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    American Pastoral
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    3,0
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    59 critiques spectateurs

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    Hastur64
    Hastur64

    228 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 octobre 2017
    Philip Roth sait comme personne lier dans ses romans les histoires particulières et l’histoire avec un grand H de l’Amérique. C’est ici le cas avec cette adaptation de son livre « La pastorale américaine », où comment le mouvement des droits civiques et l’opposition à la Guerre du Vietnam vont détruire une famille jusque-là décrite comme idyllique. Quand Merry, jeune fille aussi solitaire que passionnée, disparaît et devient le suspect d’une attaque à la bombe, la vie de Seymour et Dawn elle aussi explose et le premier ne renoncera jamais à rechercher sa fille pour la ramener à la maison. C’est un drame poignant où Ewan McGregor incarne un homme que la vie semble avoir gâté, mais brisé par un drame qu’il ne peut intégrer. A côté de lui Jennyfer Connelly est une mère que la disparition de sa fille va irrémédiablement chambouler au point de sombrer dans la folie. Ils sont les deux aspects des réactions que les humains ont face à une situation qui les dépasse : se battre contre elle ou accepter le changement et aller de l’avant. Face à eux, une jeune fille qui, comme beaucoup d’enfants du baby-boom dégoûtés de la société, va embrasser avec une fureur presqu’incompréhensible par ses parents (et nous également) les idéaux révolutionnaires et ce jusqu’à commettre sans regret l’irréparable (un idéologisme presqu’extrémiste qui n’est pas sans rappeler les radicalisations actuelles). Le film est donc d’une étrange résonance avec les événements qui secouent les pays à travers le monde et qui laisse sociétés et parents d’extrémistes aussi interloqués et que désemparés. Un drame émouvant et glaçant d’actualité qui mérite le coup d’œil.
    defleppard
    defleppard

    387 abonnés 3 385 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 juin 2017
    Pas mal, la réalisation de ce film de la part de Ewan McGregor.....................sauf les 10 dernières minutes, un peu trop poussives.................2 étoiles et demie...........!!!!!
    Cinememories
    Cinememories

    486 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2017
    Adapté du célèbre roman de Philip Roth, « American Pastoral » évoque la mélancolie et l’amour inconditionnel d’un père envers sa fille. Bien que le synopsis annonce un drame essentiellement axé sur des enjeux politiques, le film développe des aspects bien intéressants.
    On retombe alors sur un ton et une narration très académique pour les débuts d’Ewan McGregor derrière la caméra et on le comprendra. L’approche sur les tensions sociales des années 60, soit la période post Guerre du Vietnam, est nouée par le développement d’une famille en quête d’indépendance. Elle la recherche tant bien sur le plan social que personnel. Ici, la dimension humaine diverge suffisamment en sens afin de d’accorder une pleine réflexion sur une morale bien dépeinte.
    Le réalisateur campe l’Américain rongé entre sa satisfaction du rêve qu’il a construit et la réalité des choses. Le personnage de Seymour Levov, dit « Le Suédois », possède des bagages mentaux intéressants. C’est par le biais de sa détermination et son amour pour sa famille que l’on découvre l’univers qu’il fréquente. L’aventure l’amène à côtoyer les sombres passerelles vers la vérité et l’engagement est respecté. Ce qui manque, c’est tout de même une certaine profondeur qui donnerait plus de personnalité. Un vide se fait sentir au niveau émotionnel. Soit il se fait attendre, soit elle n’agit pas toujours comme prévu.
    Fort heureusement, la gente féminine répond sur différents fronts. Jennifer Connelly (Dawn Levov) reste impeccable dans son rôle. Mais c’est au sujet de Dakota Fanning (Merry Levov) que l’on retiendra les valeurs du l’intrigue. Elle apporte des notions du Jaïnisme, c’est-à-dire tout ce qui proscrit la violence, mais il va plus loin dans le spiritualisme. Et il est important de souligner de bouleversement religieux, qui prend au fur et à mesure de l’ampleur dans le temps.
    Sans toujours rentrer dans les détails, les enjeux s’illustrent essentiellement dans le drame familial. On retient de « American Pastoral » un bon début. On attend ainsi au tournant McGregor vers une ouverture visuelle et plus libéré dans le script.
    Eselce
    Eselce

