
Dans la série des portraits de groupe très en vogue par les temps qui courent, celui-ci décline sur le mode désenchanté un catalogue de clichés et de lieux communs pathétiques sur la vie, l'amour, la maladie, l'amitié.
Rolling Stone
Laurent Dussaux et son scénariste n'auraient pas dû pomper les copains d'abord de Lawrence Kasdan [...] parce qu'un bon remake inavoué, ça n'existe pas.
Score
Dommage qu'un scénario et une réalisation souvent insistants laissent le casting choral - surtout les filles - se dépatouiller plus ou moins bien avec les phrases toutes faites et quelques poncifs.
Télérama
Encore un film de potes, réunis à la suite du décès d'un des leurs. S'ils avaient quelque chose à dire, au moins ! Mais non : soi-disant fragiles et douloureux, ces potes sont débiles au-delà du supportable. C'est un véritable concours : à qui sera le plus vain et geignard, à qui alignera le plus de platitudes dans un minimum de temps. Seule à s'en tirer - et c'est un petit miracle -, Emilie Dequenne. (...) Elle est aussi lumineuse que d'habitude dans ce film glauque au moralisme tristouille.