Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
France Soir
par Gérald Mathieu
Contrairement à la plupart des films de combats, Chok Dee sonne vrai. Les scènes sont criantes de vérité (...). Ce réalisme, Dida (...) en avait rêvé, Xavier Durringer l'a fait. (...) Touchant, appliqué et doué d'une incroyable présence, le natif d'Alger crève l'écran. (...) Dida réussit pour son véritable coup d'essai (...) un coup de maître.
Paris Match
par Alain Spira
Chok Dee est une histoire véridique, digne de Rocky, racontée avec efficacité, avec pour héros le vrai champion dans son propre rôle. Et c'est la révélation. Dida crève l'écran non seulement de ses poings et de ses coudes, mais aussi par la volonté qu'il dégage. (...) Si les combats font dans le réalisme saisissant, la violence, elle, est sportive, initiatique.
Cahiers du Cinéma
par Xavier Tresvaux
Peu d'hommes excellents dans le cinéma français. (...) Nous qui cherchons à nous affermir par le cinéma sommes prêts à abandonner nos critères habituels d'évaluation quand justement des admirables se présentent. La banalité de l'économie narrative de Chok Dee s'oublie vite devant la morale athlétique de Dida (...). Le film fait mieux que s'inspirer de sa vie, il lui offre de la rejouer live, de la mettre en scène -son aptitude à contrôler son placement dans l'espace s'ajoutant au savoir-faire de (...) Durringer.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Les maladresses d'écriture de la fin, un peu trop lourdement mélo, n'empêchent pas Chok Dee d'être un excellent film, aussi captivant par sa mise en scène que par le destin qu'il raconte. (...). Remarquablement dirigé par Xavier Durringer, Dida forme avec Giraudeau un très attachant tandem de maître et disciple.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L'un des films les plus curieux et attachants du moment. (...) Il se partage entre la tentation du romanesque et la reconstitution documentée de l'itinéraire de son acteur principal. (...) La tentation est grande d'exalter l'acteur pour mieux rejeter le film, en prétendant que celui-là n'existe qu'en vertu de celui-ci. Ce serait une erreur de le croire, puisque l'acteur existe précisément comme tel (...) grâce au film et au contraste que celui-ci met délibérément en scène, notamment entre documentaire et fiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Pierre Murat
Xavier Durringer filme l'odyssée de Ryan (...) avec vélocité. Il se tire avec brio de toutes les figures qu'impose le genre (...). Il peint le monde de la boxe thaïe avec la même férocité que le milieu interlope de J'irai au paradis... : mélange de pure noblesse et de magouilles sordides. Sur la fin, le film perd de sa force (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Eric Coubard
Les acteurs sont bons, d'ailleurs le film n'est pas mauvais du tout, mais manque de lyrisme, de profondeur, de grandeur d'âme. Tout ce qu'est certainement Dida, mais que n'a pas su mettre en valeur le réalisateur.
Cinéastes
par Alex Somoulaylak
La force de Chok Dee réside principalement dans la progression instinctive du personnage, tirée en partie de la vie réelle de son acteur principal, et non dans les combats brutaux non chorégraphiés. La relation réalité/fiction manque parfois d'un équilibre pertinent, (...) mais cette parabole violentée a le mérite de nous faire croire qu'il faut se battre pour cette vie que l'on souhaite mener avec envie.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Fluctuat.net
par Jérôme Dittmar
Finalement très inégal, mais basé sur un pari plus audacieux qu'il n'y paraît (le film maintient une certaine ampleur sortant le cinéma français de ses contrées ronronnantes), Chok Dee est un film attachant autant par ses qualités que par ses faiblesses, une oeuvre qu'on aurait envie de défendre (malgré la fin catastrophique) jusque dans un combat désespéré.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Michaël Melinard
Au vu du passé de Durringer, on pouvait s'attendre à des dialogues particulièrement travaillés et à la description passionnante d'un milieu. Paradoxalement c'est sur les combats, sans doute là où on l'attendait le moins, qu'il s'avère le plus convaincant. La consolation est maigre quand on connaît les qualités du cinéaste.
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Dans la matière brute épaisse qu'il s'est choisie, Durringer parvient à ciseler un chemin élégant, développant un sens de l'action épuré et utilisant avec intelligence son acteur non professionnel (...) en refusant justement de le faire jouer. Dommage que cette démarche, à l'image de celle, étrange de Ryan, musclée et gracieuse à la fois, ne soit pas mise au service de relations humaines un peu plus consistantes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
C'est terriblement décevant. A part les sèches premières scènes qui ne s'embarrassent pas d'explications et vont vite, Xavier Durringer ne parvient jamais à être original ou simplement à paraître inspiré. (...) Un film qui n'intéressera que les férus de boxe, alors qu'il aurait pu être tellement plus...
Mad Movies
par Fausto Fasulo
Alors que Chok Dee avait les armes adéquates pour être un beau drame mâtiné d'influences issues de divers horizons (film d'arts martiaux, polar...), son réalisateur préféra tout miser sur la personnalité de son interprète, certes attachante, mais pas suffisante pour donner au métrage une certaine "densité". On en sort mitigé, conscient pour le coup que Durringer a malheureusement raté le coche.
