Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
boscopax
79 abonnés
1 509 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 7 septembre 2014
Prenons ce film comme il doit être pris, comme une farce : entre des combats aux bruitages exagérés, un orang-outan qui fait des bisous, deux flics qui rigolent en tenant une arme, des motards idiots et malchanceux ou même une vieille qui tente de passer son permis, il y a de tout ça dans Doux Dur et Dingue. Par delà cet aspect comique, Eastwood se permet même d'apparaitre tantôt combattant, tantôt benêt michtonné par une "pro". Un écart comique pour le grand bonhomme qui fleure bon la fin des 70s.
Un divertissement fort sympathique où l'on voit un Clint Eastwood bagarreur a ses moments perdus, accompagné d'un orang-outan qui fait les 400 coups . Sondra Locke en chanteuse de country et Geoffrey Lewis en fidèle acolyte complètent le casting de ce film à l'allure bon enfant . Un moment agréable de cinéma à revoir pourquoi pas lors de sa prochaine diffusion .
Divertissant et agréable a regarder. Bon humour le duo entre Clint et l'Oran Outan est sympa. Les autres personnages Sondra Locke en particulier s'en sortent bien; En bref un film qui se regarde très facilement
Clint Eastwood s'offre une parenthèse comique où il partage la vedette avec un orang-outan très attachant, dans un film où s'enchaînent les gags et les personnages hauts en couleurs.
Un genre nouveau à l’époque et qui n’existe plus aujourd’hui remplacé par une violence d’où l’humour a disparu. Ici, c’est étonnant d’audace, la séquence du faux pécheur qui vient pour démolir Philo Beddoe et qui prend son poisson dans la figure, il ne faut pas avoir peur du ridicule pour tourner cela et terminer en plus par le cri de Tarzan. Nous sommes dans les années d’idylle entre Sondra Locke et Clint , c’est très agréable car cette attirance passe bien l’écran. Doux, dur et dingue, c’est aussi un titre parfait et la bande des ‘’hell’s angels’’, un ramassis de bras cassés plus crasseux et bêtes les uns que les autres ne dépare pas dans l’ambiance générale. Eastwood, 48 ans a un charme fou et avec l'orang outang il forme un couple cinématographique surprenant. Bref, un bon divertissement familial tout à l’honneur des américains.
Un scénario des plus primaires, des bastons à gogo, des bikers débiles au possible, des culs-terreux du Sud profond et un humour de bas étage : voici le cocktail de ce pur produit écervelé des années 70. Pas grand chose à en dire si ce n'est qu'on oubliera vite. Ça n'est pas déplaisant à voir, mais le manque de finesse du tout est un peu agaçant.
Une chose est sûre: il ne faut pas contrarier ou emmerder Clint Eastwood sinon ça finit en bagarre et on sait que Clint n'est pas maladroit quand il s'agit d'envoyer quelques pralines. Ça tombe bien puisque dans «Doux, Dur et Dingue» il fait des combats de boxe pour arrondir ses fins de mois. Dans ce film de James Fargo, pas d'histoire ou alors juste un semblant. Clint rencontre une fille dont il s'éprend, elle s'en va et il part à sa recherche avec à ses trousses deux flics revenchards et un gang de motards, voila côté scénario ça s'arrête là. Normal me direz-vous, puisque la seule prétention de ce film c'est de divertir. Il y a de l'humour, certes il n'est pas toujours très fin mais l'on se surprend à sourire quelques fois. Dans ce film il y a Clint Eastwood, son orang outang Clyde et il y a les autres. Eastwood évolue dans un rôle taillé sur mesure. Divertissant, rien de plus.
Attention, mesdames et messieurs : ils sont rares, mais « Doux, dur et dingue » en fait partie : voici un film qui ne compte aucune intrigue ! Ah si, pardon : Clint rencontre une jolie fille, celle-ci disparaît et Clint part à sa recherche. C'est tout ? Ba ouais ! Et le pire, c'est que ce n'est pas si mal. Enfin, pas si bien non plus... La mise en scène n'a pas grand intérêt, nous sommes à un niveau d'humour peu élevé et les personnages ridicules et/ou caricaturaux sont légions (qui a parlé des Hells Angels?). Cela dit, avouons que le rythme n'est pas déplaisant, que quelques répliques sont très drôles, que le numéro pas subtil mais ô combien efficace d'Eastwood fonctionne à merveille et que Clyde l'orang-outan est un spectacle à lui tout seul. Bref, un pur moment de récréation pour le réalisateur de « Sur la route de Madison » et son pote James Fargo, sympathique donc, mais dispensable.
une excellente époque pour ce genre de comédie j'adore l'ambiance les couleurs le style Eastwood est trés bon quand il n'est pas réalisateur je me suis bien poilé
Un film sans grande prétention qui se laisse très agréablement regarder. Un bon petit divertissant avec un orang-outang nommé Clyde à qui on s'attache facilement.