Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Elisabeth Quin
(...) loin de verser dans le pathos ou l'exploitation cynique et spectaculaire du handicap, le film confronte la culpabilité d'un père à la grande sagesse d'un gosse à part. Palpitant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Gianni Amelio, auquel on a pu reprocher de laisser le sentimentalisme envahir ses films, à trouver la bonne distance. (...) il réussit à imposer un regard, il amène le spectateur à considérer en face Paolo, son handicap, son caractère insupportable, tout ce qui pourrait conduire à détourner les yeux, tout ce qui finalement le rend incroyablement attachant.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Il y a là un acte de foi en un cinéma qui tourne le dos aux effets et guette l'émotion par la simple représentation du réel. La réalité métaphysique, la simplicité d'un Giotto.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Sur un sujet qui pourrait facilement tomber dans le pathos afin de faire sortir les mouchoirs du spectateur, Gianni Amelio signe un film tout en finesse et pudeur. (...) On imagine le travail particulier pour lui et les acteurs, que de faire jouer des enfants physiquement atteints. La performance ne se remarque pas, c'est bien en cela qu'elle est remarquable.
Télérama
par Pierre Murat
Comme toujours chez Gianni Amelio, l'horreur du malheur importe moins que sa révélation chez des êtres qui s'en protègent en le fuyant. Les vraies victimes, ce sont eux (nous ?), à l'aveuglement obstiné ou à l'apitoiement facile. (...) Outre sa pudeur extrême, le film porte en lui des révoltes, des tourments et des regrets. Des questions sans réponse, les plus belles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
Un grand mélo par le cinéaste sensible des Enfants volés.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
A priori, le thème n'a rien de divertissant. A chaque plan, le risque est grand de tourner au mélo dégoulinant de bons sentiments. Ce serait mal connaître Gianni Amelio, auteur du très beau " Voleurs d'enfants " et qui traite son sujet avec respect sans un plan insistant sur le malade, refusant tout pathos.
Positif
par Jean A. Gili
Les Clefs de la maison est une oeuvre grave, un film émotionnel qui interroge, au delà du handicap, la question de la filiation naturelle ou construite.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Ghislain Loustalot
Si l'histoire reste poignante, la réalisation de Gianni Amelio s'avère légère comme une plume. On lui sait gré de cela. Et de son intention, évidente, de montrer, par petites touches délicates et douce-amères, que le handicap n'est pas toujours là où l'on croit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Un mélo assez lisse et linéaire. Sujet émouvant, mais mise en scène trop millimétrée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Gianni Amelio filme les retrouvailles entre un père lâche (...) et son fils, adolescent atteint d'un handicap sévère, à l'aune de la violence dans laquelle naît cette relation. C'est-à-dire de manière farouche et chaotique. Dommage que le scénario, perdu dans des intentions contradictoires, n'égare quelque peu cette exigence.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
(...) loin de verser dans le pathos ou l'exploitation cynique et spectaculaire du handicap, le film confronte la culpabilité d'un père à la grande sagesse d'un gosse à part. Palpitant.
L'Obs
Gianni Amelio, auquel on a pu reprocher de laisser le sentimentalisme envahir ses films, à trouver la bonne distance. (...) il réussit à imposer un regard, il amène le spectateur à considérer en face Paolo, son handicap, son caractère insupportable, tout ce qui pourrait conduire à détourner les yeux, tout ce qui finalement le rend incroyablement attachant.
Le Monde
Il y a là un acte de foi en un cinéma qui tourne le dos aux effets et guette l'émotion par la simple représentation du réel. La réalité métaphysique, la simplicité d'un Giotto.
MCinéma.com
Sur un sujet qui pourrait facilement tomber dans le pathos afin de faire sortir les mouchoirs du spectateur, Gianni Amelio signe un film tout en finesse et pudeur. (...) On imagine le travail particulier pour lui et les acteurs, que de faire jouer des enfants physiquement atteints. La performance ne se remarque pas, c'est bien en cela qu'elle est remarquable.
Télérama
Comme toujours chez Gianni Amelio, l'horreur du malheur importe moins que sa révélation chez des êtres qui s'en protègent en le fuyant. Les vraies victimes, ce sont eux (nous ?), à l'aveuglement obstiné ou à l'apitoiement facile. (...) Outre sa pudeur extrême, le film porte en lui des révoltes, des tourments et des regrets. Des questions sans réponse, les plus belles.
Aden
Un grand mélo par le cinéaste sensible des Enfants volés.
Le Figaroscope
A priori, le thème n'a rien de divertissant. A chaque plan, le risque est grand de tourner au mélo dégoulinant de bons sentiments. Ce serait mal connaître Gianni Amelio, auteur du très beau " Voleurs d'enfants " et qui traite son sujet avec respect sans un plan insistant sur le malade, refusant tout pathos.
Positif
Les Clefs de la maison est une oeuvre grave, un film émotionnel qui interroge, au delà du handicap, la question de la filiation naturelle ou construite.
Première
Si l'histoire reste poignante, la réalisation de Gianni Amelio s'avère légère comme une plume. On lui sait gré de cela. Et de son intention, évidente, de montrer, par petites touches délicates et douce-amères, que le handicap n'est pas toujours là où l'on croit.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Les Inrockuptibles
Un mélo assez lisse et linéaire. Sujet émouvant, mais mise en scène trop millimétrée.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
TéléCinéObs
Gianni Amelio filme les retrouvailles entre un père lâche (...) et son fils, adolescent atteint d'un handicap sévère, à l'aune de la violence dans laquelle naît cette relation. C'est-à-dire de manière farouche et chaotique. Dommage que le scénario, perdu dans des intentions contradictoires, n'égare quelque peu cette exigence.