Positif
par Fabien Baumann
Une sorte de réalisme poétique joliment désuet qui chante, par-delà la cupidité du monde, la transcendance de l'être-marlou. On veut bien feindre d'y croire, en tout cas jusqu'à ce que le scénario cède au romanesque le plus improbable (...). Et, là, c'est irrémédiablement mauvais.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Interprété par Dida lui-même, pourvu d'un indéniable charisme, le scénario privilégie les combats à la violence graphique. On attendait toutefois de Durringer, dramaturge puissant, un résultat moins conventionnel.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sabine Gros La Faige
Même si Giraudeau joue très bien, la partie fiction, à la limite de la naïveté, alourdit l'histoire plus qu'elle ne la sert. Restent le parcours exemplaire d'un champion qui a le courage de tout abandonner pour repartir de zéro et grandir à l'école de l'humilité.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Chok Dee relate de façon attendue, mais assez efficace, ce parcours édifiant. (...) Et dans la peau de Ryan, Dida lui-même, aussi convaincant à l'écran qu'il l'était sur les rings.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Charlotte Lipinska
La carrière de Dida force le respect et le voilà qui tient -avec talent- le rôle-titre de ce film partiellement adapté de son autobiographie. Mais si son initiation et la véracité des combats impressionnent, on regrette la surcharge d'éléments fictionnels bien artificiels. Dommage.
aVoir-aLire.com
par Nicolas Journet
Autant les scènes de baston sont filmées avec style (...), autant le scénario s'enfonce corps et biens dans une médiocrité sans bornes, démarrant par des scènes de prison dignes d'un téléfilm, abordant toute une série de thèmes sans en traiter aucun. (...) Unique nouveauté du film, la prestation de Dida (...). Dida prend dès son premier passage à l'écran une option pour d'autres aventures cinématographiques, du fait de son charisme incontestable et de sa sensibilité.
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Ouest France
par La Rédaction
La surprise, et la déception, viennent à la lecture du nom de metteur en scène. Car c'est bien de Xavier Durringer qu'il s'agit. Révélé par La nage indienne il y a treize ans, il a confirmé sa réussite en 1996 avec le remuant J'irai au paradis car l'enfer est ici. C'est dire l'attente qu'il suscitait. On est désolé de le voir se noyer dans l'anonymat d'une production nourrie de sentiments simplistes et naïfs.
Score
par Miguelito
Dida joue mal, l'histoire n'est pas prenante et la réalisation se débat entre désir auteuriste et visée commerciale. Aïe.
La critique complète est disponible sur le site Score
France Soir
Contrairement à la plupart des films de combats, Chok Dee sonne vrai. Les scènes sont criantes de vérité (...). Ce réalisme, Dida (...) en avait rêvé, Xavier Durringer l'a fait. (...) Touchant, appliqué et doué d'une incroyable présence, le natif d'Alger crève l'écran. (...) Dida réussit pour son véritable coup d'essai (...) un coup de maître.
Paris Match
Chok Dee est une histoire véridique, digne de Rocky, racontée avec efficacité, avec pour héros le vrai champion dans son propre rôle. Et c'est la révélation. Dida crève l'écran non seulement de ses poings et de ses coudes, mais aussi par la volonté qu'il dégage. (...) Si les combats font dans le réalisme saisissant, la violence, elle, est sportive, initiatique.
Cahiers du Cinéma
Peu d'hommes excellents dans le cinéma français. (...) Nous qui cherchons à nous affermir par le cinéma sommes prêts à abandonner nos critères habituels d'évaluation quand justement des admirables se présentent. La banalité de l'économie narrative de Chok Dee s'oublie vite devant la morale athlétique de Dida (...). Le film fait mieux que s'inspirer de sa vie, il lui offre de la rejouer live, de la mettre en scène -son aptitude à contrôler son placement dans l'espace s'ajoutant au savoir-faire de (...) Durringer.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Les maladresses d'écriture de la fin, un peu trop lourdement mélo, n'empêchent pas Chok Dee d'être un excellent film, aussi captivant par sa mise en scène que par le destin qu'il raconte. (...). Remarquablement dirigé par Xavier Durringer, Dida forme avec Giraudeau un très attachant tandem de maître et disciple.
Le Monde
L'un des films les plus curieux et attachants du moment. (...) Il se partage entre la tentation du romanesque et la reconstitution documentée de l'itinéraire de son acteur principal. (...) La tentation est grande d'exalter l'acteur pour mieux rejeter le film, en prétendant que celui-là n'existe qu'en vertu de celui-ci. Ce serait une erreur de le croire, puisque l'acteur existe précisément comme tel (...) grâce au film et au contraste que celui-ci met délibérément en scène, notamment entre documentaire et fiction.
Télérama
Xavier Durringer filme l'odyssée de Ryan (...) avec vélocité. Il se tire avec brio de toutes les figures qu'impose le genre (...). Il peint le monde de la boxe thaïe avec la même férocité que le milieu interlope de J'irai au paradis... : mélange de pure noblesse et de magouilles sordides. Sur la fin, le film perd de sa force (...).
