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    Tarnation
    Note moyenne
    3,3
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    72 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 avril 2012
    Super pretentieux, chiant et tout sauf sincère. On dirait de l'amateurisme. Déjà la voie Off mal utilisé (Beaucoup mieux dans Seul contre tous par exemple ou Satantango dans un autre registre) démontre que le type est incacapable de faire du cinéma et de raconter une histoire par le cinéma. Alors du coup pendant tout le film on aura droits a des subterfuges comme le montage pathétique façon clip sur des rengaine monotone, le travail sur l'image a gerber pour faire "Vrai", et puis des petite scenette un poil voyeuriste pour s'offusquer et maintenir eveillé... formaté a outrance, ridicule, et hypocrite.
    AlexTorrance
    AlexTorrance

    30 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2012
    Un style visuel totalement inédit envahit l'écran dès les premières secondes, démarrant ce documentaire bien particulier filmé en 20 ans d'existence et rassemblant ainsi divers films en super 8, photographies etc. de toute la famille où Jonathan Caouette a passé son enfance, dans un cadre pour le moins assez dérangeant. Le spectateur ne tarde pas à être immergé dans l'histoire de ce dernier, dans une chronologie familiale où les électro-chocs font désormais partie intégrante pour l'une et que l'autre commence à voir la vie comme dans un rêve tandis qu'en parallèle, un sombre passé refait surface à l'origine de cette folie familiale. Toute cette agitation consent à forger la personnalité du protagoniste qui, seul, se cherchera dans tous les domaines. Durant 1h30, le spectateur se sentira on ne peut plus proche de cette famille, suivant avec intérêt la découverte de Jonathan avec le cinéma underground, la musique punk et aussi sa sexualité. S'il n'y a pas tout à fait de réalisation ni de mise en scène à proprement parler, le résultat final n'en reste pas moins parfaitement bien ficelé, ne laissant jamais place à l'ennui. Un documentaire psychédélique rempli d'humanité, accompagné par une bande originale tout simplement excellente !
    kespar
    kespar

    3 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2012
    Plonger dans la vie de Jonathan Caouette n'est pas chose facile, c'est âpre, dur, violent, loufoque, cru et parfois franchement glauque, mais ce brillant ovni cinématographique, en plus d'être génialement ficelé, n'en demeure pas moins bouleversant de tendresse et -au-delà de la folie et la souffrance- il délivre finalement une belle note d'espoir...
    Bravo Mister Caouette pour cette superbe "œuvre", "votre" œuvre...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 novembre 2011
    Tarnation est un film assez difficile à noter et pourtant.. Pour certains considéré comme film, d'autre un documentaire ou encore un ovni incompréhensible. Pour ma part, bien que les montages et la réalisation sont parfois très dérangeants, Tarnation est un réel choc émotionnel que j'ai adoré découvrir. Même s'il est difficile et souvent gênant de suivre l'évolution d'une famille hors du commun, ce film fait maintenant parti de ceux que je conseille ! Le réalisateur nous transporte à travers son histoire avec beaucoup de profondeur et d'influences underground, urbaines. Un film très différent et unique qui n'est pas aux goûts de tous, un film à voir tout de même!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 novembre 2011
    Il est difficile de mettre une note à ce film, c'est pourquoi j'ai mis cette note en demi-teinte, cette non-note, que je suis obligée de justifier par un commentaire ! La note dépend de l’angle selon lequel on regarde et appréhende ce film (il est des films qu’on a beau appréhender sous tous les angles…). Ici on a la matière pour faire un film, maintenant le réalisateur n’a pas compris lui-même en quoi elle était précieuse ni de quelle façon il pouvait la valoriser.
    Il a plutôt une jolie gueule, mais ce n’est pas cela qui fait un film, il est gay, très bien, mais ce n’est pas encore cela qui fait un film. Il a beau se présenter sous son meilleur jour (tentatives de suicide, consommation de substances, maltraitances durant l'enfance, etc.), ce n’est toujours pas cela qui fait un film ! (Ce ne sont certainement pas des clichés qui sont susceptibles de faire un film.)
