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Votre avis sur Cars ?
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J'ai été un poil déçu, mais bon pour les enfants c'est un bon film.
"Cars" (2006) est considèrè à juste titre par les amateurs de film d'animation comme une oeuvre exceptionnelle de maîtrise! C'est à coup sûr l'un des films les plus sympathiques des studios Pixar-Disney! L'histoire est dèpaysante! Et sans en avoir l'air, les thèmes abordès concernent aussi bien les joies simples de la vie que l'amour, l'amitiè et la solidaritè! De plus les personnages sont hyper attachants, et c'est truffè de trouvailles, bourrè d'humour mais aussi de rèflexion (eh oui, avant on prenait le temps). Au confinement de Radiator Springs, John Lasseter et le regrettè Joe Ranft rèpondent sur des images d'un rèalisme sidèrant! Un bonheur ininterrompu pour la rètine et pour les amoureux du home cinema Dolby Atmos! Grande rèussite commerciale donc qui redonna vie à certains territoires oubliès de la mythique Route 66, mais aussi à plusieurs suites...
weihnachtsmann
De la vitesse, du vroum vroum un peu lourdingue et des personnages assez bien croqués.
Cependant La Fontaine mettait beaucoup plus de finesse pour la morale de ses histoires.
Cependant La Fontaine mettait beaucoup plus de finesse pour la morale de ses histoires.
J' ai vu tous les films d' animation Pixar, je les ai tous en DVD et après avoir vu Cars je me suis vraiment demandé si j' avais bien vu un film Pixar. Une grande déception m' a envahit. Une 3D toujours aussi fantastique malheureusement le reste ne ressemble à rien d' intéressant!! Une histoire trop prévisible, sans surprise, des personnages qui ne sont pas attachants, l' action et l' humour sont absents, le côté moralisateur devient très vite lourd et agaçant et surtout de longs, trop longs moments de calme plat pendant lesquels on s' ennuie. Vivement Ratatouille!!
Dès la première scène, le ton est donné de façon plaisante et dynamique, reprenant les codes d'une course par clins d'œil et adaptations au monde de Pixar, ravissant ainsi les initiés tout en divertissant intelligemment les néophytes. Fourmillant de bonnes trouvailles, tant sur le plan visuel que cinéphilique, l'intrigue s'écarte de même que Flash de la route attendue pour un récit d'initiation à l'évolution classique mais bien menée, empêchant toute lassitude malgré quelques facilités et un angélisme trop appuyé lors de l'ultime séquence. Se démarquant cependant par son esthétisme et sa bande-son ce dessin animé prouve que l'usine Disney peut satisfaire pleinement publics jeunes et adultes: une véritable réussite!
J'ai vu ce film il y a maintenant assez longtemps, à une époque où ma "sensibilité écolo", déjà affirmée, n'en était pas encore au stade de la conviction que la préoccupation environnementale est une urgence, une priorité absolue. Mais je me souviens qu'en sortant de la salle, j'étais un peu mal à l'aise d'avoir été parfois scotché par l'habileté de l'équipe qui a pondu le premier chapitre de ce filon juteux. Car si le scénario, les situations et le déroulé du récit m'avaient parus plutôt convenus, j'avais apprécié le graphisme, la fluidité du mouvement, les bruitages et je quittais la séance avec un sentiment mitigé ... Je me souviens qu'en en parlant avec ma femme, j'avais compris pourquoi ce malaise : à la différence de "Toy story" que j'avais beaucoup aimé et d'ailleurs fort bien noté, et où pourtant des objets sont tout autant "humanisés" et dotés de personnalités, la vraie vie est absente, totalement absente de "Cars". Pas un humain, pas un animal dans un monde minéral chauffé à blanc par un soleil constant, un monde où des machines endossent le rôle des vivants sans que jamais ces derniers soient seulement évoqués à l'écran. Et penser que ce spectacle a été conçu pour être digéré par un jeune public, par définition malléable, me posait déjà problème à l'époque, même si le récit met en avant des valeurs... humaines. Comment ne pas se dire que le jeune ou très jeune public, sortant de ce pernicieux lavage de cerveau, n'en sera que plus encore enclin à la déférence envers les objets, et plus particulièrement les sacro-saintes automobiles ? "Cars" est bien un pur produit de notre folie consumériste, asservie au matériel, confite en dévotion devant les produits de nos usines, dont elle augmente la charge symbolique. Et c'est justement parce qu'il est plutôt rassurant, esthétique et parfois excitant, qu'il est selon moi... toxique pour les enfants, pour qui il est fait. Au moins aussi toxique que des gaz d'échappement... C'est pourquoi je le note sans pitié.
Un classique !
L'histoire est prenante avec toujours un peu d'humour et des expressions adaptées au monde automobile !
L'histoire est prenante avec toujours un peu d'humour et des expressions adaptées au monde automobile !
Un très bon film d'animation, s'adressant aussi bien aux petits qu'aux adultes, et qui brille particulièrement par son humour et ses références au monde automobile. Le scénario est assez convenu, mais il ne s'inscrit pas dans les clichés du genre. Finalement du très très bon !
l une des histoires les plus réussis de Pixar disney...on adore l univers regorge d inventivité l adaptation du monde à celui des voitures et juste parfait il y a un énorme travail de fond pour rendre ce monde magique intriguant et jubilatoire...
