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Un visiteur
5,0
Publiée le 7 juin 2007
Grandiose!! En tout point! Merci hackford pour ces très bons moments! C'est avant tout un grand film très dérangeant menés par des acteurs 5 étoiles (Charlize Theron est incroyable, comme Al Pacino). A voir absolument!
"La Vanité c'est décidement mon péché préféré..." La grande légende Al pacino qui joue à la perfection le diable. Tandis que nous avons Keanu Reeves jouant un jeune avocat brillant, sera touché par les suggestions du diable... Ce film est magnifique, Le scénario et le jeu des acteurs ont été très travaillé. A regarder et à reregarder pour cette légende du cinema.
Ce film s'attaque à un sujet difficile. On nous a tellement bassiné avec des niaiseries sur l'affrontement entre le bien et le mal ou les méchants sont pas beaux et très très méchants et les gentils leur opposé, que là, la sauce prend. Pacino y est fascinant. Il est le diable!!! Sans maquillage ni effets spéciaux, il campe un diable doté de tout son pouvoir de séduction qui va attirer ses proies dans ses filets. Son monologue final méritait presque un oscar tant les mots que l'on a mis dans la bouche du diable sonnent juste. Si vous ne devez voir qu'un film sur le sujet, c'est assurément celui là. Foncez et....bon film
L'Associé du diable propose une sorte d'affrontement entre le grand Al Pacino et le jeune qui montait à l'époque Keanu Reeves. Il s'agit d'un film très intéressant et qui pour moi démarre sous les meilleures auspices. On nous montre avec précision les arcanes de la justice en nous faisant assister à un procès d'un professeur de mathématiques jugé pour attouchements sexuels sur une de ses élèves. Ce qu'il en ressort, c'est que l'avocat peut être amené à malmener les témoins et faire dire finalement ce que l'on veut aux preuves. A force de côtoyer des hors-la-loi, on en arrive à perdre son identité et à éprouver un véritable dégoût de soi. La suite du film est une critique du monde des affaires où tout n'est qu'histoire de profits, de course à la performance au détriment d'une vie de famille ou de sentiments humains. On suit avec intérêt le parcours de ce jeune avocat au départ aux petits soins avec sa femme mais aux dents longues, trop longues, soit une véritable descente aux enfers, devenant de plus en plus vaniteux, cupide et égoïste, ce qui causera sa perte ainsi que celle de la femme qu'il aime. Pacino est excellent comme d'habitude, faut-il le préciser à force. Dommage que ce film, violent et sensuel, soit entaché d'effets spéciaux n'ayant finalement pas lieu d'être et d'allusions religieuses difficilement compréhensible pour ceux qui n'y connaissent rien et s'en foutent complétement.
Malgré un beau florilège d'acteur, ce film ne m'a pas laisser une excellente impression. Du côté des points fort, on peut noter l'excellent jeu des acteurs, des décors subliment et une idée de scénario tentante. Pourtant, sur le fond, on en ressort plutôt déçu: le scénario traîne en longueur, rien ne se passe de bien passionnant pendant de longue minute. Les scènes d'actions sont ajouté un peu à la sauvette, en en perd tout les effets. Les idées, la philosophie qui en ressort de se film n'est pas assez en avant, sans compter que l'effet du surnaturel, du rêve enlève tout le charge de se film. Au fond cette avocat, tout le loin de cette série, n'a traité que 3 affaires: deux de manière extrement rapide, et la dernière qui nous laisse sur notre fin (on ne connait même pas le verdicte même si on le suppose).
Un film atypique qui se paie le luxe d’être l’une des meilleures surprises (la meilleure surprise ?) de l’année 1998. Pourtant, sur le papier, "L’Associé du diable" ressemblait davantage à une série B vaguement horrifique surfant sur les délires sataniques en vogue à l’aube de l’an 2000. C’était sans compter sur l’exceptionnel casting réuni avec un Keanu Reeves (déjà révélé par "Speed" mais pas encore starifié par "Matrix") épatant en jeune avocat ambitieux qui ne perd jamais un procès, les découvertes des belles Charlize Theron en épouse délaissée et Connie Nielsen en tentatrice, Craig T. Nelson en client ambigu, Jeffrey Jones en associé veule et surtout le monstrueux Al Pacino (pas encore cantonné aux rôles fadasses dont il a fait son fonds de commerce depuis) qui s’offre le rôle du Diable et nous livre une prestation époustouflante (la meilleure depuis "Scarface"), entre charisme naturelle et folie dévastatrice le tout agrémenté d’une touche de classe irrésistible. Il porte pratiquement sur ses seules épaules la scène finale du film (celle de la révélation de sa véritable identité) qui, sans lui, aurait pu sombrer dans le grand n’importe quoi et qui, grâce à lui, s’avère être la meilleure scène du film. C’est d’ailleurs l’autre grande force du film qui, à l’instar de l’excellent "Une nuit en enfer", nous offre 2 films pour le prix d’un (un film juridique qui se transforme peu à peu en film fantastique). Là encore, le risque était grand de se planter, le spectateur pouvant être dérouter par les séquences d’hallucinations, mais la mise en scène de Taylor Hackford (qui transcende pour une fois son statut d’honnête yes-man), tout en rythme et en ambiance délicieusement baroque (excellente BO signée James Newton Howard) emporte l’adhésion et donne au film son cachet inclassable. Mieux, il oblige le public à se poser certaines questions assez dérangeantes sur le rôle de l’avocat (peut-on faire innocenter un coupable ?) sans y apporter de réponses démagogiques (l’ultime scène où le héros semble se laisser à nouveau tenter et le fameux "La vanité, c’est décidemment mon péché préféré" est ma meilleure conclusion possible). Bref, un très grand film qu’on n’a pas vraiment vu venir et qui marque durablement les esprits.
