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8 critiques presse
L'Obs
par F.F.
On a vu Taylor Hackford meiux inspiré (…) mais, dans le genre grand-guignol un tantinet délirant, c'est assez rigolo. 15/01/1998
Libération
par Bayon
C’est un [Keanu] Reeves affûté, mauvaise foi magnétique et smart européen, qui anime le film. Il traverse sous tension ce « bûcher aux vanités » mâtiné de « Rosemary’s Baby ». Libération, 28 janvier 98.
Positif
par M.B.
Il s'agit (…) avant tout d'un film d'épouvante (…) et, en tant que tel, son intérêt réside pour beaucoup dans le jeu avec les nerfs du spectateur. N°444, février 1998
Positif
par Mehdi Benallal
« L’associé du diable » est prenant et rigoureux.
Le Monde
par S. Bd.
Le nouveau long métrage de Taylor Hackford est un patchwork de tous les films réalisés sur le diable. 15/01/1998
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Ce film, qui ne parvient jamais à sentir vraiment le souffre, finit par sentir carrément le rance. Télérama, 17 janvier 98.
Cahiers du Cinéma
par Jérôme Larcher
Le film s’enlise dans un académisme généralisé et les effets attendus. (…) L’œuvre est plombée par une morale indigeste. Cahiers du cinéma 520, janvier 98.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Ce film, qui ne parvient jamais à sentir le soufre, finit par sentir carrément le rance. 17/01/1998
L'Obs
On a vu Taylor Hackford meiux inspiré (…) mais, dans le genre grand-guignol un tantinet délirant, c'est assez rigolo. 15/01/1998
Libération
C’est un [Keanu] Reeves affûté, mauvaise foi magnétique et smart européen, qui anime le film. Il traverse sous tension ce « bûcher aux vanités » mâtiné de « Rosemary’s Baby ». Libération, 28 janvier 98.
Positif
Il s'agit (…) avant tout d'un film d'épouvante (…) et, en tant que tel, son intérêt réside pour beaucoup dans le jeu avec les nerfs du spectateur. N°444, février 1998
Positif
« L’associé du diable » est prenant et rigoureux.
Le Monde
Le nouveau long métrage de Taylor Hackford est un patchwork de tous les films réalisés sur le diable. 15/01/1998
Télérama
Ce film, qui ne parvient jamais à sentir vraiment le souffre, finit par sentir carrément le rance. Télérama, 17 janvier 98.
Cahiers du Cinéma
Le film s’enlise dans un académisme généralisé et les effets attendus. (…) L’œuvre est plombée par une morale indigeste. Cahiers du cinéma 520, janvier 98.
Télérama
Ce film, qui ne parvient jamais à sentir le soufre, finit par sentir carrément le rance. 17/01/1998