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Leo S
23 abonnés
17 critiques
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2,5
Publiée le 30 avril 2011
Suivre le parcours d'un ex taulard devenu grande figure de la boxe thai, "il n'y a cas voir son palmarès". Voila un sujet des plus intéressant, surtout quand c'est une histoire vrai et que le personnage est campé par le champion lui même. le film n'est pas mauvais, il y a de jolies plans et les scènes de combats sont bien filmé, les acteurs sont bons. Mais voila le film est plutôt avare en dialogues et les émotions ne passent pas vraiment, le spectateur à du mal a sentir ce que "Dida" a endurer, vécue, ressenti, et à quel point son parcours a était exemplaire et difficile.
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2,0
Publiée le 13 juin 2015
Dans la vie quand on veut vraiment, on peut faire les choses! La Thaïlande a vèritablement changè la vie de Dida Diafat! il est rare quand même de voir un grand champion au parcours difficile se reconvertir dans le cinèma et d'y rèussir pleinement. "Chok Dee" est une histoire d'initiation sur la boxe! Ni plus ni moins! Sauf que ce troisième long-mètrage de Xavier Durringer est inègal avec pas mal de clichès sur les notions de travail, de volontè et de tolèrance! Boxer dans le temple avec tous les parieurs fut sans doute un bonheur pour Dida Diafat mais l'ensemble ne rèserve guère de surprises! Certes, Dida est crèdible dans tout ce qu'il fait à l'ècran, dans ses combats comme dans ses chorègraphies! Mais la mayonnaise ne prend jamais et le scènario est beaucoup trop classique pour capter l'attention du spectateur! Seules quelques belles sèquences de combats filmèes au ralenti accrochent un tant soit peu! On notera que ce fut le dernier film de Bernard Giraudeau avant que la maladie ne l'emporte...
Franchement, ce n'est pas le genre de film que je vais voir. D'ailleurs, je ne suis pas allé le voir lors de sa sortie. heureusement, la télé m'a offert une séance de rattrapage que je ne regrette pas. Le personnage est attachant. Le scénario est certes ultra-classique mais il est solide. Il y a juste ce qu'il faut de scènes de combat. Au final, une bonne surprise.
C'est pas le film de l'année clairement. Mais il, se dégage une petite tendresse du personnage principal et les combats de Muay-thaï sont intéressants à suivre, sans être transcedant.
Pour faire simple dans un premier temps je dirai que je trouve dommage que le personnage principal, Ryan, ait aussi peut de charisme. Je trouve qu'il fait beaucoup trop le petit voyou du coin. La force de Chok dee réside principalement dans la progression instinctive du personnage, tirée en partie de la vie réelle de son acteur principal, et non dans les combats brutaux très réussi (réaliste). La relation réalité/fiction manque parfois dun équilibre comme par exemple la romance entre Dida et Kim qui fait très cliché. Mais bon, on peut dire que cela a le mérite de nous faire croire quil faut se battre pour cette vie que lon souhaite mener avec envie...
Si Chok Dee est un film d'arts martiaux, moi je suis King Kong, c'est à classer en drame. Déjà, le début n'incite pas à regarder la suite tellement tout sonne faux, Giraudeau en entraîneur de boxe thaï, waaaouuuuhhh, l'ambiance de la prison, le rythme inexistant, le jeu mou et la platitude des acteurs, tout concoure à jeter ce film aux oubliettes. La phase d'entraînement de Ryan (Didat Diafat) est quasiment insignifiante, le scénario est affligeant et d'un ennui mortel. Dommage pour Bernard Giraudeau dont ce fut le dernier film où il joua un rôle assez secondaire, dirons-nous. Cette tentative de film d'auteur par Xavier Durringer est un échec, même si l'acteur principal joue son propre rôle, puisqu'il s'agit de sa propre histoire. N'est pas réalisateur-auteur qui veut. L'essai est louable, sans plus, à savoir cependant que Didat Diafat a été 11 fois champion du monde de muay-thaï. Son vrai mérite est de montrer la persévérance, l'abnégation et l'opiniâtreté dont il a fait preuve pour parvenir à ce niveau puis d'avoir transposer son sport dans les banlieues pour sortir les jeunes de la délinquance. Il a fait sien le proverbe "À cœur vaillant, rien d’impossible".
Un film qui comporte un scénario pas très prenant. De plus l'acteur principal, DIDA, joue mal. Ce film est une déception pour moi, même si il à le mérite de nous faire découvrir la culture thaïlandaise.
Il est dommage qu’avec d’aussi bons pratiquants de boxe thaï, entre autres, le champion français Dida, on aboutisse à un résultat visuel aussi médiocre. La notion d'espace dans les chorégraphies est chaque fois très mal gérée, les prises de vue souvent trop brèves, et les angles peu révélateurs. On se rend compte qu’on ne s’improvise pas Jimmy to, Kim Jee-Woon, Yoo Ha ou tous ces nombreux jeunes virtuoses asiatiques de la castagne stylisée. Quand à l'intrigue, là encore, la déception est grande. Les ressorts dramatiques du départ plutôt solides, se transforment en eau de boudin, faute d’avoir travaillé les détails scénaristiques, affiné les contours psychologiques des personnages, et exploité de manière plus réaliste le contexte ambiant thaïlandais. Ggggrrr !
Avec des concurrents comme Million dollar baby, Raging bull ou Ali, c'est vrai qu'il est dur de trouver une place au soleil des films de boxe. Si Chok Dee beneficie d'un casting francais et d'une idée pas franchement mauvaise (quoique assez basique) le realisateur ne va pas voir plus loin que son nez et n'explore pas des contrées qui étaient pourtant assez accesibles. Pas mauvais, pas génial, au milieu quoi...
Un film biographique sur un gosse de banlieue - Dida - devenu champion de boxe Thaï. Nous sommes tout à fait dans la mouvance actuelle, s'intéressant aux difficultés des jeunes des banlieues issus de l'immigration . Le film n’est pas comme on aurait pu s’y attendre une succession de combats mais plutôt une vue romantique du parcours d’un jeune vers un idéal qui l’aidera à se sortir de son destin mal engagé en prison. De ce point de vue le film est méritoire et si le héros n’est pas un acteur professionnel il est bien épaulé par Bernard Gira udeau qui apporte sa caution au projet. On n’évite pas les clichés sur la quantité d’efforts consentie par Dida qui passe par toutes les épreuves avant d’atteindre les sommets de son art. Tout ceci est bien sûr magnifié et romancé et souvent Dida est présenté comme le nouveau Kwei Chang Ken, héros de la série Kung-Fu des années 70. On frôle donc quelque fois l’image d’Epinal mais un peu de fraîcheur dans l’ambiance actuelle ne peut pas faire de mal.
Biopic sur Dida qui fut 11 fois champion du monde de boxe thaïe . Un des derniers rôle de Bernard Giraudeau. Prenant malgré quelques inperfections. 3 étoiles.