Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Les rapports père-fille sont au centre de ce récit passionnant filmé avec sobriété comme pour laisser plus de place à une histoire puissante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par La Rédaction
Adapté d'un roman de Philip Roth et servi par une belle distribution, ce drame familial évoque aussi bien la radicalisation que I'amour filial. Poignant.
LCI
par Marilyne Letertre
Un bel encouragement amplement mérité pour ce coup d’essai.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un film émouvant, superbement réalisé et magnifiquement interprété par ses trois comédiens principaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Le geste d'un vrai auteur.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Mêlant l'intime et l'Histoire, ce drame, solidement interprété, est une réussite.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Fort d’un roman original en béton pour cimenter sa trame, American Pastoral, le film, n’en demeure pas moins une œuvre riche et passionnante qui rappelle la primauté du matériau littéraire sur l’objet filmique, aussi bon soit-il.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Elle
par Françoise Delbecq
Ewan McGregor ne signe pas un film d'auteur flamboyant mais un travail honnête.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L’adaptation longtemps repoussée d’un roman de Philip Roth, qui privilégie plus le drame familial que la vision sociale.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Pour son premier film en tant que réalisateur, Ewan McGregor n’a pas choisi la facilité en adaptant la saga de Philip Roth : tout en restant très classique dans sa mise en scène, celui qui tient aussi le premier rôle réussit à rendre tout le désespoir d’un homme confronté à l’éclatement de sa famille, en même temps qu’à l’explosion d’une Amérique en plein conflit social et racial.
Ouest France
par La Rédaction
Comme un téléfilm de luxe, pas désagréable mais simpliste.
Première
par Frédéric Foubert
Le résultat ressemble à un téléfilm de luxe, très carré, très propre, très sage, pas désagréable mais jamais dérangeant, tirant la prose de Roth vers une lecture assez réactionnaire et univoque.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Nathalie Dassa
Ewan McGregor, qui fait ses débuts derrière la caméra, parvient à tirer son épingle du jeu, malgré une mise en scène encore timide et mélo.
Télérama
par Samuel Douhaire
(...) ce que Ewan McGregor perd en complexité, il le gagne en émotion grâce à ses interprètes. S'il lui manque un chouïa de charisme pour incarner un personnage aussi magnétique que « le Suédois », il obtient le meilleur de Jennifer Connelly, et surtout de Dakota Fanning, dans le rôle éprouvant de Merry.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télérama
par Samuel Douhaire
Legrand roman de Philip Roth adapté de façon élégante, mais sans sa férocité ni sa profondeur.
Voici
par La Rédaction
On peut blâmer l'audace presque coupable d'avoir voulu adapter l'un des plus grands livres de Philip Roth (Prix Pulitzer) sans en restituer la richesse et la complexité. Ou saluer son désir sincère et un résultat honorable.
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Ce qu'il y avait à dire sur ce personnage cristallisant la fin des idéaux américains se traduit au final en psychodrame de base.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Fabien Reyre
(...) l’échec du film, curieusement, ne vient pas d’un trop plein mais, au contraire, d’une forme d’aplatissement de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Justin Kwedi
Une adaptation trop sage et timorée d'un classique littéraire contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le récit, corseté par une architecture alambiquée, se réduit au point de vue du père ; on n’assiste que de loin à l’évolution de la fille. D’où un mélodrame trop dévitalisé, flou et fragmentaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Jean-Sébastien Massart
Cette obsession puritaine fait d’American Pastoral un mélodrame hanté par la chute, parfois plus proche de Tennessee Williams que du roman de Philip Roth (« Pastorale américaine ») dont il n’est pas, heureusement, la servile adaptation.
Le Figaro
par La Redaction
McGregor, qui n'aurait pas dû s'offrir le rôle principal, présente un film honnête, un peu contrit. On ne dira pas de mal de quelqu'un qui met Jennifer Connelly au générique…
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si le scénario et la mise en scène témoignent d’une bonne compréhension des enjeux du texte, ils s’en tiennent à cette modeste réussite, scolaire et appliquée. Heureusement, Jennifer Connelly en reine de beauté qui refuse de se laisser emporter par le flot de l’histoire apporte une touche de démesure.
Les Fiches du Cinéma
par Astrid Jansen
Le défi majeur d’Ewan McGregor consistait à retranscrire la richesse des mots de Philip Roth. Hélas, si “American Pastoral” est un film maîtrisé de bout en bout, sa linéarité est aussi sa limite.
Positif
par Adrien Gombeaud
La réalisation (...) paraît si peu inspirée que l'on se demande ce qui a motivé le passage derrière la caméra de cet excellent comédien.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
McGregor montre non seulement qu’il n’a rien compris au roman, mais dévoile aussi le fond réactionnaire de sa lecture.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Tout, dans le film, sent la reconstitution. Figé dans son jeu, l’acteur-réalisateur l’est encore plus dans sa mise en scène, qui s’accroche aux grandes lignes du récit là où il aurait fallu creuser les rapports entre les personnages et les archétypes qu’ils incarnent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
20 Minutes
Les rapports père-fille sont au centre de ce récit passionnant filmé avec sobriété comme pour laisser plus de place à une histoire puissante.
