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    American Pastoral
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    3,0
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    59 critiques spectateurs

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    vincentasc
    vincentasc

    34 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    Voilà un film étouffé par livre dont il est l'adaptation. Ewan McGregor n'a pas choisi la facilité. Il résulte un film bien sage, sans risque mais sans âme et sans passion.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Seymour "Le suédois" Levov semblait courir droit vers une vie rêvée à la sortie du lycée. Champion de football américain populaire, il est en couple avec miss New Jersey. Il décide rapidement de reprendre l'usine de fabrication de gants en cuir de son père et de s'installer en périphérie avec que son épouse puisse élever des vaches en toute quiétude. Tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais leur fille "Merry", atteinte de bégaiement dès son plus jeune âge, va venir tout chambouler. En effet, Merry va se retrouver entrainée dans un mouvement contre la guerre du Vietnam et va commettre un attentat contre la poste locale.
    Ce film traite de l'aveuglement et de l'amour inconditionnel d'un père qui tente par tous les moyens possible de récupérer son american pastoral, autrement dit son paradis perdu. Le film est convaincant et nous replonge dans les différents conflits qui ont traversé les Etats-Unis d'Amérique dans les années 60.
    Premier test réussi pour Monsieur Ewan Mc Gregor.
    Kristinapatarin
    Kristinapatarin

    1 abonné 16 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Film intéressant sur le plan historique Mais tout de même assez plombant! Beaucoup de pathos et à mon goût un jeu d'actrices en particulier de l'héroïne pas à la hauteur. J'avais hâte qu'on en finisse et n'en suis pas sortie réjouie, ce qui n'était clairement pas le but. C'est finalement malheureusement un sujet brûlant d'actualité concernant l'incrédulité parentale face au machiavélisme d'enfants qui deviennent terroristes.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    A 45 ans, l’acteur d’origine écossaise Ewan McGregor se lance dans la réalisation de son premier film, « American Pastoral ». Entre réalité et fiction, ce tableau peu flatteur de l’Amérique des années 60 souffre d’un académisme pantouflard un chouia soporifique.
    saurar
    saurar

    13 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 janvier 2017
    Ce drame très plausible de l'Amérique des années 60 avec les révoltes des jeunes contre la guerre et celle des noirs parfaitement réalisé, même si certaines phases du film sont un peu exagérées et que l'on note quelques longueurs en début de film. . Les acteurs sont parfaits. On est pris ,malgré tout, par ce film, très émouvant et très dramatique , du début à la fin.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    191 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 janvier 2017
    Se lancer dans la réalisation n'est pas facile. Ewan McGregor se jette à l'eau avec l'adaptation d'un livre sur un fait divers marquant de l'histoire moderne américaine. Pour le coup, chapeau car l'histoire est vraiment prenante : une famille se trouve anéantie lorsque la fille unique disparaît et est accusée d'avoir commis un attentat. Même si cette histoire date des années soixante, elle est toute à fait transposable à notre époque. Et c'est ce qui fait la force du film. Ensuite, la réalisation est très scolaire et manque de rythme. Les plans sont beaux mais manquent d'audace. La partie plus contemporaine est inutile et mauvaise. Sans elle, le film aurait eu plus de force. Ewan McGregor n'est pas fabuleux. Son jeu laisse à désirer. Jennifer Connely et Dakota Flamming sont bien meilleures. La bande son qui reprend des tubes de l'époque est sympa mais c'est du déjà vu maintes fois. Un film en demi teinte qui, avec peu de choses, aurait été bien meilleur.
    Padami N.
    Padami N.

