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Votre avis sur L'Associé du diable ?
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Voilà un film qui vaut le coup d’œil simplement pour une seule et bonne raison : Al Pacino qui joue le Diable en personne. Et en effet l'acteur est machiavélique à souhait dans ce rôle qui lui va comme un gant, s'amusant comme un petit fou avec son talent habituel au cœur d'un thriller fantastique qui manque d'originalité, s'égarant au fil de son déroulement dans une intrigue qui perd en intérêt. Mais le début est plutôt réussi ainsi que le final qui ne manque pas de piquant, révélant la vanité de la nature humaine. Et face à Pacino, Keanu Reeves fait preuve d'un extraordinaire manque d'expressions que Charlize Theron parvient à relever en livrant une interprétation solide en femme qui se perd peu à peu dans sa folie.
Probablement un des plus grands chefs d’œuvre du cinéma fantastique, avec un duo Paccino / Reeves complètement magique. Au delà du scénario qui reste hors du commun, le jeu d'acteurs est tout simplement superbe, avec une ironie permanente, un travail magnifique sur la psychologie, on vit les événements d'autant plus intensément que cette femme s'enfonce dans l'apogée professionnelle de son mari. On retrouve des scènes qui font froid dans le dos, mais toujours légères, et surtout un twist final parfait. La vanité mise à l'épreuve emmène le spectateur de plus en plus loin dans le mal-aise, et en fait une victime de ce duo Keanu Reeves - Al Paccino. Le film nous laisse sur une chute ironique qui s'avère idéale à l'atmosphère du film. 5/5 bien entendu, une merveille cinématographique, rien à redire.
Excellent Thriller fantastique sur fond de crime Satanique avec un Al Pacino extraordinaire dans le rôle du Diable (si celui-ci vient sur terre, c'est sûr il lui ressemblerait!) L'intrigue du jugement et des procès sont bien orchestrés par Keanu Reeves qui a joué un de ses meilleurs rôles. Très bon film; prenant.
Un film que j'ai beaucoup de mal à jauger (donc dans le doute, j'ai mit la moyenne^^)...
Le positif: un jeux d'acteur époustouflant; Al Pacino signe là (et de loin) la meilleur prestation de Satan que je connaisse.
Taylor est excellente aussi, la façon dont elle périclite entre le début et la fin du film est plutôt spectaculaire.
Ensuite, je trouve la réalisation très bonne. Ce point semble être le plus critiqué, pourtant, j'ai trouvé que l'atmosphère, le savant mélange entre les scènes "paranormales" et le côté réaliste et terre à terre de certain passage donnait au film une ambiance ambivalente assez originale et plutôt prenante.
Le double cliff de fin, sans tenir du génie (faut pas pousser^^) est plutôt sympa.
Le monologue de Al sur Dieu est absolument génial et dérangeant (Dieu serait il vraiment un voyeur malsain?).
J'en viens donc à mon problème (et à la lecture des autres comm' j'ai l'impression d'être le seul); la religion! L'aspect politico-religieux de ce film pour être plus précis...
En gros, il y a, au travers des répliques, de la morale véhiculée, et autres citations intempestives de la Bible, un relent nauséabond de puritanisme primaire;
New York c'est Babylone, la Cité perverse ou on s'adonne à d’odieuses pratiques sexuelles décadente, tandis que l'Amérique profonde, c'est le bien, avec ses vieilles Eglises authentiques...
Le bien et le mal ne sont vu que sous un oeil exclusivement et ouvertement chrétien. Que ce soit l'inspiration dominante est naturel, mais là, on pourrait presque croire que le film a été fait par un curaillon.