    Pour la bonne raison que l’intérêt de ce film ce n’est pas lui, le réalisateur, mais sa mère. Lui est banal, équilibré, normal, lisse, bien dans sa peau ; inintéressant, quoi. Il a beau s’efforcer de se rendre intéressant, la matière manque dans son cas.
    Et l’angle qui importe et fait l’intérêt de ce film est sous-sous-exploité, c’est la dénonciation de la psychiatrie et de ses crimes, car on a simplement là une famille victime de la psychiatrie (qui s'en tire du reste remarquablement bien). Ce que le réalisateur n'a pas clairement saisi. Il n'a pas conscience de ce que sa mère a subi, il n'a pas conscience de ce qu'engendrent les « traitements » désormais communément usités pour « aider » (ils sont présentés comme tels) les gens en souffrance. Peut-être parce que la plupart des gens sont absolument ignorants des effets dévastateurs des « thérapeutiques » employées en psychiatrie, et aujourd'hui complètement banalisées.
    On peut voir que la psychiatrie aux États-Unis est moins violente qu’en France, puisque les dégâts sont moins importants. Mais les dégâts sont là, quand même.
    À l’origine il y avait une famille normale par excellence, la famille états-unienne moyenne, je suppose, et la psychiatrie et ses traitements de choc sont passés par-là, par hasard. Pas seulement les électrochocs, même si le réalisateurs insiste là-dessus ; pas seulement le lithium, même si le réalisateur insiste là-dessus.
    Les dégâts viennent surtout des traitements chimiques que les tremblements (jusqu'à un début de Parkinson), la confusion, les difficultés motrices, le surpoids, etc. révèlent assez : les neuroleptiques (entre autres). Pour quelqu’un de surcroît qui n’a jamais eu le moindre trouble psychique…
    Quoi qu'il en soit il vaut bien mieux regarder le film de Sandrine Bonnaire, il est plus explicite et moins racoleur, et montre ce qui se passe en France.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 novembre 2011
    Un film sur la vie d'une personne... Hum pourquoi pas mais un film décousu sans fil directeur ou le seul intérêt est le voyeurisme primaire de ce qu'on s'imagine voir, c'est à dire une histoire triste d'une personne lambda qui n'a que pour seul objectif de nous montrer son "talent artistique" ou qu'il se pense si exceptionnel qui se doit de nous montrer son monde privé... Moi je dis stop ! Toute les histoires ne sont pas bonnes à raconter et il ne se dégage rien de ce film si ce n'est l'égocentrisme du réalisateur qui nous impose sa vie comme si on en avait quelque chose à faire...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 19 juin 2011
    Mars 2002, Jonathan Caouette apprend que sa mère, Renée, a fait une overdose au lithium. Il retrace à l'aide de ses propres vidéos tournées dès son jeune âge les parcours toujours intimement liés de sa mère, de ses grands-parents, en particulier de Rosemary et de lui-même. Les images du montage se succèdent dans un rythme effréné, comme dans un trip hallucinatoire, auxquelles il colle parfois des textes qui relatent l'extrême violence dont lui (attaché et battu à 4 ans par sa famille d'accueil, hospitalisé pendant son adolescence) et sa mère (soignée dans plus de 100 HP entre 1965 et 1999, violée devant son fils...) furent les objets. Un docu autobiographique qui tire sa valeur de sa rareté, de son évolution dans le temps et en même temps de ses obsessions qui reviennent sans cesse furieusement morceler sa trame et l'image elle-même .Une caméra qui apparaît en même temps que les premiers signes d'identification sexuelle féminine (il est alors, comme sa mère, une femme battue), et trouve des alternatives de sa propre histoire sublimées dans des opéras rocks ou dans des films trash underground... Le cinéma omniprésent, déstructuré et structurant. Un oeil saturé d'amour et de rancune, qui filme comme pour la combattre la peur d'une malédiction familiale. Si "Tarnation" est un choc émotionnel, son montage destructeur, qui colle pourtant au sujet, m'a parfois laissé de marbre : lorsque la forme ressemble à un vieux clip, comme s'il voulait nous faire décoller avec son bad... Rude.
