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Sébastien D
107 abonnés
545 critiques
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4,0
Publiée le 7 octobre 2020
Autant l'histoire avec le nouveau roi est pas très interessante, autant tous les autres personnages sont géniaux. Merlin est super drôle, Charmant et sa revanche c'est une très bonne idée. Les filles sont hyper badass, le clan des méchants est excellent, les répliques drôles fusent et y a pas mal de jeux de mots absurdes qui m'ont beaucoup plu. Une bonne suite.
Si la réalisation est toujours aussi propre, le scénario n'est plus à la hauteur. Manque de rythme, répliques sans surprises. Quand on tire trop sur la corde...
Assez innovant, toujours avec un style particulier qui caractérise bien le genre, les blagues sont assez efficaces même si j'ai trouvé qu'elles peuvent paraître un peu excessives, on passe un bon moment en regardant ce film.
Enfin je vois ce Shrek le troisième. C’est vraiment sympa, disons qu’il est de qualité équivalente au 2 et au 4, le premier étant biensur un bon cran au dessus. Tout les personnages sont là, l’histoire et honnête, l’humour présent et puis j’aime bien la durée assez courte !
Le shrek qui fait déborder le vase. Le scénario est catastrophique et l'humour n'est pas aussi réussi que dans le second. L'histoire n'est pas très percutante, les personnages perdent de leur charme. Un gros fail a oublier. note 3/10
Un peu la sensation de voir la même chose . Rien de bien original, même si tout est bien fait. Dommage de trop tirer sur la corde. Mais c'est suffisant pour les enfants en bas âge, pour passer un bon moment.
Quelques franches rigolades (soyons francs: bien plus nombreuses que dans le second opus) sauvent ce troisième volet qui reste tout de même décevant dans son scénario mièvre (plus que Disney), son animation ratée (Ils doivent se gausser chez Pixar), et sa grossièreté infantile. A voir un dimanche soir de déprime...
Encore plus mauvais que les deux premiers et franchement j'ai fais un effort en y allant sans apprioris. Très déçu parce qu'il n'y a rien à sauver dans le film. Les seuls point positifs du premier et du deuxième opus sont totalement oubliés il ne reste plus que le négatif et un film qui dure 1h10, sa sens bon l'arnaque. Shrek ne fait absolument par rire le comble pour un film qui s'appelle Shrek. Par contre comme d'habitude les personnages secondaires sont bien rigolos comme pinochio, le chat, l'âne ou encore le top du top petit biscuit qui est lui belle et bien à mourir de rire. Hormis sa ben il reste rien et un scénario plus que bancal. C'est bon quand on a dix ans mais voila quoi.
Certes, il était très difficile (voire impossible) de surpasser "Shrek 2" qui reste l'un des meilleurs dessins animés qui soit. Etait-ce une raison pour que Dreamworks se repose sur ses lauriers en refusant de renouveler la saga et en se contentant d'une intrigue un peu paresseuse qui exploite ce qui fonctionnait dans les deux opus précédents, l'effet de surprise en moins. Ce troisième épisode est donc sans grande surprise mais réussit à nous rappeler, au détour d'une scène, pourquoi la saga a autant de succès. On retrouve ainsi un Shrek (toujours doublé en VF par Alain Chabat) qui se voit intronisé Roi par intérim, Fiona en jeune mère combative, l’Âne et le Chat Potté qui se tirent la bourre, un Prince Charmant très méchant mais également quelques nouveaux parmi lesquels un jeune Artie (clone un peu falot d'Arthur), un Merlin complètement gâteux et toutes une flopée de princesses aussi drôles que superficielles. Le scénario a veau être un peu prévisible, il nous réserve quelques gags très réussis comme la présentation de l'école d'Artie (excellente parodie des campus US), l'échange des corps entre l’Âne et Potté (avec ce plan invraisemblable sur l’Âne faisant le regard tout mignon de Potté) ou encore l'assaut de Fort Fort Lointain par les parias de conte de fées (avec, comme summum de la délinquance, le décollage des timbres de lettres à poster)... Malheureusement, on ne peut que regretter le ton beaucoup trop moralisateur de ce troisième épisode (les doutes de Shrek sur son rôle de père entre autres), ce qui n'était pas le cas des premiers opus ainsi que la carence étonnante sur le plan des références ciné qui faisait la richesse de la saga. Dommage également que le scénario ne creuse pas le sillon d'une éventuelle filiation entre Charmant et Artie (qui parait pourtant plus que probable mais qui n'est, au final, pas clairement évoqué). Enfin, la mise en scène est beaucoup moins rythmée que celle du précédent opus. "Shrek 3" est donc une petite déception mais reste tout à fait divertissant... bien qu'il s'adresse davantage aux enfants que ses illustres prédécesseurs, bien plus matures. Espérons que le quatrième opus redressera la barre.