Les méchants criminels ne mérite pas d'être défendu, il ne mérite rien en fait. Alors c'est toujours vachement facile, pour que ce précepte fonctionne à bloc sur le spectateur, de nous montrer un infâme pédophile... Mais à chaque fois que je vois ça, j'y oppose automatiquement dans mon esprit l'image d'un pauvre type exécuté sans procès sous une dictature (parce que quitte à aller dans l'exemple extrême) et je me dit que zut; c'est sûr que c'est moche un pédophile, mais les états de droit ont été battis sur le précepte que chaque homme à le droit à un procès équitable (et donc à une défense) parce que c'était la seule conception envisageable de la justice et qu'exacerber la vindicte populaire ne résoudrait rien...
Bref un bon film en soi, mais qui politiquement/spirituellement me gène beaucoup...
Le positif: un jeux d'acteur époustouflant; Al Pacino signe là (et de loin) la meilleur prestation de Satan que je connaisse.
Taylor est excellente aussi, la façon dont elle périclite entre le début et la fin du film est plutôt spectaculaire.
Ensuite, je trouve la réalisation très bonne. Ce point semble être le plus critiqué, pourtant, j'ai trouvé que l'atmosphère, le savant mélange entre les scènes "paranormales" et le côté réaliste et terre à terre de certain passage donnait au film une ambiance ambivalente assez originale et plutôt prenante.
Le double cliff de fin, sans tenir du génie (faut pas pousser^^) est plutôt sympa.
Le monologue de Al sur Dieu est absolument génial et dérangeant (Dieu serait il vraiment un voyeur malsain?).
J'en viens donc à mon problème (et à la lecture des autres comm' j'ai l'impression d'être le seul); la religion! L'aspect politico-religieux de ce film pour être plus précis...
En gros, il y a, au travers des répliques, de la morale véhiculée, et autres citations intempestives de la Bible, un relent nauséabond de puritanisme primaire;
New York c'est Babylone, la Cité perverse ou on s'adonne à d’odieuses pratiques sexuelles décadente, tandis que l'Amérique profonde, c'est le bien, avec ses vieilles Eglises authentiques...
Le bien et le mal ne sont vu que sous un oeil exclusivement et ouvertement chrétien. Que ce soit l'inspiration dominante est naturel, mais là, on pourrait presque croire que le film a été fait par un curaillon.
Les méchants criminels ne mérite pas d'être défendu, il ne mérite rien en fait. Alors c'est toujours vachement facile, pour que ce précepte fonctionne à bloc sur le spectateur, de nous montrer un infâme pédophile... Mais à chaque fois que je vois ça, j'y oppose automatiquement dans mon esprit l'image d'un pauvre type exécuté sans procès sous une dictature (parce que quitte à aller dans l'exemple extrême) et je me dit que zut; c'est sûr que c'est moche un pédophile, mais les états de droit ont été battis sur le précepte que chaque homme à le droit à un procès équitable (et donc à une défense) parce que c'était la seule conception envisageable de la justice et qu'exacerber la vindicte populaire ne résoudrait rien...
Bref un bon film en soi, mais qui politiquement/spirituellement me gène beaucoup...
"Vous pouvez jouer le blasé, mais la première fois que je suis rentré, ma mâchoire est tombée par terre". L'Associé du diable restera sûrement à l'aube des chefs d'oeuvres du cinéma. Charlize Theron joue ici son plus grand rôle, Keanu Reeves est exceptionnel, Al Pacino grandiose
spoiler:
même si on reste facilement sceptique sur son rôle diabolique notamment à sa mort lors de la dernière scène. Mais c'est plutôt la réalisation qui doit être remise en cause avec des effets spéciaux qui ont très mal vieillis, et une surenchère du scénario
. Mais ce dernier, entrepris par Taylor Hackford est bluffant, les scènes du tribunal accrochantes et la déchéance de Charlize Théron digne des plus grands jeux d'acteurs. L'Associé du diable dégage finalement une vraie sensualité ainsi qu'un message époustouflant.
. Mais ce dernier, entrepris par Taylor Hackford est bluffant, les scènes du tribunal accrochantes et la déchéance de Charlize Théron digne des plus grands jeux d'acteurs. L'Associé du diable dégage finalement une vraie sensualité ainsi qu'un message époustouflant.