Brazil
Les acteurs sont bons, d'ailleurs le film n'est pas mauvais du tout, mais manque de lyrisme, de profondeur, de grandeur d'âme. Tout ce qu'est certainement Dida, mais que n'a pas su mettre en valeur le réalisateur.
Cinéastes
La force de Chok Dee réside principalement dans la progression instinctive du personnage, tirée en partie de la vie réelle de son acteur principal, et non dans les combats brutaux non chorégraphiés. La relation réalité/fiction manque parfois d'un équilibre pertinent, (...) mais cette parabole violentée a le mérite de nous faire croire qu'il faut se battre pour cette vie que l'on souhaite mener avec envie.
Fluctuat.net
Finalement très inégal, mais basé sur un pari plus audacieux qu'il n'y paraît (le film maintient une certaine ampleur sortant le cinéma français de ses contrées ronronnantes), Chok Dee est un film attachant autant par ses qualités que par ses faiblesses, une oeuvre qu'on aurait envie de défendre (malgré la fin catastrophique) jusque dans un combat désespéré.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Au vu du passé de Durringer, on pouvait s'attendre à des dialogues particulièrement travaillés et à la description passionnante d'un milieu. Paradoxalement c'est sur les combats, sans doute là où on l'attendait le moins, qu'il s'avère le plus convaincant. La consolation est maigre quand on connaît les qualités du cinéaste.
Les Inrockuptibles
Dans la matière brute épaisse qu'il s'est choisie, Durringer parvient à ciseler un chemin élégant, développant un sens de l'action épuré et utilisant avec intelligence son acteur non professionnel (...) en refusant justement de le faire jouer. Dommage que cette démarche, à l'image de celle, étrange de Ryan, musclée et gracieuse à la fois, ne soit pas mise au service de relations humaines un peu plus consistantes.
MCinéma.com
C'est terriblement décevant. A part les sèches premières scènes qui ne s'embarrassent pas d'explications et vont vite, Xavier Durringer ne parvient jamais à être original ou simplement à paraître inspiré. (...) Un film qui n'intéressera que les férus de boxe, alors qu'il aurait pu être tellement plus...
Mad Movies
Alors que Chok Dee avait les armes adéquates pour être un beau drame mâtiné d'influences issues de divers horizons (film d'arts martiaux, polar...), son réalisateur préféra tout miser sur la personnalité de son interprète, certes attachante, mais pas suffisante pour donner au métrage une certaine "densité". On en sort mitigé, conscient pour le coup que Durringer a malheureusement raté le coche.
Positif
Une sorte de réalisme poétique joliment désuet qui chante, par-delà la cupidité du monde, la transcendance de l'être-marlou. On veut bien feindre d'y croire, en tout cas jusqu'à ce que le scénario cède au romanesque le plus improbable (...). Et, là, c'est irrémédiablement mauvais.
Première
Interprété par Dida lui-même, pourvu d'un indéniable charisme, le scénario privilégie les combats à la violence graphique. On attendait toutefois de Durringer, dramaturge puissant, un résultat moins conventionnel.
Rolling Stone
Même si Giraudeau joue très bien, la partie fiction, à la limite de la naïveté, alourdit l'histoire plus qu'elle ne la sert. Restent le parcours exemplaire d'un champion qui a le courage de tout abandonner pour repartir de zéro et grandir à l'école de l'humilité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Chok Dee relate de façon attendue, mais assez efficace, ce parcours édifiant. (...) Et dans la peau de Ryan, Dida lui-même, aussi convaincant à l'écran qu'il l'était sur les rings.
Zurban
La carrière de Dida force le respect et le voilà qui tient -avec talent- le rôle-titre de ce film partiellement adapté de son autobiographie. Mais si son initiation et la véracité des combats impressionnent, on regrette la surcharge d'éléments fictionnels bien artificiels. Dommage.
aVoir-aLire.com
Autant les scènes de baston sont filmées avec style (...), autant le scénario s'enfonce corps et biens dans une médiocrité sans bornes, démarrant par des scènes de prison dignes d'un téléfilm, abordant toute une série de thèmes sans en traiter aucun. (...) Unique nouveauté du film, la prestation de Dida (...). Dida prend dès son premier passage à l'écran une option pour d'autres aventures cinématographiques, du fait de son charisme incontestable et de sa sensibilité.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Ouest France
La surprise, et la déception, viennent à la lecture du nom de metteur en scène. Car c'est bien de Xavier Durringer qu'il s'agit. Révélé par La nage indienne il y a treize ans, il a confirmé sa réussite en 1996 avec le remuant J'irai au paradis car l'enfer est ici. C'est dire l'attente qu'il suscitait. On est désolé de le voir se noyer dans l'anonymat d'une production nourrie de sentiments simplistes et naïfs.
Score
Dida joue mal, l'histoire n'est pas prenante et la réalisation se débat entre désir auteuriste et visée commerciale. Aïe.