Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Dérangeant, mais par son audace et sa franchise, le film plonge directement dans le coeur d'un homme. Un choc. (...) Des images sauvées du chaos, faisant office de trousse de survie. Un film cousu de cicatrices. Surprenant comme un éclair d'orage.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Johnathan Caouette raconte sa vie au nom d'un voyeurisme braqué sur ses entrailles et la gestation des monstres. Autisme vertueux qui rend son Tarnation bouleversant, et lui vaut toute notre amitié.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Elisabeth Quin
Caouette a (...) un avenir dans le cinéma, si on en juge par cet ovni underground émouvant, drôlissime, qui tient de la psychanalyse sauvage, du journal intime aussi éclaté formellement que l'est la psyché de Caouette, et de la lettre d'amour à sa mère Renée (...) Tarnation, en français damnation, brûle d'une foi inaltérable dans le pouvoir reconstructeur de l'image et du cinéma, pour peu qu'on s'offre sacrificiellement comme sujet.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Emmanuel Chicon
C'est avant tout le talent de Jonathan Caouette qui insuffle à ce premier film une énergie et une intensité rares. Obsédantes. (...) Tout en renouvelant l'art de l'autoportrait, Tarnation se présente aussi comme un processus cathartique.
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
On attendait depuis quelques années un évènement de ce genre, un croisement parfait entre récit de la marge et innovation technologique. (...) Brillant et déconcertant (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gérard Lefort
Un film ni aimable ni bon, très souvent en colère, et à tous ces titres complètement adorable. (...) Tarnation est surtout un électrochoc d'humour dingue, ce fou rire de qualité qu'on ne croise que chez les grands de la biographie, atrabilaire (Proust) ou colérique (Thomas Bernardt). Tarnation est un film comique qui tape du pied.
TéléCinéObs
par Bernard Achour
D'un cas particulier, le sien, le jeune réalisateur a tiré une déchirante célébration de la vie, un collage intime plus universel que n'importe quelle fiction. (...) De quoi en pleurer d'admiration, de respect et d'émotion mêlés.
Télérama
par Louis Guichard
Tarnation est un vrai film humaniste. Car on y voit un gamin s'extirper de l'enfer à la seule force son imagination, de sa sexualité, de ses passions. Puis s'inventer un langage artistique et passer d'une Amérique arriérée et mortifère à une autre, où tout semble encore possible. Y compris d'imposer un film aussi libre et viscéral que celui-ci.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
En montrant les fantômes de sa vie quotidienne partagée entre mensonges, cloisonnement, silences et faux sourires hypocrites, Caouette signe une oeuvre qui ne ressemble qu'à elle-même, une introspection émouvante doublée d'une déclaration d'amour fou d'un fils à sa mère. Simplement puissant.
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Dommage qu'en dernière instance le film soit rattrapé un peu complaisamment par le psychodrame, même si rien ne pourra altérer ce qui plus d'une heure durant, aura brillé de mille feux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
C'est un document exceptionnel, sincère, mégalo, psychédélique, unique en son genre (...). On oublie très vite le format DV pour nous plonger dans la tête du créateur-réalisateur-acteur principal : une véritable expérience dont on ne sort pas indemne. C'est peut-être la principale qualité du film, mais aussi son défaut : a-t-on vraiment besoin de vivre de l'intérieur les malheurs d'une famille américaine Lambda ?
Première
par Gérard Delorme
Loin de repousser, la forme kaléidoscopique captive d'autant qu'elle est accompagnée d'une somptueuse BO.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Isabelle Danel
Les révélations éclatent à la surface du film comme des bulles d'air nauséabond. Jonathan a toujours enregistré sa vie. (...) Avec complaisance, impudeur aussi et une sincérité désarmante. L'image est moche, très moche. (...) Et de ce journal intime et dérangeant naît une étonnante radiographie d'une Amérique peu cinématographique.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Le Monde
par Isabelle Régnier
La grande réussite du film tient à l'émotion qui se dégage de la relation d'amour fou unissant l'adolescent, puis le réalisateur adulte, à sa mère. C'est aussi par là que le film échoue. (...) Tarnation cultive un côté mignon, sucré, qui étouffe son propre souffle à la racine. L'auteur place la pudeur au mauvais endroit. Il parle de la folie mais la montre à peine (...). Esquivant l'âpreté, il esquive aussi la force et la poésie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Score
par Anthony Wong
Un "documentaire" difficile à juger tant il est personnel. C'est ce qui dérange le plus, car on a souvent la désagréable impression que l'auteur a fait un collage arty (montage et effets pop à foison) des pires moments de sa vie. En résulte un portrait d'écorché vif dont l'aspect forcément auto-masturbatoire rendra sensible ou énervera le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Score
Aden
Dérangeant, mais par son audace et sa franchise, le film plonge directement dans le coeur d'un homme. Un choc. (...) Des images sauvées du chaos, faisant office de trousse de survie. Un film cousu de cicatrices. Surprenant comme un éclair d'orage.
