Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Adapté d'une pièce de théâtre à succès, le film de Bernard Rapp en accepte les contraintes : on ne quittera pas la demeure et tout se joue à travers des dialogues (...). Un ping-pong légèrement cruel sous un beau soleil que la mise en scène cherche à rendre percutant avec une certaine élégance dans la vacherie. La caméra volontairement en retrait, Bernard Rapp mise alors quasiment tout sur les comédiens et l'on sent qu'il est prêt à en savourer toutes les nuances.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Elle
par Elisabeth Quin
Joli film conceptuel et littéraire jouant sur la symétrie architecturale et relationnelle. (...) Une question toutefois: pourquoi l'excellent Yvan Attal est-il si peu aimé par son réalisateur ?
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
UN PETIT JEU SANS CONSEQUENCE reste trop marqué par son origine, une pièce de théâtre, et gangrené comme bien des films français actuels par le comique télé, juste capté, sans envie de cinéma. (...) Mais le formatage télé ramène ce projet au statut d'agréable comédie, dans laquelle on entre facilement sans jamais être vraiment bousculé.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Ce qui était un jeu prend bientôt une autre allure au fil de cette comédie plus amère que douce, élégamment réalisée par Bernard Rapp.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Modeste, Bernard Rapp. Jusque dans ses titres, Pas si graves pour son troisième long-métrage, Un petit jeu sans conséquence pour le quatrième. Jusque dans ses dialogues, Brainstorming façon Bled, gags courtois donnant à tous la bonhommie de Bernard Pivot. (...) Un peu de cinéma, un peu de télé, voilà les deux ingrédients de cette post-Partie de campagne.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
un film trop modeste pour atteindre les chevilles d'un Woody Allen et suffisamment humble pour écraser Blanc : un film archétypal d'une certaine qualité française, où fantaisie et naturalisme bon chic bon genre se plaisent à égratigner tics et tares de la petite bourgeoisie.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
France Soir
par Richard Gianorio
Les Temps qui changent est un mélo polyphonique fiévreux puis apaisé, qui intéresse sans captiver, la mollesse finissant par l'emporter sur l'intensité. Peut-être qu'on n'arrive pas à croire tout à fait à cette histoire (...).
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Les retournements de situation, les quiproquos, la vivacité des dialogues passent bien. Mais on ne sort pas de la banalité. Sauf pour un personnage, une sorte d'intrus qui a été l'ex-ennemi d'enfance du mari, énigmatique, pervers et séduisant, interprété par Jean-Paul Rouve, excellent.
Le Monde
par Thomas Sotinel
le réalisateur ne prétend pas à autre chose que la mise en image d'un texte léger et malin qui maquille sa vraie nature de vaudeville sous une fine couche d'esprit et de cruauté.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Gilles RENAULT
Sans relief particulier, la mise en scène se contente de respecter la lacération des conventions sociales sur fond de règlements de comptes tous azimuts, amplifié par le fait que, de cinq sur scène, le nombre de protagonistes passe à quatorze (...). Un exercice dans lequel Sandrine Kiberlain, au charme imparable, et Jean-Paul Rouve, en tombeur plus subtil et pernicieux qu'il n'y paraît, se montrent à leur avantage.
Ouest France
par La rédaction
Le cinéma de Bernard Rapp (...) reste assez statique dans la totale unité de temps et de lieu qui préside à ce ping-pong sentimental.
Rolling Stone
par Sabine Gros La Faige
Le nouveau film de Bernard Rapp manque sacrément de dynamisme dans une réalisation qui nous donne à voir une succession de saynètes sympathiques mais un peu superficielles.
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Malgré des comédiens inspirés, Bernard Rapp demeure à la surface des choses, faute de cynisme et de cruauté.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Bernard Rapp ne s'en sort pas trop mal - même si le texte de la pièce abondamment " moliérée " qu'il adapte n'est pas du Bacri-Jaoui, loin de là...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Nicole Maïon
Une belle brochette de comédiens mais le trop-plein de bons mots gâche le plaisir.
Les Inrockuptibles
par Alexandre Chabert
Problème: bernard Rapp met en scène sans audace aucune une ribambelle de comédiens qu'on a d'habitude plaisir à regarder, mais qui là se noient jusqu'à un dénouement prévisible dans des marivaudages bas de gamme et du comique de répétition trois fois pas drôle.
Paris Match
par Alain Spira
Bernard Rapp n'est pas à son affaire dans le vaudeville. Et se laisse emprisonner par la forme théâtrale (...) de ce marivaudage.
Première
par Christophe Narbonne
Le film trahit son origine théâtrale : dialogues -brillants- omniprésents, mise en scène figée, unité de lieu. Chassant sur les terres de Jaoui-Bacri, Rapp fait preuve de moins de finesse dans son approche du rapport de force hommes-femmes, qui repose ici sur un schéma éculé (...).
Zurban
par Charlotte Lipinska
Sans aucune astuce pour se départir de l'unité théâtrale de temps et de lieu, le film tourne à vide.Mal dirigés, les acteurs brassent de l'air et ne suscitent aucune empathie.
