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Le parfum réussit à sceller l'union entre le classicisme et bizarrerie, tout en imposant une fascinante figure centrale, mi-enfant sauvage, mi-vampire de Düsseldorf.
Mais comment transformer en visuel ce qui est olfactif ? Le cinéaste y parvient en balayant avec de larges plans des étals de poissons aux yeux plus très vifs, de vastes champs de lavande, des étoffes voluptueuses et poudrées. Et il a un acteur tout à fait à la hauteur du projet : Ben Wishaw.
La mise en scène (...) sombre et élégante sert une reconstitution historique soignée. Mais à trop vouloir coller à la linéarité et à la densité du récit, Tom Tykwer manque un peu de recul.
(...) Tom Tykwer a beau nous pavoriser son "Parfum" durant près de trois heures, il ne parvient pas à nous transmettre l'essence du livre. Reste l'essence qui, il faut le reconnaître, est magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
(...) un cas typique d'adaptation littéraire ratée. Tout est problème, tout est question ici, rien ne coule et la fluidité du roman se fraye un impossible chemin parmi une enfilade de scènes lourdes et besogneuses.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Il aurait été préférable que cette adaptation débouche sur un film ayant sa propre raison d'être. Malheureusement, le résultat n'est qu'une simple illustration du livre, vaine et sans aucune saveur.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
(...) la vague tentative pour humaniser le "héro" à l'odorat sublime, mal aimé et incapable d'aimer, mais avide de reconnaissance, camoufle l'ironie sauvage de l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Si sa reconstitution d'un Paris suintant convainc dans la première heure, le film (...) se met vite à bégayer pour lentement sombrer dans le grotesque. Frustrant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le mystérieux pouvoir olfactif reste une idée, plaquée, mimée d'une manière parfois presque grotesque (...) Le Parfum vire au beau livre d'images, un plaisir un peu anodin qui a ses adeptes (le film fait un carton en Allemagne).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) mastodonte académique, cornaqué par Tykwer, qu'on a connu plus inspiré (dans La Princesse et le guerrier). Le cinéaste allemand perd de vue la folie et la tension du roman, au profit d'une imagerie pittoresque.
Rolling Stone
Les ambitions de Tykwer sont à la hauteur de la démesure visuelle du roman et des fulgurances du récit (...).
aVoir-aLire.com
Une oeuvre magistrale à ressentir et à aduler, indissociable du matériau littéraire de base, présent d'un bout à l'autre du métrage.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
(...) savant dosage d'ellipses et d'accélérations qui scotchent le spectateur à son siège pendant plus de deux heures. C'est parfois très amusant.
L'Ecran Fantastique
Le parfum réussit à sceller l'union entre le classicisme et bizarrerie, tout en imposant une fascinante figure centrale, mi-enfant sauvage, mi-vampire de Düsseldorf.
Le Figaroscope
Mais comment transformer en visuel ce qui est olfactif ? Le cinéaste y parvient en balayant avec de larges plans des étals de poissons aux yeux plus très vifs, de vastes champs de lavande, des étoffes voluptueuses et poudrées. Et il a un acteur tout à fait à la hauteur du projet : Ben Wishaw.
Mad Movies
Fonctionnant sur des associations d'idées visuelles et sur un véritable travail pictural, la tentative s'avère souvent fructueuse (...)
Score
(...) la profusion d'images nauséabondes a la puissance de suggestion espérée.
Télé 7 Jours
Un beau film d'époque, thriller sombre et envoûtant.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène (...) sombre et élégante sert une reconstitution historique soignée. Mais à trop vouloir coller à la linéarité et à la densité du récit, Tom Tykwer manque un peu de recul.
Le Monde
Tykwer confectionne (...) un film en trois parties, où sa tendance à confondre coup de génie et coup d'épate se révèle intacte.
Ouest France
Inadaptable, le roman de Patrick Süskind que réédite Fayard ? Tom Tykwer tendrait plutôt à prouver le contraire.
Paris Match
(...) Tom Tykwer a beau nous pavoriser son "Parfum" durant près de trois heures, il ne parvient pas à nous transmettre l'essence du livre. Reste l'essence qui, il faut le reconnaître, est magnifique.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
Pressé de noyer son spectateur de mille senteurs, il finit comme Grenouille par n'en avoir aucune.
Chronic'art.com
(...) un cas typique d'adaptation littéraire ratée. Tout est problème, tout est question ici, rien ne coule et la fluidité du roman se fraye un impossible chemin parmi une enfilade de scènes lourdes et besogneuses.
Fluctuat.net
Il aurait été préférable que cette adaptation débouche sur un film ayant sa propre raison d'être. Malheureusement, le résultat n'est qu'une simple illustration du livre, vaine et sans aucune saveur.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
(...) le résultat, trop long, souffre d'une mise en scène stéréotypée, répétitive, qui manque desouffle et de lyrisme.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
"Le parfum" manque avant tout de saveur.
Positif
(...) la vague tentative pour humaniser le "héro" à l'odorat sublime, mal aimé et incapable d'aimer, mais avide de reconnaissance, camoufle l'ironie sauvage de l'histoire.
Première
Si sa reconstitution d'un Paris suintant convainc dans la première heure, le film (...) se met vite à bégayer pour lentement sombrer dans le grotesque. Frustrant.
Télérama
Le mystérieux pouvoir olfactif reste une idée, plaquée, mimée d'une manière parfois presque grotesque (...) Le Parfum vire au beau livre d'images, un plaisir un peu anodin qui a ses adeptes (le film fait un carton en Allemagne).
L'Humanité
(...) mastodonte académique, cornaqué par Tykwer, qu'on a connu plus inspiré (dans La Princesse et le guerrier). Le cinéaste allemand perd de vue la folie et la tension du roman, au profit d'une imagerie pittoresque.
Les Inrockuptibles
Adaptation malodorante du best-seller de Süskind.
TéléCinéObs
(...) le film, dans son ensemble, est d'une laideur et d'une bêtise assez rares.