Le scénario est simple mais plein de bon message et on se laisse prendre par ce bled et ses différents protagonistes tous aussi attachants les uns que les autres
l animation est excellente et pleines de bonne idées on passe un franc moment de rigolade.
ce film est une grande réussite ce qui n était pas évident au départ.
Le scénario est simple mais plein de bon message et on se laisse prendre par ce bled et ses différents protagonistes tous aussi attachants les uns que les autres
l animation est excellente et pleines de bonne idées on passe un franc moment de rigolade.
ce film est une grande réussite ce qui n était pas évident au départ.
Voiture de course prétentieuse qui n'a que la vitesse en tête, Flash McQueen se retrouve perdu dans la petite ville de Radiator Springs sur la route 66. Là, il va apprendre qu'il n'y a pas que la vitesse dans la vie et qu'il faut savoir s'arrêter pour apprécier les bons moments. Avec "Cars", Pixar est loin de signer son meilleur film, moins intéressant que les autres en terme d'univers et surtout plus lourdement moralisateur. Il n'en demeure pas moins un solide film d'animation dont la technique est impressionnante, donnant vie et sentiments à une sacrée galerie de voitures. Et si l'ensemble du scénario est très prévisible, on passe néanmoins un bon moment devant cette leçon de vie, dotée d'un bon sens de l'humour et d'un bon dosage d'émotion. Avec en prime un doublage original de qualité regroupant un joli casting dominé par Owen Wilson et Paul Newman. Il serait donc dommage de bouder cette réalisation, même si elle est moins inspirée que les autres...
Le film se partage en deux parties relativement distinctes. La première est l'étalage technique de ce qu'arrive à faire Pixar. Pendant la première moitié du film, John Lasseter nous montre avec fierté ce qu'il arrive à faire de mieux. Joli mais rien d'artistique là dedans. Puis lors de la deuxième moitié du film, l'histoire devient réellement intéressante. Même si le film n'évite pas les plus gros clichés Disney ( le personnage principal tombe amoureux de la fille, ce même personnage principal va devenir meilleur... ), "Cars" est quand même un bon Pixar. Moins bien que "Le Monde de Nemo" ou "Toy Story" bien entendu mais certainement mieux que "Monstres et Cie" et "1001 Pattes". En resumé, "Cars" est l'histoire d'une caisse célèbre qui va se perdre sur l'autoroute et, suite à un excès de vitesse, va être condamné à reconstruire une route qu'il a involontairement détruite. Le film se passant majoritairement sur la route 66, on a le droit à un étalage de paysages splendides. Mais ce qu'on retient du film c'est l'animation fantastique des voitures. L'antropomorphie de ces-dernières vaut à elle seul le coup d'oeil. En conclusion, "Cars" ravira assurément les enfants mais peut-être moins les cinéphiles qui, une fois l'ésthétique appréciée, se lasseront. Pour ma part, un bon Pixar.
Durant la première demi-heure, jusqu'à la fin de la première course, je n'étais pas très emballé. Les voitures ont vraiment un design enfantin ne me plaisant que très moyennement. Le héros, Flash McQueen, n'est pas très attachant. Frimeur, bavard, égocentrique. Il n'attire pas vraiment la sympathie. Jusqu'à sa rencontre avec les "habitants" de Radiator Springs bien plus intéressants que lui. Si les gosses, à qui le film est surtout destiné car ça reste du Disney, seront aux anges grâce aux gags, à l'humour de Martin et aux scènes de course, l'adulte que je suis salue la virtuosité technique. Même pour un film de 2006, c'est fluide, c'est beau, c'est coloré, ça scintille de partout, même sans Brad Bird aux commandes. Si le film exalte les valeurs de l'amitié, de l'entraide, de la modestie, ce qui en soi n'est pas nouveau, les plus âgés seront touchés par cet amour des vieilles bagnoles et par ce village perdu, en ruines, à cause d'une modernité déshumanisante (en l’occurrence, la construction d'une autoroute toute proche qui fait gagner une dizaine de minutes). C'est nos modes de vie contemporains qui sont ici critiqués. Où on ne prend plus le temps de respirer. Où on ne prend plus le temps tout court. Parce que ce qui compte le plus, c'est d'arriver le plus vite possible ou tout du moins à l'heure au travail ou en vacances. Dans l'autre sens, parce qu'il faut vite rentrer à la maison. Là où nos grands-parents dans les années 50-60 regardaient beaucoup moins la montre tout en connaissant la prospérité des Trente Glorieuses. Un message nostalgique pour un divertissement s'adressant aux petits comme à leurs parents ou grands-parents donc à toute la famille. C'est fort.
Cars est un de ces dessins animés anthropomorphiste qu’on aime voir une fois. L’histoire est marquante parce que le scénario est bien ficelé. Les personnages sont attachants mais l’humour est un peu trop enfantin à mon gout. 3/5
Cars, un des ces films qui m'ont marqué·e dans mon enfance et me marque doublement aujourd'hui, parce que je le vois avec mes yeux d'avant et avec ceux d'aujourd'hui. Et dans les deux cas, la réussite est quasi-parfaite.
