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Objectivons
312 abonnés
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2,5
Publiée le 12 juillet 2020
S'il est plaisant de ne pas voir Clint Eastwood que dans des productions de héros ou de cow-boy, il faut reconnaître que, malgré l'orang-outan dressé qui fait sourire, Doux, dur et dingue est quelque peu long, et ne laissera pas un souvenir autre que "Clint a joué avec un singe".
Ce qui reste de ce film c'est l'amitié entre Clint et l'Auran outan. C'est un road movie facile avec des méchants qui poursuivent trois personnages à travers la campagne américaine. Un film humoristique d'un autre genre avec des rôles secondaires totalement atypiques d'américains moyens. C'est ce qui fait l'ambiance du film.
Nullité absolu signé James Fargo, il réduit le géant Clint Eastwood en un acteur de bas étage dans une série B. En effet, vous verrez Clint Eastwood faire des combats de rue totalement bidon accompagné de son singe et d'une potiche blonde vraiment nunuche. "Doux, dur et dingue" est un nanard qui m'a été très pénible de visionner.
On pourrait se demander ce que Eastwood est entrain de faire, et bien après Josey Wales, et L'épreuve de force, il nous propose une rupture. Il casse son rôle de dur solitaire et s'entoure ici d'une belle bande de frappa-dingue. La mamie est hilarante, son ami Orvill filou et magouilleur, et Clyde amène encore plus de poésie à cette comédie. Ne cherchons pas plus loin, la bande de motards, toquards, est annoncé par cette musique trainante, et tout est prétexte à la dérision. Enfin, pas tout, puisque l'univers de Philo rejoints l'Amérique pur souche, bar country et autres symboles made in US. Alors, qui l'eu cru, un succès avec plus de 100M$ au box office, soit Eastwood est un génie, soit le film porte des valeurs insoupçonnées qui ont touchées les spectateurs, ou bien se sont les deux à la fois.
Prenons ce film comme il doit être pris, comme une farce : entre des combats aux bruitages exagérés, un orang-outan qui fait des bisous, deux flics qui rigolent en tenant une arme, des motards idiots et malchanceux ou même une vieille qui tente de passer son permis, il y a de tout ça dans Doux Dur et Dingue. Par delà cet aspect comique, Eastwood se permet même d'apparaitre tantôt combattant, tantôt benêt michtonné par une "pro". Un écart comique pour le grand bonhomme qui fleure bon la fin des 70s.
Bières, bastons et music-country forment le cocktail de cette comédie sympathique mais franchement limitée niveau dialogue et situation, l'humour est lourdaude. La présence bienvenue de Clyde l'orang-outan est la seule véritable originalité.
Attention, mesdames et messieurs : ils sont rares, mais « Doux, dur et dingue » en fait partie : voici un film qui ne compte aucune intrigue ! Ah si, pardon : Clint rencontre une jolie fille, celle-ci disparaît et Clint part à sa recherche. C'est tout ? Ba ouais ! Et le pire, c'est que ce n'est pas si mal. Enfin, pas si bien non plus... La mise en scène n'a pas grand intérêt, nous sommes à un niveau d'humour peu élevé et les personnages ridicules et/ou caricaturaux sont légions (qui a parlé des Hells Angels?). Cela dit, avouons que le rythme n'est pas déplaisant, que quelques répliques sont très drôles, que le numéro pas subtil mais ô combien efficace d'Eastwood fonctionne à merveille et que Clyde l'orang-outan est un spectacle à lui tout seul. Bref, un pur moment de récréation pour le réalisateur de « Sur la route de Madison » et son pote James Fargo, sympathique donc, mais dispensable.
James Fargo nous avait habitué à bien mieux et ce sont les fans de la première heure de Clint Eastwood qui vont être déçu. Bêtement titré Doux, Dur et Dingue (1978) alors que son titre original (Every which way but loose) n'a aucun rapport, le film prétend être une comédie, seulement le rire se fait attendre inlassablement durant près de 120 minutes ! Un road-movie burlesque et crétin avec un Clint Eastwood décevant et un orang-outang pour partenaire principal. Sans oublier des seconds rôles tout aussi navrants comme les motards néo-nazis. Signalons aussi qu'il existe une suite intitulée Ça va cogner (1980).