Aden
Adapté d'une pièce de théâtre à succès, le film de Bernard Rapp en accepte les contraintes : on ne quittera pas la demeure et tout se joue à travers des dialogues (...). Un ping-pong légèrement cruel sous un beau soleil que la mise en scène cherche à rendre percutant avec une certaine élégance dans la vacherie. La caméra volontairement en retrait, Bernard Rapp mise alors quasiment tout sur les comédiens et l'on sent qu'il est prêt à en savourer toutes les nuances.
Elle
Joli film conceptuel et littéraire jouant sur la symétrie architecturale et relationnelle. (...) Une question toutefois: pourquoi l'excellent Yvan Attal est-il si peu aimé par son réalisateur ?
MCinéma.com
UN PETIT JEU SANS CONSEQUENCE reste trop marqué par son origine, une pièce de théâtre, et gangrené comme bien des films français actuels par le comique télé, juste capté, sans envie de cinéma. (...) Mais le formatage télé ramène ce projet au statut d'agréable comédie, dans laquelle on entre facilement sans jamais être vraiment bousculé.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Ce qui était un jeu prend bientôt une autre allure au fil de cette comédie plus amère que douce, élégamment réalisée par Bernard Rapp.
Cahiers du Cinéma
Modeste, Bernard Rapp. Jusque dans ses titres, Pas si graves pour son troisième long-métrage, Un petit jeu sans conséquence pour le quatrième. Jusque dans ses dialogues, Brainstorming façon Bled, gags courtois donnant à tous la bonhommie de Bernard Pivot. (...) Un peu de cinéma, un peu de télé, voilà les deux ingrédients de cette post-Partie de campagne.
Chronic'art.com
un film trop modeste pour atteindre les chevilles d'un Woody Allen et suffisamment humble pour écraser Blanc : un film archétypal d'une certaine qualité française, où fantaisie et naturalisme bon chic bon genre se plaisent à égratigner tics et tares de la petite bourgeoisie.
France Soir
Les Temps qui changent est un mélo polyphonique fiévreux puis apaisé, qui intéresse sans captiver, la mollesse finissant par l'emporter sur l'intensité. Peut-être qu'on n'arrive pas à croire tout à fait à cette histoire (...).
Le Figaroscope
Les retournements de situation, les quiproquos, la vivacité des dialogues passent bien. Mais on ne sort pas de la banalité. Sauf pour un personnage, une sorte d'intrus qui a été l'ex-ennemi d'enfance du mari, énigmatique, pervers et séduisant, interprété par Jean-Paul Rouve, excellent.
Le Monde
le réalisateur ne prétend pas à autre chose que la mise en image d'un texte léger et malin qui maquille sa vraie nature de vaudeville sous une fine couche d'esprit et de cruauté.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Sans relief particulier, la mise en scène se contente de respecter la lacération des conventions sociales sur fond de règlements de comptes tous azimuts, amplifié par le fait que, de cinq sur scène, le nombre de protagonistes passe à quatorze (...). Un exercice dans lequel Sandrine Kiberlain, au charme imparable, et Jean-Paul Rouve, en tombeur plus subtil et pernicieux qu'il n'y paraît, se montrent à leur avantage.
Ouest France
Le cinéma de Bernard Rapp (...) reste assez statique dans la totale unité de temps et de lieu qui préside à ce ping-pong sentimental.
Rolling Stone
Le nouveau film de Bernard Rapp manque sacrément de dynamisme dans une réalisation qui nous donne à voir une succession de saynètes sympathiques mais un peu superficielles.
TéléCinéObs
Malgré des comédiens inspirés, Bernard Rapp demeure à la surface des choses, faute de cynisme et de cruauté.
Télérama
Bernard Rapp ne s'en sort pas trop mal - même si le texte de la pièce abondamment " moliérée " qu'il adapte n'est pas du Bacri-Jaoui, loin de là...
aVoir-aLire.com
Une belle brochette de comédiens mais le trop-plein de bons mots gâche le plaisir.
Les Inrockuptibles
Problème: bernard Rapp met en scène sans audace aucune une ribambelle de comédiens qu'on a d'habitude plaisir à regarder, mais qui là se noient jusqu'à un dénouement prévisible dans des marivaudages bas de gamme et du comique de répétition trois fois pas drôle.
Paris Match
Bernard Rapp n'est pas à son affaire dans le vaudeville. Et se laisse emprisonner par la forme théâtrale (...) de ce marivaudage.
Première
Le film trahit son origine théâtrale : dialogues -brillants- omniprésents, mise en scène figée, unité de lieu. Chassant sur les terres de Jaoui-Bacri, Rapp fait preuve de moins de finesse dans son approche du rapport de force hommes-femmes, qui repose ici sur un schéma éculé (...).
Zurban
Sans aucune astuce pour se départir de l'unité théâtrale de temps et de lieu, le film tourne à vide.Mal dirigés, les acteurs brassent de l'air et ne suscitent aucune empathie.