Artriste
Ce film nous emmène dans une histoire prenante mais malheureusement quelques détails font qu'il est un peut décevant. En effet le scénario est intéressant avec des scènes au tribunal très bien réalisé et avec d'excellent dialogues mais malheureusement le film est trop long. Certaines scènes n'apportent rien et font que je me suis parfois ennuyé face à des discours beaucoup trop long et menant finalement à rien. La fin quant à elle est plutôt décevante même si elle n'est pas raté contrairement aux effets spéciaux qui ont très mal vieillit. Reste que le film dégage une certaine sensualité ainsi qu'une certaine morale et surtout un casting de rêve comprenant Charlize Theron, Al Pacino et Keanu Reeves tous excellent dans leurs rôles et qui sont la grande force du film. Les associés du diable est un film à voir malgré ses petits défauts qui pour moi n'en font pas un chef-d’œuvre.
Un film remettant en cause la place de la religion ainsi que la nature profonde de l'homme, on pourrait le qualifier de sataniste. Pacino fait là une prestation magnifique, avec un rôle qui lui va comme un gant. Quant à Reeves, égale à lui même, et à sa classe naturel. Un véritable chef-d’œuvre où le final est infernal!
Film brillant, prenant, du début a la fin, avec un Al Pacino diaboliquement efficace, qui nous donnerai presque envie de faire un saut en enfer !
Très bon film, avec un tension et une perversité diabolique très forte. Les acteurs sont très bons et mention spéciale à Al Pacino où ce role lui colle vraiment à la peau ! La fin quelque peu fantastique enlevera un peu d'intérêt au film selon moi, mais dans l'ensemble c'est un bon moment de Cinéma.
Film important pour de part les questions qu'il pose et pour la réflexion qui vient après visionnage. Al Pacino est terrifiant et impressionnant dans le rôle du Diable en personne, mais la mention spéciale reviens a la magnifique Charlize Theron qui nous livre une très grande prestations qui restera longtemps une référence pour moi. Film pervers avec beaucoup d'allusion sexuels et des passages érotiques qui rendent le film encore plus glauque. L'égoïsme et la tentation sont les sujets abordés tout au long du film. Ce long métrage n'est pas juste un simple divertissement c'est une fable sur la vanité avec un magnifique final.
pierrre s.
"Mieux vaut régner en enfer qu'être esclave au paradis"
Sans doute l'un des meilleurs films que j'ai vu! Chaque question posée est pertinente, Taylor Hackford, donne une certaine vision du monde et de la vie en général, et ça n'est pas positif... loin de là! D'après lui, le mal l'emporte toujours car.. nous sommes imparfait et soumis aux péchés.
Outre une leçon de morale, le réalisateur offre surtout une belle leçon de cinéma, les acteurs sont incroyables, particulièrement le duo Pacino/Reeves qui fait des miracles (petit jeu de mot). Sérieusement, ce film est un chef d’œuvre, seul hic: les effets spéciaux, ils ne sont pas à la hauteur...
Autrement, L'associé du diable est une œuvre au combien intéressante, qu'il faut donc voir.
Sans doute l'un des meilleurs films que j'ai vu! Chaque question posée est pertinente, Taylor Hackford, donne une certaine vision du monde et de la vie en général, et ça n'est pas positif... loin de là! D'après lui, le mal l'emporte toujours car.. nous sommes imparfait et soumis aux péchés.
Outre une leçon de morale, le réalisateur offre surtout une belle leçon de cinéma, les acteurs sont incroyables, particulièrement le duo Pacino/Reeves qui fait des miracles (petit jeu de mot). Sérieusement, ce film est un chef d’œuvre, seul hic: les effets spéciaux, ils ne sont pas à la hauteur...
Autrement, L'associé du diable est une œuvre au combien intéressante, qu'il faut donc voir.
En 1 mot ? Culte ! Ce duo est vraiment efficace ! C'est simple on ne décroche pas tant le jeux des acteurs est excellent!