    1 416 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 mai 2017
    Le film démarre déjà étrangement et rien ne s'arrange. Un couple aux apparences parfaites a une fille qui bégaie spoiler: Elle semble amoureuse de son père alors qu'elle n'a même pas 10 ans... ?!
    et va entrer dans un groupe d’extrémistes sans réelles raison. Une bombe est posé et la fille disparaît alors qu'elle est ado. Le père va tout faire pour la retrouver, j'ai du mal à comprendre les comportements des uns et des autres. Beaucoup trop de références au sexe sans raison, y compris dans la chambre avec les 10 000 dollars. Le montage et l'histoire sont confus, les personnages n'attirent ni sympathie ni respect et le parallèle des années passées paraît bien inutile... McGregor ne film assurément pas un film qui restera dans les mémoires !
    rogerwaters
    rogerwaters

    145 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2017
    Si le film d’Ewan McGregor n’est sans doute pas totalement enthousiasmant à cause d’une forme un peu trop classique, il s’appuie sur un matériau littéraire d’une force et d’une richesse telle que l’on parvient vite à oublier ces carences. Mieux, la froideur apparente du traitement vient renforcer le trouble qui s’empare du spectateur face à cette histoire trouble qui nous laisse orphelin de toute explication rationnelle. Ce mécanisme nous rappelle inévitablement le destin des jeunes d’aujourd’hui qui sont séduits par l’embrigadement djihadiste au grand dam de leurs parents, souvent désarmés. Ici, le contexte politique est parfaitement développé et l’histoire passionne d’autant plus que les acteurs sont excellents. Attention toutefois, point d’éclaircies dans cette descente aux enfers finalement éprouvante. Un beau film qui méritait une audience bien plus importante.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    324 abonnés 2 997 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 mai 2017
    sur une toile de fond à prétexte car marquée politiquement, un récit qui a du mal à s'imposer et à émouvoir. des détails et des voix françaises qui font perdre l'intérêt et la crédibilité de ses personnages. jamais vraiment le spectateur ne se projette et se sent bouleversé.
    peter W.
    peter W.

    44 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 mars 2017
    Une première réalisation plutôt encourageante avec un sujet compliqué, malheureusement il y a pas mal de défauts. Après un démarrage un peu lent le réalisateur ouvre beaucoup de voies sans vraiment les approfondir. Du coup si le film a un coté attirant on reste largement sur notre faim.
    FaRem
    FaRem

    8 767 abonnés 9 621 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 janvier 2017
    Premier film pour Ewan McGregor qui met en scène un scénario de John Romano qui après "The Lincoln Lawyer" adapte donc un nouveau roman au cinéma. Je ne connais pas le livre, mais j'ai trouvé cette histoire passionnante, on assiste au déchirement d'une famille et à la perte d'innocence d'une jeune fille qui a toujours eu un fort caractère et s'affirmait malgré son bégaiement. Je pense que le livre est plus riche en détail ce qui serait logique notamment en ce qui concerne le contexte de l'époque ainsi que ce qui arrive à Merry durant sa cavale, mais l'essentiel est là du moins, il y a tout ce qui faut pour faire un bon thriller dramatique plein de mystères et qui comprend une partie intéressante et forte sur la relation père-fille et sur l'endoctrinement même si ce dernier point n'est pas totalement développé. Ewan McGregor s'en sort bien derrière la caméra avec une mise en soignée et devant en étant convaincant, attachant et en montrant plein d'émotion lorsque c'est nécessaire. C'est dommage que tout ne soit pas mieux exploité, mais en tant que tel, c'est un très bon film avec une histoire assez forte pour être captivante jusqu'à la fin.
    dagrey1
    dagrey1

    100 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 janvier 2017
    Dans l’Amérique des années 60, Seymour Levov, dit « le Suédois », ex champion universitaire de sport, est devenu un riche homme d’affaires marié à Dawn, ancienne reine de beauté du New Jersey. Mais les bouleversements sociopolitiques de l’époque font bientôt irruption dans la vie bourgeoise, en apparence idyllique, de Seymour. Lorsque sa fille adorée, Merry, disparaît après avoir été accusée d’acte terroriste, il part à sa recherche pour que sa famille soit de nouveau unie.

