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Un visiteur
1,0
Publiée le 29 septembre 2006
Habituellement pas trop client de ce genre de cinéma, je voulais néanmoins faire l'effort de voir ce que la critique considérait comme le "meilleur film français de l'année"... En sortant de la salle, je me suis réellement demandé si j'avais vu le même film. Du coup, cela m'ennuie d'être passé à côté d'une telle "pépite" ! Je pense pourtant faire partie d'un public exigeant et je n'aime pas voir n'importe quelle navet qui passe. J'aime le cinéma qui fait réfléchir et avancer, et si possible sans négliger l'aspect "plaisir". Ici j'ai réussi à tenir deux heures et je trouve que c'est déjà faire beaucoup d'honneur à ce film. Même si Almaric a pu me faire sourire dans certaines scènes, à aucun moment, je ne me suis senti concerné par le destin de ces "héros", pas plus que le réalisateur, qui filme avec sa tête. Comme ses personnages, Despleschins existe pour lui seul, filme pour lui seul, et semble exiger du spectateur Qu'il se hisse sur son piédestal. Au fond, un film très français.
J'ai hésité entre : pas d'étoile et une étoile pour la prestation de Mathieu Amalric. Prestation qui malheureusement ne peut pas empêcher de trouver le film trop long. S'ennuyer pendant un film court, c'est dur, mais pendant 2H30, c'est vraiment la torture... Quant à Marianne Denicourt qui a pété un câble et s'est fendue d'un livre de riposte parce que Desplechin raconte soi-disant sa vie, elle aurait mieux fait de laisser tomber ce film dans l'oubli... Au lieu de gâcher de la pellicule à tourner en dérision le milieu de la psychiatrie et de la psychanalyse, certains feraient mieux de se recentrer sur la vraie vie et d'arrêter de faire prendre au public des vessies pour des lanternes. Ceci est également vrai pour vous Mesdames et Messieurs de la critique : si il était possible de perdre 50 points de quotient intellectuel pendant deux heures et demie, je pense que ça se saurait!
Certes, Rois et Reine prête à (sou)rire. Certes, Rois et Reine prête à s'émouvoir (un peu). Mais la plupart du temps, Rois et Reine prête malheureusement à s'ennuyer. Des dialogues surfaits et prétentieux (merci pour les citations en allemand dans le texte...), des scènes d'un ridicule désopilant pourtant interminables (la rencontre posthume entre Pierre et Nora), des discours intellectualisants omniprésents (l'explication finale d'Ismaël à Elias) : tout porte à croire que Desplechin met son film volontairement hors de portée du commun des spectateurs. Rois et Reine n'est certainement pas Le film qui réconcilira le cinéma d'auteur avec le grand public. Il ne fait rien pour...
Je n'ai pas du tout aimé ce film, c'est sûr les acteurs jouent vraiment bien mais alors je n'ai pas du tout trouvé l'histoire intéressante, on suit deux personnages mais il n'y a aucun intérêt, ils font des choses bizarres qui sont inexpliquées, il y a pas mal de scènes incompréhensibles également. Bref tout cinéphile doit l'avoir vu car ce film a tout de même eu un césar !!
Pour l'occasion, je m'inscrits à allociné. Je ne peux laisser passer cela. Suite aux critiques sur ce film je suis allée le voir. Et bien merci ! C'est ennuyeux, long, sans intéret. Voilà deux histoires qui s'entrecroisent point. Quel est l'intérêt du film ? Que cherche-t-on à nous montrer ? A nous dire ? rien... c'est parfois émouvant, et encore. La plupart du temps on s'ennuie , attendant la suite. Mais le film ne démarre jamais. Certaines scènes sont longues et tirées par les cheveux (les retrouvailles dans l'hopital avec un mort !). Si je n'avais été coincée par mes voisins , je serais partie avant la fin. Sans rater grand chose !
A aucun moment je n'ai pu me plonger dans ce film dont la longueur n'est pas un gage de qualité. Emmanuelle Devos, qui par ailleurs n'est pas du tout une "jolie" actrice, surjoue durant tout le film. Sporadiquement, quelques scènes viennent réouvrir nos yeux sur cette histoire soporifique qui est loin de valoir les louanges des critiques.
J'ai pris le temps de m'inscrire juste pour pouvoir dire tout le mal que je pense de ce film ! Le pauvre amalric est le seul a tirer son epingle du jeu et les scenes où il apparait sont des bouffees d'air frais. Emmanuelle Devos est l'actrice la plus mauvaise de la nouvelle generation...Femme fatale ?? on n'y croit pas un seul instant... Quant aux dialogues pseudo-intellos, dignes d'un mauvais élève de Khagne avec des citations latines bateaux, Desplechin accumule les cliches et nous donne des leçons de vie ras les paquerettes... Ce qui me révolte ce sont tous les médias et Télérama en tête qui encensent ce réalisateur nouveau "génie" alors qu'apparemment il aurait plagié la vie de Marianne Denicourt, l'une de ses actrices...Quand bien même cela serait faux, ce film est navrant d'ennui...
Attention faux génie !! passez votre chemin pour ne pas sortir écoeuré !!
Ma déception est à la mesure du plaisir que la plupart des critiques avait promis. Les maladresses (voulues ?) dans le montage sont pour le moins déconcertantes et agaçantes. Le jeu des acteurs est souvent trop outré pour être crédible. Les scènes qui se veulent dramatiques frisent le ridicule. On passe de la naîveté au pathos en faisant un détour par la pédanterie. Bref, un spectacle long (2h30 !!) ennuyeux et décevant. Ce serait perdre son temps que d'en parler davantage.
Ce film est nul: le cinéma français tel qu'on voudrait l'oublier. Pas d'histoire et Emmanuelle Devos est ridicule. Je ne comprends pas les critiques de la presse. Public, passe ton chemin!
Cruelle déception. Une fois de plus, ce film est conforme aux standards français les plus classiques : jeu des acteurs digne dun téléfilm (mention spéciale à E. Devos, encensée par la critique, alors que lémotion est tuée par lartificialité), omniprésence des cigarettes (tous les acteurs sauf le gamin y vont de leur bouffée, et ceci à tous les plans, au secours pas lodorama) , parisianisme exacerbé (entendre par deux fois des grenoblois parler de « province » assoit durablement la distance entre ces personnages décalés et nous), vide du propos (scénario digne dun roman de gare, le quotidien dans toute sa tristesse, avec cohorte de cancer généralisé, denfant braqué, de père irresponsable et jen passe). Pourquoi les critiques sont-elles aussi unanimes ? Une projection de presse avec champagne à volonté ? Des images subliminales ?