En tant qu'adulte, on pourrait arguer que Cars frôle la Vallée de l'Étrange. Quel est ce monde où « l'espèce » dominante consiste en des êtres mécaniques, dépourvus de membres et autres pouces opposables, et où l'on trouve pourtant tout ce que l'humain fabrique normalement ? Où se place-t-on en matière d'animalisation et/ou d'anthropomorphisme vis-à-vis de ces véhicules dont l'intelligence varie en fonction de leur nature, avec des tracteurs lents et placides comme des vaches, une goudronneuse à moitié sentiente, et le reste qui tient lieu d'hommes et de femmes ? Sur le papier, tout est bizarre et arbitraire, et rien ne devrait marcher.
Cependant, on est chez Pixar. Et Pixar, ils n'ont pas de tabous : les leçons de vie à la Disney, ils les font sans fards, n'ayant pas peur de mettre des sujets durs sous le nez de tous. Et comme leurs choix graphiques, ils assument ça "à fond". Alors ça marche. À douze ans, j'étais transporté·e de bout en bout ; et maintenant que j'en ai le double, je trouve magnifique que "juste" quelques idées bien agencées puissent constituer une histoire si riche. Ce film, en mettant des yeux sur des bagnoles, m'a aidé·e à me construire. Quand on parle du pouvoir du cinéma…
Non mais sérieusement. Un héros qui apprend qu'il est arrogant ainsi qu'à apprécier le moment présent, des personnages hauts en couleurs qui sont nombreux à être mus par moult expériences et évènements qui s'entrecroisent et des enjeux qui évoluent, des références automobiles drôles et astucieuses pour les grands, un spectacle sportif de haut niveau pour la technologie d'animation de l'époque, des dosages parfaits entre l'émotion et l'action… et pour finir un cours discret et touchant sur la Route 66 et le mal qu'ont fait les autoroutes aux coins reculés et pittoresque des États-Unis ; comment pense-t-on à mettre autant de trucs dans un film, et comment est-ce qu'on y parvient ?
Même si mon expérience de Cars 2 aura été médiocre et que Cars 3 me laisse une impression positive mais relativement neutre, pour moi la série est iconique grâce à son seul premier opus.
En tant qu'adulte, on pourrait arguer que Cars frôle la Vallée de l'Étrange. Quel est ce monde où « l'espèce » dominante consiste en des êtres mécaniques, dépourvus de membres et autres pouces opposables, et où l'on trouve pourtant tout ce que l'humain fabrique normalement ? Où se place-t-on en matière d'animalisation et/ou d'anthropomorphisme vis-à-vis de ces véhicules dont l'intelligence varie en fonction de leur nature, avec des tracteurs lents et placides comme des vaches, une goudronneuse à moitié sentiente, et le reste qui tient lieu d'hommes et de femmes ? Sur le papier, tout est bizarre et arbitraire, et rien ne devrait marcher.
Cependant, on est chez Pixar. Et Pixar, ils n'ont pas de tabous : les leçons de vie à la Disney, ils les font sans fards, n'ayant pas peur de mettre des sujets durs sous le nez de tous. Et comme leurs choix graphiques, ils assument ça "à fond". Alors ça marche. À douze ans, j'étais transporté·e de bout en bout ; et maintenant que j'en ai le double, je trouve magnifique que "juste" quelques idées bien agencées puissent constituer une histoire si riche. Ce film, en mettant des yeux sur des bagnoles, m'a aidé·e à me construire. Quand on parle du pouvoir du cinéma…
Non mais sérieusement. Un héros qui apprend qu'il est arrogant ainsi qu'à apprécier le moment présent, des personnages hauts en couleurs qui sont nombreux à être mus par moult expériences et évènements qui s'entrecroisent et des enjeux qui évoluent, des références automobiles drôles et astucieuses pour les grands, un spectacle sportif de haut niveau pour la technologie d'animation de l'époque, des dosages parfaits entre l'émotion et l'action… et pour finir un cours discret et touchant sur la Route 66 et le mal qu'ont fait les autoroutes aux coins reculés et pittoresque des États-Unis ; comment pense-t-on à mettre autant de trucs dans un film, et comment est-ce qu'on y parvient ?
Même si mon expérience de Cars 2 aura été médiocre et que Cars 3 me laisse une impression positive mais relativement neutre, pour moi la série est iconique grâce à son seul premier opus.
L'un des films le moins complexe et plus "premier degré" de Pixar Productions. John Lasseter nous délivre pourtant un grand moment de distraction et une belle palette des qualités techniques du studio qui nous montre des superbes paysages de l'ouest américain où les tracteurs remplacent les vaches des cow boys! Les sentiments exhibés sont très moraux et primaires et exaltent l'honnèteté (MacQueen laissant la victoire finale pour secourir un concurrent), le héros prétentieux qui grandit après ses travaux forcés... Un excellent divertissement.
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