    Dans "American pastoral", l'acteur écossais Ewan Mac Gregor s'attaque à sa première réalisation dans une chronique familiale dramatique lors d'une page d'histoire mouvementée des Etats-Unis d'Amérique. Alors que le pays prolonge la ségrégation raciale et s'ingère toujours dans les affaires politiques de pays éloignés (Vietnam...), Seymour Levov, dont la vie de famille et les affaires étaient florissantes, voit son monde vaciller alors que sa fille Merry dés 16 ans rentre en rebellion et rejoint des activistes terroristes qui décident de défier l'oncle Sam en posant des bombes et en manifestant.
    Le principe du scénario, reposant sur une double lecture familiale et politique en parallèle, était plutôt bien vu, le résultat n'est pas pourtant vraiment convaincant.

    Acteur principal et réalisateur, Ewan Mac Gregor ne parvient pas à passionner le spectateur bien que son personnage soit très empathique et les enjeux réels. Le film a un charme "old school" évident qui tient aussi à l'époque des faits et à une réalisation riche en couleurs. En tant que spectateur, je suis pourtant resté peu concerné par le drame qui se noue dès que Merry, au nom de sa conscience politique radicale, décide de tout envoyer "bouler."..ce qui ne sera pas sans conséquences pour ses parents et son entourage. Le film n'a pas la force mélodramatique de ses "ainés" des années 50 ou 60, l'ensemble manque de conviction.

    Spoiler : La conclusion du film est également un peu tirée par les cheveux lorsque l'on constate que Merry est passée de l'activisme terroriste au Janisme (doctrine philosophique indienne qui considère que tout est vivant autour de nous et nous conduit à limiter nos actions).

    Reconnaissons tout de même au film de faire un constat général assez juste: lorsqu'un enfant disparait (au sens propre ou figuré), la façon de gérer ce "deuil" soit en le cherchant obsessionnellement, soit en passant à autre chose porte souvent un coup fatal au couple, ce que démontre assez bien le métrage à travers les chemins différents choisis par "le suédois" et par sa femme.

    Le film repose sur un bon casting notamment Ewan Mc Gregor (Seymour Levov), Jennifer Connely (Mme Levov) ainsi que Dakota Fanning, celle "par qui le scandale arrive".
    Laurent C.
    Laurent C.

    259 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    La bande-annonce faisait espérer un film américain, politique et critique sur les positionnements impériaux pendant la guerre du Vietnam. En vérité, "American pastoral", librement inspiré du roman du génial écrivain Philip Roth, est un récit surtout sur la relation d'un père, dit Suède, et sa fille, qui, après avoir souffert toute son enfance de bégaiement, sombre dans l'activisme d'extrême gauche et disparaît mystérieusement. Pendant tout le long métrage, le spectateur ne peut s'empêcher de ressentir l'esprit subversif et poisseux qui s'empare des personnages, et notamment de ce père, à la fois dévoué à l'éducation de sa fille, sincère, généreux, comme tout autant ambigu et malhabile. Mais hélas, Erwan McGregor ne va pas jusqu'au bout de ses personnages. Il demeure souvent à un niveau assez superficiel, voire désinvolte lorsqu'il s'agit de filmer par exemple la transformation de l'épouse de Suède. La mise en scène est propre, mais trop sage pour raconter une époque totalement incroyable où une certaine jeunesse socialiste américaine essayait de résister à l'impérialisme capitaliste, et surtout la plongée d'une adolescente dans le radicalisme et le sectarisme. On ne peut pas s'empêcher de faire le lien entre le destin tragique de cette jeune-fille et la chute de quelques jeunes fragiles dans le totalitarisme religieux dans nos sociétés contemporaines. Mais tout cela reste trop timide, trop à la surface du sujet, pour faire de cet "American Pastoral" un grand film.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    55 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Particulièrement intéressant pour qui a envie de comprendre le monde.

    Le film est plaisant, agréable à voir. Il prend une dimension tout à fait remarquable sur les sujets suivants :
    Weather underground
    Radicalisation
    Coulabilité de la famille pour les actes d un de ses membres
    Amour parental inconditionnel

    Je profite de l occasion pour citer l un de mes films préférés parmi mes films préférés (vu 5 fois au moins au cinéma, 5 fois je me suis endormi malgré mon envie de résister) : Distance de Hirokazu Kore Eda. Distance a en plus la question de "Comment n a y on rien vu arriver ? Comment a t-on pu nier certains signes".

    Le film m a beaucoup plu par ses discrètes références : lien avec les mouvements civiques et le black Panther, attitude du FBI (survivre au FBI), implication de la (contremaître ? secrétaire ? ) noire dans la marche de l' usine, ...
    Personnellement, je n ai pas été sensible à l importance que ce film prenne place dans un milieu proche des milieux juifs car je n ai pas les références, les connaissances qui me permettent de faire des liens sur ce point.

