Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
(...) c'est un très joli mélodrame. La réalisatrice Shona Auerbach touche avec une sensibilité délicate à des thèmes graves, la maltraitance, le mensonge, la solitude, en les équilibrant d'un amour constant et d'une douceur profonde, sans mièvrerie.
Score
par G.D Jones
L'habileté de la réalisatrice est de raconter cette histoire pathos avec une vraie pudeur. Pas d'effets larmoyants ni de trémolos, mais une mise en scène dépouillée et des acteurs incroyables.
La critique complète est disponible sur le site Score
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Thriller psychologique, Dear Frankie ne court après les grands moments d'émotion façon Billy Elliot. Au contraire, la réalisatrice nous montre une Ecosse réaliste, loin des cartes postales, et des personnages à la fois durs et tendres qui ne cherchent surtout pas la pitié du spectateur.
Ouest France
par La Rédaction
Une histoire toute simple, qui cultive les bons sentiments avec tant de fraîcheur et de naïveté assumées qu'elle finit par y trouver sa séduction. Avant de se boucler sur une pirouette finale plutôt maligne, ce mélodrame familial joue gentiment sa partition mélo, portée par des interprètes d'une efficacité directe dans l'expression de sentiments authentiques.
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guérand
En évitant toutes les chausse-trapes inhérentes à son sujet, Shona Auerbach réussit un premier film bouleversant.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Florence Colombani
Si Dear Frankie commence comme une peinture plutôt délicate de la vie quotidienne dans une petite ville d'Ecosse, il bascule assez vite dans un véritable cauchemar pour psychanalyste.[...] Comme son héroïne, Dear Frankie oublie les vertus, aussi valables en art qu'en pédagogie, de la sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Gael Golhen
A l'origine, Dear Frankie devait être un court métrage et ça se sent : l'intrigue traîne en longueur. Mais le film finit par imposer son rythme languissant et sa petite musique pointilliste qui dessinent une émouvante relation mère-fils.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Pierre Murat
C'est un conte : on passe donc sur les invraisemblances. Mais la réalisatrice (dont c'est le premier film) a du mal à parer jusqu'au bout son historiette sentimentale de mystère et de sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
Pour son premier long-métrage, la photographe Shona Auerbach a de jolies idées de scénario mais l'accumulation des clichés finit par nous faire basculer du côté du téléfilm larmoyant. Reste le charme de l'actrice principale, Emily Mortimer.
Les Inrockuptibles
par Alexandre Chabert et Hugo Lopez
Un conte simpliste et naïf
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Figaroscope
(...) c'est un très joli mélodrame. La réalisatrice Shona Auerbach touche avec une sensibilité délicate à des thèmes graves, la maltraitance, le mensonge, la solitude, en les équilibrant d'un amour constant et d'une douceur profonde, sans mièvrerie.
Score
L'habileté de la réalisatrice est de raconter cette histoire pathos avec une vraie pudeur. Pas d'effets larmoyants ni de trémolos, mais une mise en scène dépouillée et des acteurs incroyables.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
Thriller psychologique, Dear Frankie ne court après les grands moments d'émotion façon Billy Elliot. Au contraire, la réalisatrice nous montre une Ecosse réaliste, loin des cartes postales, et des personnages à la fois durs et tendres qui ne cherchent surtout pas la pitié du spectateur.
Ouest France
Une histoire toute simple, qui cultive les bons sentiments avec tant de fraîcheur et de naïveté assumées qu'elle finit par y trouver sa séduction. Avant de se boucler sur une pirouette finale plutôt maligne, ce mélodrame familial joue gentiment sa partition mélo, portée par des interprètes d'une efficacité directe dans l'expression de sentiments authentiques.
TéléCinéObs
En évitant toutes les chausse-trapes inhérentes à son sujet, Shona Auerbach réussit un premier film bouleversant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Si Dear Frankie commence comme une peinture plutôt délicate de la vie quotidienne dans une petite ville d'Ecosse, il bascule assez vite dans un véritable cauchemar pour psychanalyste.[...] Comme son héroïne, Dear Frankie oublie les vertus, aussi valables en art qu'en pédagogie, de la sincérité.
Première
A l'origine, Dear Frankie devait être un court métrage et ça se sent : l'intrigue traîne en longueur. Mais le film finit par imposer son rythme languissant et sa petite musique pointilliste qui dessinent une émouvante relation mère-fils.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
C'est un conte : on passe donc sur les invraisemblances. Mais la réalisatrice (dont c'est le premier film) a du mal à parer jusqu'au bout son historiette sentimentale de mystère et de sensibilité.
Zurban
Pour son premier long-métrage, la photographe Shona Auerbach a de jolies idées de scénario mais l'accumulation des clichés finit par nous faire basculer du côté du téléfilm larmoyant. Reste le charme de l'actrice principale, Emily Mortimer.
Les Inrockuptibles
Un conte simpliste et naïf