Au dessus techniquement ce troisième opus prend la tasse et va bien en dessous dans le fond. La forme reste très belle (on sent très bien l'évolution graphique) mais que la trame semble inutile et mièvre. On sourit une dizaine de fois tout au long du film et s'esclaffe à peine 2 fois dans cette petite dizaine. Beaucoup de blabla, quelques blagues subtiles ou fines (visuellement ou verbalement) le tout sans le réchauffer fade. Chose la plus insupportable, la musique à tout va pop-rock-fm de titres repris et détournés (mais que vient faire "9 crimes" de Damien Rice pour illustré tel un mini clip une séquence mièvre au possible, c'est dur, très dur pour cette sublime chanson)... On en resort avec le plaisir d'avoir retrouver tous les personnages mais hélas ces derniers sont arrivés au bout de ce que le premier opus pouvait donné d'original encore une partie 4 pour se rattraper sinon ce serait vraiment de trop...passable, l'attente de la sortie en vidéo est de mise...
« Shrek le troisième » nous permet de retrouver avec bonheur les aventures de l’ogre le plus célèbre du monde dans le royaume de Fort Fort Lointain. On y retrouve avec plaisir les personnages des opus précédents rejoints par une nouvelle fournée de héros venus d’autres contes, comme le Capitaine Crochet, les princesses Blanche-Neige, Cendrillon ou une Raimponce à contre-emploi… L’humour est toujours aussi présent avec notamment une déconstruction jubilatoire des effets musicaux et un détournement des attributs et attitudes des personnages, voire carrément une parodie comme Merlin en gourou new-age. L’histoire n’est pas la plus complexe de la saga : parti chercher un héritier pour le remplacer sur le trône, Shrek doit affronter à son retour Charmant qui s’est emparé du royaume, mais elle est surtout prétexte à accumuler les situations à haut potentiel comique. Après tout c’est surtout ça qu’on est venu chercher. En somme un bon Shrek qui fera plaisir aux petits comme aux grands, même si ces derniers seront parfois les seuls à comprendre certaines vannes. À déguster sans retenue ni hésitation.
Un Shrek toujours aussi sympathique mais pas aussi transcendant que les precedents. Ca manque de references cinématographiques qu'on aimait tant dans les deux precedents opus du coup le film perd en maturité et c'est dommage car il reste que du Shrek très mielleux. On rigole quand même quelques fois mais sans plus. Pas indispensable à voir quand on a vu les deux premiers.
Je ne suis pas un grand fan de Shrek, mais je dois bien avouer que le second film m'avait plutôt emballé. Ce qui est loin d'être le cas de ce troisième... A trop vouloir refaire appel à la plupart des personnages de la saga, le scénario en a été oublié, au point que la surdose de caricatures et de blagues à deux balles font de Shrek le Troisième un film d'animation lourd, sans imagination et rarement drôle. Même les meilleurs personnages (l'Âne et Chat Potté) n'arrivent pas à se démarquer autre que pendant le générique de fin. Cela reste un divertissement, mais bien en-dessous de ce que peut nous livrer DreamWorks. Et je ne parle même pas de Pixar!
Difficile d'attribuer une note au numéro 3 d'une saga. Cette difficulté, déjà perçue pour "Spider Man 3" et "Pirates des Caraïbes, jusqu'au bout du Monde", est peut-être encore plus importante pour "Shrek le Troisième". En effet, l'enthousiasme devant "Shrek" provenait de la nouveauté iconoclaste, du choix de ce antihéros décalé et du dynamitage de l'univers traditionnel des contes et de leurs adaptations disneyennes. Cet engouement avait commencé à s'éroder au numéro deux, d'autant plus qu'il souffrait d'un excès de clins d'oeils parodiques à la culture pop qui obscurcissaient l'intigue.
Pour ce troisième épisode, vient s'ajouter la complexité de réembaucher les nombreux personnages apparus lors des deux premiers, et l'action n'y gagne certainement pas en fluidité. Les scénaristes ont décidé de s'attaquer à la légende arthurienne, et de confronter Shrek aux affres de sa future paternité. L'incursion du côté des chevaliers de la Table Ronde n'apporte pas grand chose, et la transformation de Camelot en un campus américain donne lieu à une caricature assez indigente ; Merlin foire ses tours (ahah), ce qui permet une idée plutôt réussie, à savoir l'échange de corps entre l'Âne et le Chat Potté.
Par contre, la réaction du géant vert devant la perspective de sa paternité est assez savoureuse, et son cauchemar où il finit sous une avalanche de Shreks juniors constitue un des meilleurs moments du film. C'est le versant positif d'un triste constat : Shrek a vieilli, il s'est assagi et même embourgeoisé, perdant ainsi son côté crade, irrascible et insubordonné. Et s'il revient au bouge natal, ce come-back rousseauiste n'est que l'ultime capitulation devant l'entrée dans l'âge adulte.
Il faudra aux scénaristes des épisodes 4 et 5 déjà en chantier un sacré regain d'imagination pour sortir leur héros verdâtre de ce piège amollissant et lénifiant ; la volonté de viser tous les publics (séance de ce matin de 5 à 80 ans, avec des bambins qui décrochent rapidement) risque fort de les dissuader de prendre ce tournant nécessaire.