Ce qu'il faut essentiellement retenir de ce film c'est AL PACINO !
Il joue d'une maniere monstreuse ! il aurait merite au moins une nominations pour l'oscar !
Sinon pour le film , les plans sont magnifique , la mise en scene est parfaite ajoute avec cela une bonne fin !
Petite deception , car Keanu Reeves ne ma convaincue que moyennement dans ce role ...
Il joue d'une maniere monstreuse ! il aurait merite au moins une nominations pour l'oscar !
Sinon pour le film , les plans sont magnifique , la mise en scene est parfaite ajoute avec cela une bonne fin !
Petite deception , car Keanu Reeves ne ma convaincue que moyennement dans ce role ...
Un excellent film ! Le duo Al Pacino / Keanu Reeves est très convaincant (surtout Pacino : magistral dans ce rôle-là), le scénario est extrêmement bien trouvé, certaines scènes restent vraiment en mémoire (
spoiler:
notamment le suicide de Charlize Theron
) et l'ambiance régnant tout le long du film est fantastique.
) et l'ambiance régnant tout le long du film est fantastique.
« Il vaut mieux régner en enfer qu'être esclave au paradis. »
Le constat est édifiant, à quelques encablures du vingt et unième siècle le malin stipule les yeux étincelants de certitudes dans un décor sur le point de s'enflammer que le siècle qui s'achève lui appartient et que l'homme abandonné de Dieu est sa propriété en étant l'instrument perpétuel d'une histoire maléfique.
Dieu est démontré comme un pervers volontairement isolé abandonnant sa création aux mains de Lucifer gestionnaire d'un être humain ayant besoin d'extérioriser toute sa panoplie antinomique dans une pression permanente destinée à l'épanouir ou à l'anéantir.
Le message est clair, à l'avenir l'homme ne pourra survivre que par un libre arbitre, une prise de conscience encouragée par l'indifférence d'une divinité ayant jeté les dés une fois de trop et le déchaînement sans retenue d'une créature vaniteuse qu'en restaurant des valeurs saines malgré l'attirance d'un monde affairiste dont la récompense finale est une vue imprenable sur une faune microscopique que l'on écrase du regard.
Pour cela l'homme sombrant irrémédiablement dans la luxure et le carriérisme doit se redéfinir et reconquérir un essentiel qui se meurt d'être abandonné.
Voilà la mise en garde de cet opus gothique magistral et surprenant malgré sa longueur excessive dont la mission est de nous recadrer dans nos véritables priorités avant qu'il ne soit trop tard.
Le constat est édifiant, à quelques encablures du vingt et unième siècle le malin stipule les yeux étincelants de certitudes dans un décor sur le point de s'enflammer que le siècle qui s'achève lui appartient et que l'homme abandonné de Dieu est sa propriété en étant l'instrument perpétuel d'une histoire maléfique.
Dieu est démontré comme un pervers volontairement isolé abandonnant sa création aux mains de Lucifer gestionnaire d'un être humain ayant besoin d'extérioriser toute sa panoplie antinomique dans une pression permanente destinée à l'épanouir ou à l'anéantir.
Le message est clair, à l'avenir l'homme ne pourra survivre que par un libre arbitre, une prise de conscience encouragée par l'indifférence d'une divinité ayant jeté les dés une fois de trop et le déchaînement sans retenue d'une créature vaniteuse qu'en restaurant des valeurs saines malgré l'attirance d'un monde affairiste dont la récompense finale est une vue imprenable sur une faune microscopique que l'on écrase du regard.
Pour cela l'homme sombrant irrémédiablement dans la luxure et le carriérisme doit se redéfinir et reconquérir un essentiel qui se meurt d'être abandonné.
Voilà la mise en garde de cet opus gothique magistral et surprenant malgré sa longueur excessive dont la mission est de nous recadrer dans nos véritables priorités avant qu'il ne soit trop tard.
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