    Lucille T.
    Lucille T.

    38 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 octobre 2010
    Trépanation, n. f. : opération qui consiste à pratiquer un trou dans la boîte crânienne.

    Film choc, malgré une forme documentaire, dans la même lignée que Requiem For A Dream
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 juillet 2010
    C'est un véritable bijoux, un pur cadeau que Jonathan Caouette nous offre. Mais quelle claque, quel courage de pouvoir livrer ainsi les douleurs les plus intimes. C'est une des descriptions les plus justes que j'ai pu voir sur la folie. On se demande même, de par la fascination que l'on éprouve face aux images si nous ne sommes pas tous fous. Une magniqiue ode à sa famille malgré la multitude de bréches. Un nouveau regard sur le milieu homo, sur la folie, la famille et les drames de la vie. Je n'ai qu'un mot MERCI Mr Caouette!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 mars 2010
    Grand film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 janvier 2010
    Film absolument Magnifique
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 septembre 2009
    Plus qu'un cri, un chant d'amour, de douleur et d'émotion... Et tout ça collé au réel... Jonathan C. nous dévoile sa vie, son enfance, son adolescence, ses visions intérieures avec une telle force, une telle poésie, que l'on reste scotché, presque abruti par l'onde de choc... Les musiques ont traîné des mois dans ma tête. je ne sais ce que deviendra ce jeune réalisateur... Peut-être a-t-il déjà tout dit? C'est l'impression qui s'impose. MAGNIFIQUE.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 333 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 juillet 2014
    OK… Ça c’est sensé être un chef d’œuvre produit par un génie précoce ? Euuh… Why not… C’est con parce que moi je vois juste un film monté par un adulte un peu névrosé qui a dû mal à ne voir autre chose que son mal-être et – visiblement – ce n’est pas quelque-chose de nouveau puisque déjà adolescent il filmait son mal-être… Woh ! Ce n’est pas parce qu’on est triste qu’on est un artiste ! Je sais qu’en France c’est tellement « in » d’afficher une sorte de mélancolie de forme qu’il y a de quoi se toucher sur l’ensemble de ce film mais sinon, pour les gens normaux qui veulent juste découvrir un film, il n’y a RIEN dans ce film qui ne mérite véritablement un intérêt. Il n’y a pas de progression, il n’y a pas d’intrigue, il n’y a même pas de regard. Désolé pour toi l’ami Caouette, mais moi ta psychanalyse de comptoir, je te la laisse. Ton trip est purement égocentrique, alors je ne vois pas pourquoi je me sentirais concerné…
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 juin 2009
    Ce film,qui pourrait passer pour un documentaire choquant mais d'un basique universel sur le déclin de l'Amérique moderne,est un véritable traumatisme permanent bien plus intimiste et original que prévu.Bien qu'il y est peu de réalisation à proprement dit puisque ce biopic est tiré de films de famille et de vidéos amateurs,le montage atteint la perfection,alternant les scènes quasi-pornographiques,les témoignages trash,les extraits de films underground et les scènes musicales sous LSD.Le récit saisit les passages les plus éprouvants de la vie de Jonathan Caouette pour toucher encore plus le spectateur entre l'émotion et la révolte.Le réalistauer ne veut pas que le spectateur prenne parti pour lui,il le pousse à prendre parti pour les adolescents qui souffrent,et Jonathan Caouette exprime ce mal-aise et ce mal-être d'une maniére traumatique époustouflante qui ne peut pas laisser indifférent,toutes ces hésitations qu'elles soient sexuelles,éthiques ou émotionelles.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 mai 2008
    choquant. et ce dire que tout ça est tiré d'une histoire vrai. ça fait peur, ça traumatise et ça rassure.
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