Femme Actuelle
Adapté d'un roman de Philip Roth et servi par une belle distribution, ce drame familial évoque aussi bien la radicalisation que I'amour filial. Poignant.
LCI
Un bel encouragement amplement mérité pour ce coup d’essai.
Le Parisien
Un film émouvant, superbement réalisé et magnifiquement interprété par ses trois comédiens principaux.
Studio Ciné Live
Le geste d'un vrai auteur.
Télé 7 Jours
Mêlant l'intime et l'Histoire, ce drame, solidement interprété, est une réussite.
aVoir-aLire.com
Fort d’un roman original en béton pour cimenter sa trame, American Pastoral, le film, n’en demeure pas moins une œuvre riche et passionnante qui rappelle la primauté du matériau littéraire sur l’objet filmique, aussi bon soit-il.
Elle
Ewan McGregor ne signe pas un film d'auteur flamboyant mais un travail honnête.
Le Dauphiné Libéré
L’adaptation longtemps repoussée d’un roman de Philip Roth, qui privilégie plus le drame familial que la vision sociale.
Le Journal du Dimanche
Pour son premier film en tant que réalisateur, Ewan McGregor n’a pas choisi la facilité en adaptant la saga de Philip Roth : tout en restant très classique dans sa mise en scène, celui qui tient aussi le premier rôle réussit à rendre tout le désespoir d’un homme confronté à l’éclatement de sa famille, en même temps qu’à l’explosion d’une Amérique en plein conflit social et racial.
Ouest France
Comme un téléfilm de luxe, pas désagréable mais simpliste.
Première
Le résultat ressemble à un téléfilm de luxe, très carré, très propre, très sage, pas désagréable mais jamais dérangeant, tirant la prose de Roth vers une lecture assez réactionnaire et univoque.
Transfuge
Ewan McGregor, qui fait ses débuts derrière la caméra, parvient à tirer son épingle du jeu, malgré une mise en scène encore timide et mélo.
Télérama
(...) ce que Ewan McGregor perd en complexité, il le gagne en émotion grâce à ses interprètes. S'il lui manque un chouïa de charisme pour incarner un personnage aussi magnétique que « le Suédois », il obtient le meilleur de Jennifer Connelly, et surtout de Dakota Fanning, dans le rôle éprouvant de Merry.
Télérama
Legrand roman de Philip Roth adapté de façon élégante, mais sans sa férocité ni sa profondeur.
Voici
On peut blâmer l'audace presque coupable d'avoir voulu adapter l'un des plus grands livres de Philip Roth (Prix Pulitzer) sans en restituer la richesse et la complexité. Ou saluer son désir sincère et un résultat honorable.
CinemaTeaser
Ce qu'il y avait à dire sur ce personnage cristallisant la fin des idéaux américains se traduit au final en psychodrame de base.
Critikat.com
(...) l’échec du film, curieusement, ne vient pas d’un trop plein mais, au contraire, d’une forme d’aplatissement de son sujet.
Culturopoing.com
Une adaptation trop sage et timorée d'un classique littéraire contemporain.
L'Humanité
Le récit, corseté par une architecture alambiquée, se réduit au point de vue du père ; on n’assiste que de loin à l’évolution de la fille. D’où un mélodrame trop dévitalisé, flou et fragmentaire.
La Septième Obsession
Cette obsession puritaine fait d’American Pastoral un mélodrame hanté par la chute, parfois plus proche de Tennessee Williams que du roman de Philip Roth (« Pastorale américaine ») dont il n’est pas, heureusement, la servile adaptation.
Le Figaro
McGregor, qui n'aurait pas dû s'offrir le rôle principal, présente un film honnête, un peu contrit. On ne dira pas de mal de quelqu'un qui met Jennifer Connelly au générique…
Le Monde
Si le scénario et la mise en scène témoignent d’une bonne compréhension des enjeux du texte, ils s’en tiennent à cette modeste réussite, scolaire et appliquée. Heureusement, Jennifer Connelly en reine de beauté qui refuse de se laisser emporter par le flot de l’histoire apporte une touche de démesure.
Les Fiches du Cinéma
Le défi majeur d’Ewan McGregor consistait à retranscrire la richesse des mots de Philip Roth. Hélas, si “American Pastoral” est un film maîtrisé de bout en bout, sa linéarité est aussi sa limite.
Positif
La réalisation (...) paraît si peu inspirée que l'on se demande ce qui a motivé le passage derrière la caméra de cet excellent comédien.
Cahiers du Cinéma
McGregor montre non seulement qu’il n’a rien compris au roman, mais dévoile aussi le fond réactionnaire de sa lecture.
L'Obs
Tout, dans le film, sent la reconstitution. Figé dans son jeu, l’acteur-réalisateur l’est encore plus dans sa mise en scène, qui s’accroche aux grandes lignes du récit là où il aurait fallu creuser les rapports entre les personnages et les archétypes qu’ils incarnent.