    62 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 janvier 2017
    le sujet pere/fille sur fond d Amérique des années 60 semblait intéressant mais la narration linéaire et une réalisation académique ne fond pas ressentir les tensions passions de l'époque à part les scenes d émeutes . Dakota Fanning est juste brai bemole de la fin jennifer Connely devrait avoir
    45 ans de plus qu au debut....
    traversay1
    traversay1

    3 638 abonnés 4 875 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 janvier 2017
    La densité et le caractère poignant d'American Pastoral sont une évidence. Pour ce qui concerne le roman de Philip Roth, s'entend, Prix Pulitzer. Que Ewan McGrgor s'attaque à une telle adaptation, pour ses débuts à la mise en scène, montre une ambition sans doute louable, mais aussi un peu d'inconscience, là où il aurait fallu un P.aul Thomas Anderson ou un James Gray aux commandes, pas moins. Tout n'est pas raté dans le film, loin de là mais l'atmosphère générale n'y est pas malgré une reconstitution (un peu trop) léchée des années Vietnam, Woodstock et contestation générale de l'American Way of Life. Sur cette période, toile de fond violente, le film se contente de la perception du personnage principal que McGregor n'aurait jamais dû jouer. Plus mystérieuse est celui brillamment interprété par Jennifer Connelly mais qui n'a qu'un second rôle. Dakota Fanning, de son côté, est assez remarquable mais là encore, elle n'a droit qu'à la portion congrue et sa rébellion maladroitement exposée. Outre quelques problèmes de vieillissement au gré des années qui passent, le film est sagement mis en scène, sans donner de densité à cette histoire tragique de lien filial brisé. Donc, pour l'intensité et la puissance, voir plutôt le roman originel.
    scrabble
    scrabble

    34 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 janvier 2017
    un très bon film tellement bien joué qu'on penserait à une histoire vraie. les sentiments de chacun sont très bien rendus. le scénario est bien ficelé. la mise en scène est soignée. bref ! n'hésitez pas à aller le voir.
    dominique P.
    dominique P.

    844 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 janvier 2017
    Ce film est l'adaptation d'un livre.
    L'histoire se passe dans les années 60 et 70.
    C'est un drame émouvant.
    Je trouve que ce film est très bien fait, très délicat et très soigné.
    J'ai beaucoup aimé.
    Daniel C.
    Daniel C.

    150 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 janvier 2017
    Il y a la douleur du bégaiement et ses possibles bénéfices secondaires. C'est ce avec lequel Merry grandit au sein d'une famille, dont les deux parents sont brillants. Comment exister entre ces deux-là, qui aiment profondément leur fille ? Comment comprendre cette parole retenue, empêchée, qui ne peut se dire qu'avec des points de butée ? Lesquels points de butée maintiennent l'auditoire en attente, dans une sorte de suspense du mot imprononçable en attente de survenir... Quel est le prix à payer pour s'en accommoder ? La psychanalyste (?) consultée éclaire la piste oedipienne. Hypothèse pour le moins explosive, qui fera flamber le devenir de cette jeune fille. Il y a l'amour inconditionnel du père, qui ne renonce pas. Il y a aussi le désespoir maternel, qui mène vers le dépit, puis la renarcissisation outrancière. Ce film montre surtout l'état d'impuissance des parents lorsque l'enfant devenu(e) adulte s'engage dans une voie terrifiante. L'emprise opère pour s'extraire du cocon familial. La révolte se tourne vers le monde environnant. Le combat devient alors politique et la violence devient un mode de lutte et d'expression sans limites. Le terrorisme se niche probablement dans une modalité de traitement de problématiques individuelles recyclées au nom d'une idéologie supposée contraster avec l'impureté constatée de ce bas monde fait de compromis, parfois de compromissions. Ici, les parents tentent de se remettre en cause, mais cela semble vain. Peut-être la violence du symptôme inaugural est-il ici à prendre en considération dans toute sa gravité et son agressivité sous-jacente...
    Serge V
    Serge V

