Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
A cette comédie, Léa Frazer, dont c'est le premier film, sait donner le tempo qu'il faut et rythme ses gags comme un mécanisme horloger. Ses personnages sont hauts en couleur, la palme revenant à Vincent Perez, séducteur helvétique à l'accent vaudois. Chapeau tyrolien – bien sûr !
Première
par Alexis Trosset
Vincent Pérez surprend en pur Suisse des montagnes aux expressions farfelues. Avec cette première oeuvre étonnante, Léa Frazer témoigne d'une science peu commune dans le maniement des subtilités comiques. Grâce à une mise en scène au timing infernal, la jeune cinéaste transforme son film en un modèle d'horlogerie.
Télérama
par Jacques Morice
Superficielle sans être idiote, l'escapade brocarde autant le chauvinisme français que le fanatisme hygiénique helvétique. La partition avec accent de Vincent Perez est savoureuse. Un concerto à instruments et langues multiples (Confédération oblige), qui donne envie d'aller randonner sur les alpages.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par La rédaction
De cette pochade lourdaude émergent deux incongruités : la gracieuse Emmanuelle Devos et l'irrésistible Denis Podalydès, excellents comédiens fourvoyés dans cette galère par on ne sait quel hasard.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Corsetés dans une sympathique ambition cinématographique, les gros gags (une vache en travers de la route de montagne, un citadin sujet au vertige au bord d'un abîme...) ne font pas beaucoup plus rire que les publicités pour bonbons aux plantes ou boisson maltée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un nanar mollasson et empêtré dans les clichés suisses mal retournés. Heureusement, il y a le génial Podalydès.
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Même si elle veut s'en défendre, Lea Fazer, dont c'est le premier film, est hélas tombée dans le piège de la caricature : elle dresse, sans grand génie, un catalogue exhaustif des clichés sur la Suisse, sans jamais relever le niveau. On dirait une publicité pour le fromage à trous. Autant relire " Astérix en Helvétie ", c'est bien plus drôle et de meilleur goût. Heureusement Vincent Pérez, irrésistible de bout en bout, sauve la mise offrant quelques bons moments face à une Emmanuelle Devos énamourée. On la comprend.
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
par Nicole Maïon
On se lasserait vite d'un scénario aussi indigent s'il n'était animé par le peps des acteurs à commencer par l'inénarrable Vincent Perez qui après Je reste prouve une fois encore son don pour jouer les bellâtres désopilants en digne héritier de Thierry Lhermitte.
Aden
par La rédaction
Recommandé aux déprimés absolus qui ont besoin de sourire un peu, envers et contre tout ; absolument déconseillé à ceux qui aiment le cinéma (l'effet déprime serait immédiat).
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Jean Philippe Tessé
La Suisse râpée à la moulinette. Succession de gags désastreux et de caricatures de la Suisse et des suisses, Bienvenue en Suisse est une fondue pâteuse et indigeste.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
On sent combien le film se dresse sur ses papattes pour guetter toute attaque du style "pas touche à la caricature politiquement incorrecte", pour lui rétorquer de volée : "Oh hé hein, humouuur". Ben justement, l'humour, c'est précisément le gros problème du film.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
par Patrick Flouriot
Léa Fazer passe sans raison de l'humour sociologique (filmage naturaliste) à la parodie de publicité touristique (cartes animées de cantons suisses) ou à l'ironie sentimentale des magazines féminins, pensant sans doute par ses effets de rupture de style saisir les diverses facettes des mythologies suisses contemporaines, quand elle ne fait que mimer le grumeleux flux télévisuel, mais en l'affadissant, en lissant tous ses signes de vulgarité.
Le Figaroscope
A cette comédie, Léa Frazer, dont c'est le premier film, sait donner le tempo qu'il faut et rythme ses gags comme un mécanisme horloger. Ses personnages sont hauts en couleur, la palme revenant à Vincent Perez, séducteur helvétique à l'accent vaudois. Chapeau tyrolien – bien sûr !
Première
Vincent Pérez surprend en pur Suisse des montagnes aux expressions farfelues. Avec cette première oeuvre étonnante, Léa Frazer témoigne d'une science peu commune dans le maniement des subtilités comiques. Grâce à une mise en scène au timing infernal, la jeune cinéaste transforme son film en un modèle d'horlogerie.
Télérama
Superficielle sans être idiote, l'escapade brocarde autant le chauvinisme français que le fanatisme hygiénique helvétique. La partition avec accent de Vincent Perez est savoureuse. Un concerto à instruments et langues multiples (Confédération oblige), qui donne envie d'aller randonner sur les alpages.
L'Humanité
De cette pochade lourdaude émergent deux incongruités : la gracieuse Emmanuelle Devos et l'irrésistible Denis Podalydès, excellents comédiens fourvoyés dans cette galère par on ne sait quel hasard.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Corsetés dans une sympathique ambition cinématographique, les gros gags (une vache en travers de la route de montagne, un citadin sujet au vertige au bord d'un abîme...) ne font pas beaucoup plus rire que les publicités pour bonbons aux plantes ou boisson maltée.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Un nanar mollasson et empêtré dans les clichés suisses mal retournés. Heureusement, il y a le génial Podalydès.
MCinéma.com
Même si elle veut s'en défendre, Lea Fazer, dont c'est le premier film, est hélas tombée dans le piège de la caricature : elle dresse, sans grand génie, un catalogue exhaustif des clichés sur la Suisse, sans jamais relever le niveau. On dirait une publicité pour le fromage à trous. Autant relire " Astérix en Helvétie ", c'est bien plus drôle et de meilleur goût. Heureusement Vincent Pérez, irrésistible de bout en bout, sauve la mise offrant quelques bons moments face à une Emmanuelle Devos énamourée. On la comprend.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
On se lasserait vite d'un scénario aussi indigent s'il n'était animé par le peps des acteurs à commencer par l'inénarrable Vincent Perez qui après Je reste prouve une fois encore son don pour jouer les bellâtres désopilants en digne héritier de Thierry Lhermitte.
Aden
Recommandé aux déprimés absolus qui ont besoin de sourire un peu, envers et contre tout ; absolument déconseillé à ceux qui aiment le cinéma (l'effet déprime serait immédiat).
Cahiers du Cinéma
La Suisse râpée à la moulinette. Succession de gags désastreux et de caricatures de la Suisse et des suisses, Bienvenue en Suisse est une fondue pâteuse et indigeste.
Chronic'art.com
On sent combien le film se dresse sur ses papattes pour guetter toute attaque du style "pas touche à la caricature politiquement incorrecte", pour lui rétorquer de volée : "Oh hé hein, humouuur". Ben justement, l'humour, c'est précisément le gros problème du film.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
Léa Fazer passe sans raison de l'humour sociologique (filmage naturaliste) à la parodie de publicité touristique (cartes animées de cantons suisses) ou à l'ironie sentimentale des magazines féminins, pensant sans doute par ses effets de rupture de style saisir les diverses facettes des mythologies suisses contemporaines, quand elle ne fait que mimer le grumeleux flux télévisuel, mais en l'affadissant, en lissant tous ses signes de vulgarité.