Cahiers du Cinéma
Johnathan Caouette raconte sa vie au nom d'un voyeurisme braqué sur ses entrailles et la gestation des monstres. Autisme vertueux qui rend son Tarnation bouleversant, et lui vaut toute notre amitié.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Caouette a (...) un avenir dans le cinéma, si on en juge par cet ovni underground émouvant, drôlissime, qui tient de la psychanalyse sauvage, du journal intime aussi éclaté formellement que l'est la psyché de Caouette, et de la lettre d'amour à sa mère Renée (...) Tarnation, en français damnation, brûle d'une foi inaltérable dans le pouvoir reconstructeur de l'image et du cinéma, pour peu qu'on s'offre sacrificiellement comme sujet.
L'Humanité
C'est avant tout le talent de Jonathan Caouette qui insuffle à ce premier film une énergie et une intensité rares. Obsédantes. (...) Tout en renouvelant l'art de l'autoportrait, Tarnation se présente aussi comme un processus cathartique.
Les Inrockuptibles
On attendait depuis quelques années un évènement de ce genre, un croisement parfait entre récit de la marge et innovation technologique. (...) Brillant et déconcertant (...).
Libération
Un film ni aimable ni bon, très souvent en colère, et à tous ces titres complètement adorable. (...) Tarnation est surtout un électrochoc d'humour dingue, ce fou rire de qualité qu'on ne croise que chez les grands de la biographie, atrabilaire (Proust) ou colérique (Thomas Bernardt). Tarnation est un film comique qui tape du pied.
TéléCinéObs
D'un cas particulier, le sien, le jeune réalisateur a tiré une déchirante célébration de la vie, un collage intime plus universel que n'importe quelle fiction. (...) De quoi en pleurer d'admiration, de respect et d'émotion mêlés.
Télérama
Tarnation est un vrai film humaniste. Car on y voit un gamin s'extirper de l'enfer à la seule force son imagination, de sa sexualité, de ses passions. Puis s'inventer un langage artistique et passer d'une Amérique arriérée et mortifère à une autre, où tout semble encore possible. Y compris d'imposer un film aussi libre et viscéral que celui-ci.
aVoir-aLire.com
En montrant les fantômes de sa vie quotidienne partagée entre mensonges, cloisonnement, silences et faux sourires hypocrites, Caouette signe une oeuvre qui ne ressemble qu'à elle-même, une introspection émouvante doublée d'une déclaration d'amour fou d'un fils à sa mère. Simplement puissant.
Chronic'art.com
Dommage qu'en dernière instance le film soit rattrapé un peu complaisamment par le psychodrame, même si rien ne pourra altérer ce qui plus d'une heure durant, aura brillé de mille feux.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
C'est un document exceptionnel, sincère, mégalo, psychédélique, unique en son genre (...). On oublie très vite le format DV pour nous plonger dans la tête du créateur-réalisateur-acteur principal : une véritable expérience dont on ne sort pas indemne. C'est peut-être la principale qualité du film, mais aussi son défaut : a-t-on vraiment besoin de vivre de l'intérieur les malheurs d'une famille américaine Lambda ?
Première
Loin de repousser, la forme kaléidoscopique captive d'autant qu'elle est accompagnée d'une somptueuse BO.
Rolling Stone
Les révélations éclatent à la surface du film comme des bulles d'air nauséabond. Jonathan a toujours enregistré sa vie. (...) Avec complaisance, impudeur aussi et une sincérité désarmante. L'image est moche, très moche. (...) Et de ce journal intime et dérangeant naît une étonnante radiographie d'une Amérique peu cinématographique.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Monde
La grande réussite du film tient à l'émotion qui se dégage de la relation d'amour fou unissant l'adolescent, puis le réalisateur adulte, à sa mère. C'est aussi par là que le film échoue. (...) Tarnation cultive un côté mignon, sucré, qui étouffe son propre souffle à la racine. L'auteur place la pudeur au mauvais endroit. Il parle de la folie mais la montre à peine (...). Esquivant l'âpreté, il esquive aussi la force et la poésie.
Score
Un "documentaire" difficile à juger tant il est personnel. C'est ce qui dérange le plus, car on a souvent la désagréable impression que l'auteur a fait un collage arty (montage et effets pop à foison) des pires moments de sa vie. En résulte un portrait d'écorché vif dont l'aspect forcément auto-masturbatoire rendra sensible ou énervera le spectateur.