    84 abonnés 446 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 janvier 2017
    les critiques sont mitigées , les reproches viennent souvent de la comparaison avec le livre qui paraît - il est plus complexe et plus profond , je ne l ' ai pas lu , et pour ma part , j ' ai vu un film sombre et émouvant , qui montre le combat d ' un père pour retrouver sa fille égarée dans des dérives terroristes ( un sujet d ' actualité , hélas ! ) ,les acteurs sont excellents , la période est bien restituée et le scénario est prenant . un film à voir !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 31 décembre 2016
    Pour son premier film, Ewan McGregor s'en sort haut la main ! Traitant d'un sujet qui a pourtant des années comme un sujet d'actualité, il s'avère être vraiment une grosse claque ! J'ai l'impression d'avoir vécu une vie en le regardant, sans m'ennuyer, mais au contraire, en suivant tout le cheminement des personnages. Très beaux décors, beaux plans, des acteurs extrêmement justes et un film qui ne prend pas les gens pour des cons et voir ça aujourd'hui, c'est extraordinaire ! Dommage que le film soit peu distribué en France, car il m'aurait semblé d'intérêt public. Mais si vous en avez l'occasion, allez le voir ! J'y suis allée en étant mitigée car je ne savais pas à quoi m'attendre, et effectivement, on ne s'attend vraiment pas à la tournure que vont prendre les choses si on ne connaît pas le célèbre roman qui a été adapté. Je le recommande vivement !
    tixou0
    tixou0

    708 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 décembre 2016
    Comment l'unique rejeton d'un Juif (le "Suédois" Seymour Levov - ancien champion sportif universitaire, ayant repris les rênes de la fabrique de gants de luxe familiale quand son père part à la retraite) et d'une descendante d'Irlandais, catholique (et ancienne reine de beauté - Dawn), une fille, Meredith (dite "Merry" - c'est-à-dire "joyeuse", diminutif fort mal porté...), se convertira au.. spoiler: .jaïnisme (philosophie orientale prônant le respect de toute vie, même celle de la plus humble des espèces animales).
    Ceci probablement (?) en guise d'expiation spoiler: d'un activisme estudiantin, ayant dérivé vers la violence gratuite (sur fond de protestation contre la Guerre au Vietnam).
    Ewan McGregor vient donc de se lancer dans la réalisation.... Ai lu quelque part que la motivation principale de ce père de famille nombreuse (en "vrai") était de montrer l'amour sans limite d'un père pour son enfant. Soit. Mais n'ayant pas lu l'oeuvre de Philip Roth ici adaptée, je ne peux pas apprécier si le roman correspond opportunément à ladite thématique... Au résultat, c'est plutôt surchargé, et brouillon : chronique sociale, voire socio-politique, des "sixties", au-delà de la chronique familiale. Avec une psychologie souvent peu convaincante. Et trop de raccourcis, d'ellipses. Par ailleurs, les passages les plus intéressants, quand le récit est le plus soutenu, laissent au spectateur une impression de malaise - du bégaiement clairement hystérique de Merry (cas clinique psychiatrique) aux séquences "Rita" - une pesanteur malsaine. EMG n'aurait-il pas placé la barre trop haut pour ce premier "long" (où il se "dirige" qui plus est, en "Suédois" - un brin pâlichon) ? Sa mise en scène classique (pour ne pas dire sans imagination....) ne parvient en tout cas jamais à donner sens et corps à cette "Pastorale" (vocable faisant écho au syndrome de "Marie-Antoinette" développé par Dawn - mais en remplaçant les moutons de Trianon par de braves bovidés ?). En fait, il s'agit avec cet "American Pastoral" plus simplement du "paradis perdu" de Seymour Levov, celui de sa vie d'"avant" spoiler: (le premier attentat commis par sa fille)
    , quand il baignait dans la félicité, conjugale, paternelle et professionnelle.... Jennifer Connelly (la mère) et Dakota Fanning (la fille) réussissent mieux, pour leur part.... d'où ces "deux étoiles" de consolation.
    araruama
    araruama

    2 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 décembre 2016
    En 2 semaines j'ai assisté à 2 films qui brossent le portrait d'hommes brisés par la destinée funeste de leur progéniture : Manchester by the sea et celui-ci. 2 films tristes pour clôturer une triste année 2016...
    Ewan McGregor s'en sort pas trop mal tant du point de vue du jeu que dans la réalisation qui comporte néanmoins quelques longueurs. Je n'ai pas lu le bouquin mais j'ai apprécié la façon dont l'histoire pas si lointaine des USA et celle de cette famille s'entremêlent. Ce fut un plaisir de revoir Jennifer Connelly
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