Doux, Peu Dur et pas du tout Dingue... C'est pas fameux, Clint se trimballe tout le long du film son l'orang-outang et on rit peu, ça cogne peu et rentre pas assez dans le sujet souhaité, bonne ennui sur sa longueur. Deux points positif à retenir, c'est l'actrice Sondra Locke qui fut la compagne durant une quinzaine année de Clint et ayant tourner tous deux à plusieurs reprises. Ensuite le deuxième point est bien la seule touche d'humour, c'est la grand mère qui passe son permis, sans compter que cette mémé ne se laisse pas abattre et se défend également comme une sorte de Ma Dalton à coup de fusil à pompe durant la scène avec des bikers loosers, dont le clan se prénomme les veuves noires.
Un film sans grande prétention qui se laisse très agréablement regarder. Un bon petit divertissant avec un orang-outang nommé Clyde à qui on s'attache facilement.
Etant habitué à jouer des rôles sérieux de cow-boy dans les westerns ou bien interpréter le flic réactionnaire Harry Callahan, il était plus que surprenant de voir évoluer Clint Eastwood dans une comédie et tout ce que nous pouvons dire, c'est qu'il sait également amuser la galerie. Le voir crier comme Tarzan après avoir assommé un homme est un moment d'anthologie qui a provoqué le rire de millions d'américains lors de sa sortie en salles. Clint Eastwood est toujours amoureux de Sondra Locke et il compte bien la retrouver et l'épouser. Ceci constitue la ligne directrice de cette comédie pas tapageuse pour un rond mais sacrément frappadingue. Le scénario de cette comédie légère et émouvante peut se vanter d'avoir des ambitions, celle de figurer encore aujourd'hui comme une excellente comédie puisque plus de trente ans plus tard, le spectateur ne peut s'empêcher de pouffer de rire devant les pitreries de l'acteur principal, du couple et surtout, ce qui est original, d'un orang-outan qui participe activement par ses mimiques et par ses actions à apporter sa contribution non négligeable à un long-métrage certes léger mais qui délivre tellement de plaisir que l'on pourrait se le repasser une fois, dix fois, cent fois sans jamais se lasser. Le film marque la deuxième collaboration entre le réalisateur James Fargo et Clint Eastwood après "L'inspecteur ne renonce jamais". Au menu de ce film: bières, amour charnel, bagarres à coup de poing avec des gages, Eastwood interprétant un camionneur modeste qui arrondit ses fins de mois en organisant des combats de rue où il sort souvent vainqueur. Cette comédie reflète l'Amérique de l'époque, la liberté de ton, la musique country, des motards qui veulent s'afficher comme des caïds et qui sont ridiculisés à chaque tentative d'enfreindre la loi plus une mémé qui tire au fusil à pompe et des policiers revanchards. James Fargo élabore une comédie plaisante, change l'image cataloguée de Clint Eastwood qui s'avère être extrêmement drôle.
Malgré les bonnes intentions qui animent "Doux, Dur et Dingue" on ne peut s'empêcher de remarquer en premier lieu le coup de vieux flagrant qu'a subit le film. Sur le fond, le scénario n'est pas mauvais mais ne vole pas très haut non plus. Histoire pour le moins originale qui aura même une suite dans "Ça va Cogner", elle aborde la traversé des États-Unis d'une manière unique qui sera d'ailleurs parodiée dans plusieurs séries et films. Les personnages et leurs interactions peuvent parfois s'avérer comiques et attachantes mais sont la plupart du temps plates et monotones. La présence de Clint Eastwood ajoute une petite dimension humoristique au long-métrage qui est très amusante pour ma part. Ces quelques points positifs ne peuvent cependant pas rattraper un ensemble vieilli qui rend la poursuite du récit longue et ennuyeuse. A éviter pour les fans d'Eastwood.
Bière,bagarres et country voilà les seuls ingrédients de cette mauvaise comédie.A part Clint Eastwood tout les personnages sont débiles et le scénario n'est vraiment pas recherché!
Un film plutot drole, voire même limite parodique, ou Clint s'en donne à coeur joie et distribue les pains du début à la fin. A voir pour se détendre en buvant une bonne biére.
Une comédie rigolote et impertinente.Avec"Doux,dur et dingue",Clint Eastwood s'essaye à la parodie,alors en vogue à Hollywood.Loin de ses roles habituels,Clint réussit son examen de passage dans un registre léger.Le public réserve un triomphe au film.Très accessible,il ne faut pas chercher midi à 14h.C'est une histoire toute simple,voire mince;mais on rigole volontiers devant ces motards et ces policiers tournés en ridicule.Une volonté de liberté,d'errance et d'esprit bohème est revendiquée.Philo Beddoe vit sans contraintes,et se bagarre presque pour le plaisir.Un personnage sympathique,tout comme sa joyeuse bande de gais luron(et le singe Clyde!).