Allez, on enfile le troisième ! Coup de baguette magique, et le voilà accompagné de touts les petits trucs qui feront de lui le pire rejeton de la saga shrek ! Allez, on commence sur des chapeaux de roue en parlant de l'histoire, qui parle d'héritage relégué à l'un des défauts du film : Arthur ! Lui, c'est le sosie de chicken little : on ne sait pas pourquoi tout le monde dans son école le torture et on ne saura sûrement jamais ! C'est quand même dur d'inventer un scénario même dans touts les recoins que les studios n'ont pas voulu se torturer ! Donc, ce fameux Arthur, qui, au premier petit discours, commence bien son numéro pour finalement tomber dans une des catégories de parlotte les plus égoistes jamais vues ! Bien sûr, avant cette aventure on a bien droit à une scène de départ, qui est en fait la plus réussie du film ! à savoir aussi qu'on peut voir exactement la même scène dans le quatrième épisode, ce qui nous fait voir à quel point on travaille !!!! En fait, cette grosse scène comprend 2 parties, une avec une BO plutôt correcte, ce qui reste un des meilleurs points du film. La seconde partie est la plus similaire au début de shrek 4 : au moins il faut dire qu'elle est réussie au niveau de la mise en scène, même ayant la structure déjà vue des centaines de fois des évènements en chaîne, allant de mal en pis. Dans le reste du film, on pourrait croire à ce qu'il y ait une once de morale sociale sur les enfants de shrek, très bien réalisés d'ailleurs, mais non, toujours pas de choses qui pourraient faire la différence avec un de ces films trop basiques, et bien sûr, shrek le troisième en est un. La règle des séries, c'est de toujours proposer de nouveaux personnages pour encore plus de folie, comme quoi, plus on est fous plus on rit ; shrek le troisième essaye mais rajoute des personnages iréutilisable une seconde fois, regardez shrek 4 pour voir qu'ils ont vu leurs nombreuses erreurs pour finalement totalement rayer de la carte des personnages, je ne dirais pas clé, mais tout de même qui formait une chaîne charmante. Bon, vous l'avez peut-être déjà devinné, mais on voit beaucoup des défauts de ce troisième épisode en regardant le quatrième, et ça tombe complètement sous le sens, je sais, et je vais plutôt vous dire concrètement ce que j'en ai pensé avant avoir regardé le dernier venu. Je vous parlais donc des personnages, et là je crois que les doubleurs peuvent nous donner un des défauts, que je vais illustrer par une phrase que j'ai beaucoup vérifié : Le loup ne prononce qu'une phrase et un petit et ridicule grognement. C'est tout de même honteux, non ? Aussi, ils devraient réfléchir au fait que la musique entraînante ne fait pas tout ; on a droit à, comme le premier shrek et le deuxième l'avait très bien fait, des scènes soit-disant rythmé, mais si on coupe le son, c'est vraiment ennuyeux ! Je reconnais quand même que dreamworks a voulu donner quelques lettres au film, c'est-à-dire quelques scènes qui se démarquent des autres par une folie déclaré loufoque, mais ça devient du n'importe quoi mais on voit qu'ils étaient dans leurs propres délires scénaristiques et nous on va essayer de les comprendre, même si ces petites variantes qui se comptent sur les doigts d'une main ne sauvent pas le reste. La meilleure reste celle du rêve de shrek, qui est lui totalement déjanté (qu'est ce que vous voulez ? C'est un rêve...), mais ça fait du bien un peu d'air frais dans un four... Oui, vous n'avez pas la berlue, j'ai comparé shrek le troisième à un four ! Il y a quelques lignes je vous ai épluché des choses qui avait des points forts mais qui n'auraient même pu ne pas figurer dans le film, mais si je vous parlait du reste, ce que cela donne finalement... Déjà, il massacre totalement l'une des folies furieuses, tout en restant sérieux (ce que shrek 3 n'arrive pas à faire...), je veux bien parler du prince charmant, qui était un personnage pour la première fois devenu arrogant et compilant touts les défauts qu'on pourrait avoir, et donc brisant touts ses codes, mais là, le personnage en devient un personnage in croyablement insipide, si ce n'est totalement raté ! Les fameuses princesses sont quand même assez ridicules, mais ce n'est pas shrek qui veut, et voilà comme ça qu'on massacre totalement l'humour des autres shrek, car ici on dirait que c'est un gars qui est tout le temps dans son ordinateur qui a écrit une majeure partie du scénario : Arthur, une deuxième fois mentionné par moi-même et qui va vous l'expliquer : ce personnage est trop basique, une sorte d'intelligence artificielle qui se montre finalement malin, mais comment voulez vous qu'on s y accroche ? Ses actions sont toutes prévisibles, et ça durant tout le film... Et c'est là qu'on voit l'implication minimale des studios ; à vouloir en faire beaucoup, ils en ont fait trop conclusion : la soupe est bonne seulement si on apprécie le légume dedans, c'est-à-dire un humour honteux et finalement ridicule, même si à la fin la soupe a un bon goûtcaché