    L irruption du jaïnisme dans cette histoire m a beaucoup plu aussi. J ai juste un doute sur les propos tenus par la famille hamlin. Cette scène mise à part, je prend le film en son entier et je souhaite le revoir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    J'ai écouté des critiques bien sévères, notamment sur France Culture. Le film est cependant excellent : je vous le conseille !
    Benito G
    Benito G

    676 abonnés 3 162 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    La réalisation de Ewan McGregor, nous fait un film assez classique, lorgnant un peu du côté des réalisations de Clint Eastwood (ou sans faire exprès nous fait un clin d'œil), est s'avère efficace, quoique scolaire (petit bémol). La force du récit réside surtout dans son intensité émotionnelle, d’ailleurs soulignée par l’usage grandiloquent de la musique, et la qualité de ses interprètes féminines. Dans son ensemble, le film nous offre quelques scènes très émouvantes (sans vouloir spoilers). LE choix du casting féminin est relativement judicieux (notamment pour Jennifer Connelly ou encore Dakota Fanning par exemple). Le film pêche cependant par excès de simplisme. Alors que le sujet d’une société américaine en pleine guerre civile offrait des résonnances avec le monde actuel et laissant plusieurs pistes pour une telle réalisation. Mais le réalisateur a choisi d’évacuer les enjeux politiques pour se concentrer sur le drame familial (après tout, c'est son choix^^). Retrouver sa fille est le seul leitmotiv du héros, et le principal enjeu d’un récit qui file sans jamais assumer sa complexité (et c'est bien dommage car le potentiel est là). Ewan McGregor livre une performance en deçà de celle de ses partenaires féminines. Parce qu’il s’obstine (inconsciemment ou non) à fermer les yeux sur la révolution en marche. Paradoxalement, son aveuglement arrive quand même à nous toucher. Et c’est cette ambivalence propre aux sentiments humains qu’on aurait voulu voir explorée plus en profondeur et pourquoi pas avec un peu plus de consistance. Petite déception, pour une réalisation qui aurait pu aller plus loin dans son registre.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    67 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    [...]

    Le trio formé par Ewan McGregor en père bienveillant ancien sportif et soldat, Jennifer Connelly en miss New Jersey vindicative, et leur fille jouée toujours à la limite du cliché par Dakota Fannings (qu’on retrouvera dans Ocean’s Eight prévu pour 2018), a tout d’un christmas movie engageant. Très rapidement, le genre glisse de manière attendue vers le drame historique en surexploitant les images d’archive. Mais ce récit est amené par un autre et inutile (le piège de l’adaptation littéraire) d’un point de vue externe et sans lien direct. Un ami d’enfance rencontre à la 45ème rencontre d’une promotion, le frère incarné par Rupert Evans, vieilli par un maquillage grossier, qui raconte les péripéties de Swede Levov. La plongée est lente et maladroite. Rien ne favorise l’attention, une mise en scène convenue, une photographie impersonnelle et un récit linéaire dont on s’extrait à chaque fois que l’émotion est soulignée par des yeux humides en gros plan. Le spectateur reconnaît un certain classicisme hollywoodien cher aux premières œuvres de Clint Eastwood en tant que réalisateur, mais n’identifie aucune subjectivité tant la portée du message vient anéantir l’absence de poésie. Ce qui est fort dommage, puisque le poids du travail est conséquent et palpable, mais ne ressort guère dans cette traduction visuelle au premier degré. La notion de « héros », qui plus est, joué par Ewan en personne, par un excès de naïveté qui lui est propre, car on lui reconnait le rôle du « jeune premier », ne concorde aucunement avec ce père perdue dans la tourmente d’une histoire qui le dépasse par les engagements de sa propre fille.

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    Olso
    Olso

    13 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Pastorale étatsunienne
    Adaptation du roman de Philip Roth, drame se déroulant dans les EUA des années 60-70 pendant la guerre du Vietnam. La vie de Seymour "Suède" Levov et de sa femme ex-reine de beauté est bouleversée quand leur fille Merry devient une militante pacifiste violente et fait exploser un bureau de poste. Histoire intéressante, jolie reconstitution, se laisse regarder, mais, à part 2-3 scènes, ne dégage pas beaucoup d'émotion.
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