Que se passe-t-il dans la tête du plus grand avocat de Floride, qui réussit le plus simplement du monde à faire acquitter les plus grands criminels ?
Kévin Lomax, (interprété par le célèbre Keanu Reeves) nous entraîne dans cet univers de culpabilité et de vanité. Il se voit offrir une place dans le plus grand cabinet davocats de New York, dont le directeur nest autre que le grand John Milton ( incarné par le fabuleux Al Pacino). Kévin et sa femme Mary-Ann (lexcellente Charlize Theron) sinstalle dans limmeuble le mieux situé de la ville. Elle simagine déjà élever ses enfants dans cette maison, cependant les fréquentes absences de Kévin auprès de sa femme la fera tomber dans une immense paranoïa (finalement justifié) qui la poussera au suicide.
Le libre-arbitre.
Taylor Hackford, le réalisateur de ce chef-duvre, nous plonge pendant deux heures et vingt minutes dans un univers particulièrement étrange, mêler de culpabilité, de folie, de vanité et encore une fois de culpabilité. Un combat entre le bien et le mal. Un combat entre Dieu et Satan. Une vision de lavenir qui poussera le personnage principal à se ranger, changer de vie.
Un excellent film (pas récent je vous laccorde) entouré dacteurs de taille, Un film qui ne laisse pas une minute de répit, qui ne laissera personne indifférent. On reste scotché jusqu la fin du générique puisque la bande originale, choisit avec goût, nest autre que « Paint it black » des Rolling Stones
« mieux vaut régner en enfer, quêtre esclave au paradis » (Kévin Lomax)
« la vanité, cest décidément mon péché préféré » Satan
A voir durgences pour ceux qui seraient passé à côté de ce chef-duvre !
Ce film, surprenant de bout en bout, mêle réalisme et surnaturel au gré de son scénario bien ficelé, de ses effets spéciaux impressionnants et de sa mise en scène étourdissante. Il sait également jouer avec adresse sur deux registres : la comédie satanique et la parabole sur l'ambition, la vanité et le pouvoir. Al Pacino y est magistral, tour à tour diabolique, décadent, effrayant, pervers, machiavélique et manipulateur, mais aussi séduisant et charmeur. Quant à Keanu Reeves, c'est l'un de ses meilleurs rôles.
Le film a quelques différences avec le livre qui ne sont pas négligeables, et qui donne une dimension plus philosophique et métaphysique à l'histoire plutôt que le côté fantastique plus appuyé dans le livre. Ainsi le film ne va pas trop loin dans les effets spéciaux dont l'accent est mis essentiellement sur l'ultime quart d'heure de face à face. Le film est semé de scènes marquantes et souvent malaisantes de la pulsion "manuelle" d'un accusé à la scène d'amour "à double visage" en passant par le meurtre du footing, la rencontre dans le métro ou la nudité dans l'église. Il n'en demeure pas moins qu'on est au summum de la lubricité et de l'ébullition. La performance de Pacino est dantesque, alors que jusqu'ici l'acteur savourait avec gourmandise en incarnant un être à la foi vénéneux et charmeur, si ça frôle l'esbrouffe le cabotinage de Milton/ Satan/ Pacino va pourtant à merveille au personnage d'ailleurs judicieusement éclairé pour accentuer les traits idéals de l'acteur. Keanu Reeves fait le job mais il se fait voler la vedette par une Charlize Theron aussi instable que touchante. Taylor Hackford signe un thriller psycho-ésotérique flamboyant dans un scénario implacable multi-référencé, fascinant et efficace qui vaut le coup d'oeil. Un grand film trop sous-estimé. Site : Selenie
Très très bon film. 2h10 de pur bonheur. Keanu Reeves et Al Pacino jouent à merveille. Ce film peut amener à se poser des questions sur sa propre vie, ses ambitions personnelles au détriment de sa vie maritale et familiale, la prise de certaine décision pouvant amener au bonheur ou au malheur. Ce film, malgré son coté fantastique est une excellente représentation de la société individualiste actuelle ou seule la réussite est recherchée, quitte à faire du male à ses proches. A noter lexcellente dernière demi heure, autant graphiquement (les images sont belles, mystiques) quémotionnellement. A noter également lexcellente prestation de la très belle Charlize Theron.
De mon point de vue, "L'associé du diable" part bien, voire très bien et finit malheureusement par un flop. Le mystère autour du personnage d'Al Pacino et du fonctionnement de ce cabinet d'avocat New-Yorkais possède tous les ingrédients pour révéler un grand film. Cependant, le choix du réalisateur de plonger l'histoire de ce brillant avocat dans un pseudo-rêve m'a fait l'effet d'un château de carte qui s'écroule. On est dedans et finalement... et non, c'est pour de faux ! A moins que ce soit pour de vrai... Dommage.
Film remarquable ! L'interprétation d'Al Pacino et de Keanu Reeves nous laisses bouche-bée ! Un film qui m'a tenu en haleine jusque à la dernière minute . A voir ABSOLUMENT !
Une mise en scène aussi percutante qu'un cyclone, mais qui ne travaille pas assez certains détails. Un scénario intelligent, mais des dialogues parfois indigents. Un grand Al Pacino, mais un Keanu Reeves à la rue: "L'Associé du Diable", ou l'ambiguïté Hoolywoodienne dans toute sa splendeur. Divertissant sans être déplaisant, mais parfois deçevant.